Comment Plaire Et Instruire

Antoine de SAINT- EXUPERY ainsi que «La grenouille qui voulait se faire aussi ronde qu’un œuf» de Raimon QUENAU. Le discours direct étant repéré dans tous les textes, nous évoquerons dans le développement, comment ce procédé permet-il de répondre au double objectif de la fable : «plaire et instruire». Dans ces trois textes, l’auteur a choisi de faire parler des animaux : «Qui cela eut-il être ?, dit le hongre» l.17, «Bonjour, dit le renard» l.2, ce qui révèle un esprit cocasse. L’imitation des humains

des forêts, Je suis si triste et je m’ennuie. Sire, lui répond l’écureuil, Je dois à votre bon accueil La vérité : mais, pour la dire, Sur cet arbre un peu haut je voudrais être assis. -soit, j’y y consens, monte. –j’y suis. A présent je peux vous instruire. Mon grand secret pour être heureux, C’est de vivre dans l’innocence ; L’ignorance du mal fait toute ma science ; Mon cœur est toujours pur, cela rend bien joyeux. Vous ne connaissez pas la volupté suprême De dormir sans remords : vous mangez les

Particularité de l’auteur et de son siècle : défenseur des anciens-il puise son inspi dans l’Antiquité (ici Esope) Il rentre dans l’idéal classique du XVIIème siècle (but = plaire + instruire) LF surprend ici en ne mettant pas en scène des animaux mais directement 1 Hô qui fait face à la mort. Pb : (COMMENT PLAIRE ET INSTRUIRE AVEC LE SUJET DE LA MORT ?) Lecture du texte + new Pb + plan I) Tableau pathétique d’un hô en souffrance. A) Un hô pauvre et en souffrance physique. 1) La pauvreté (v1)

attention sur les didascalies et non pas sur les dialogues qui sont pourtant très apprécié par les dramaturges français. Le succès d’une représentation théâtrale ne fait que divertir, comment fait-elle pour nous instruire et en quoi le théâtre est-il symbolique ? Nous verrons dans un premier temps comment les dramaturges classiques obtiennent leur succès en respectant ces règles annoncées par Boileau. Par la suite nous verrons cependant que les respects des classiques peuvent nuire car ces éléments

faut se méfier de tout le monde, et notamment des plus petits. Morale explicite. Morale de la 4° fable : les gens sont indifférent face à la violence. Tuer ou être tuer. La Fontaine XVVII° siècle = le classicisme « Plaire et instruire » « Plaire » = corps ; « instruire » = âme la diversité (animaux, histoires) Premier recueil écrit pour le dauphin (fils du roi). Étude de la fable numéro 1 le récit d'une rencontre La vivacité du dialogue et l'argumentation La portée de la

d’introduire le sujet, c’est-à-dire de le citer. L’accroche est traditionnellement constituée par une citation. 2) Citation du sujet qui est recopié in extenso et serti de guillemets. 3) L’analyse du sujet: celui-ci ayant été cité, il peut et doit être commenté afin de mettre en évidence ses limites: jusqu’à quel point ce qui est dit est recevable? 4) À partir des limites du sujet, on peut et doit dégager une problématique. Celle-ci doit tenir dans une question et une seule. 5) La problématique ayant

« La littérature veut instruire ou plaire; parfois son objet est de plaire et d'instruire en même temps » écrit Horace, poète latin, dans son art poétique. En quoi l'ambition du conte philosophique est- elle justement de plaire et d'instruire en même temps ? « Un livre n'est excusable qu'autant qu'il apprend quelque chose ». D’après Voltaire, la littérature, le livre doit être porteur d’un précepte, doit enseigner « quelque chose » au lecteur. I- Le conte philosophique: des histoires très plaisantes

Peut-on dire que les Fables de la Fontaine sont comme des petites comédies ? L’un des aspects les plus séduisants de la littérature française du XVIIème siècle est son intention de plaire et d’instruire : « castigare ridendo moros » Un des écrivains français classicistes les plus prestigieux de l’époque, était Jean de La Fontaine. Il a écrit plusieurs genres, mais ce qui l’a conduit au succès sont ses trois recueils de Fables, inspirées de l’Antiquité. Nous nous demanderons si les Fables

intervenir deux sentiments chez le lecteur : la réflexion, à l’aide de nombreux procédés, mais aussi à plaire. Les auteurs souhaitant instruire leurs publics poussent la réflexion de ces derniers à son paroxysme et les forcent à se questionner sur la leçon donnée. D’autres auteurs, cependant, ne s’inscrivent pas dans cette perspective et veulent avant tout proposer un récit différent et cherchant à plaire et donc susciter d’autres sentiments comme le beau chez le lecteur. Pourtant, malgré ces différents

fable, forme d’apologue, récit court, qui existe depuis L’Antiquité, met en scène le plus souvent des animaux. C’est le cas dans Le Loup et l’Agneau de La Fontaine, fabuliste du classicisme (17ème siècle), dont la devise de ce mouvement est « Plaire et Instruire ». Deux animaux sont mis en scène dans cette fable, le Loup symbole de l’agressivité et l’Agneau qui représente l’innocence, la douceur. La Fontaine les met en scène pour dénoncer l’injustice de la société. La morale de cet apologue est explicite