Comment Réguler La Finance Mondiale

les particuliers est la sensibilité, qui est une élasticité, c'est-à-dire calculée en pourcentage de la valeur actualisée totale de l'actif. A-1°) Le risque de taux et Gestion actif-passif Une banque dont les prêts à long terme à taux fixe sont financés en partie par des ressources à court terme (ou des ressources à taux variable) risque de voir le taux de ses ressources atteindre ou dépasser le taux de ses prêts en cas de hausse des taux du marché monétaire. C’est le risque que l'évolution des

Dans sa version d'"État propriétaire", l'intervention peut aller jusqu'au contrôle public direct de la production. Au contraire, "l'État gendarme" des marchés, c'est-à-dire comme soutien au marché, représente une forme plus modeste d'intervention. Comment expliquer ces différentes formes d'interventions ? Quels avantages procurent les unes par rapport aux autres ? Introduction Le terme anglais regulation couvre toute mesure ou intervention publique qui vise à contrôler le comportement d'individus

La crise financière mondiale est au centre des préoccupations de tous. Chacun suit attentivement, jour par jour, les nouvelles annonces qui permettent d’appréhender au mieux cet évènement historique caractérisant amplement l’année 2008. Partie du secteur immobilier, la crise a regagné le secteur bancaire et monétaire « crise de liquidité » puis à travers le marché à haut risque « commercialisation des subprimes », elle s’installe dans les différentes places boursières pour engendrer enfin des conséquences

les structures du secteur bancaire dans l'ensemble du monde avec un retour massif et imprévu de l'intervention des Etats dans leur capital, allant jusqu'à la nationalisation de fait dans bien des cas. La place de la banque dans l'ensemble de la finance, dans la mondialisation et dans l'économie générale est donc en pleine mutation.   |Sommaire | |[masquer] | |[masquer]

I et L’O.M.C Imaginées à la fin de la Seconde Guerre Mondiale par les conseillers économique du président Roosevelt, les organisations économiques internationales semblent se détacher de leurs buts initiaux pour exercer un pouvoir plus ou moins autonome. Le FMI et l’OMC ne servent-ils pas en priorité les intérêts occidentaux et quelles devraient être les corrections à apporter à leur action ? Avant la Première Guerre Mondiale, il était admis que l’interdépendance des Etats devait être

ID_REVUE=REOF&ID_NUMPUBLIE=REOF_110&ID_ARTICLE=REOF_110_0391 Sous l’égide du G20. Vers une nouvelle architecture de la finance mondiale ? par André CARTAPANIS | Presses de Sciences Po | Revue de l’OFCE 2009/3 - N° 110 ISSN 1265-9576 | ISBN 2-7246-3154-8 | pages 391 à 408 Pour citer cet article : — Cartapanis A., Sous l’égide du G20. Vers une nouvelle architecture de la finance mondiale ?, Revue de l’OFCE 2009/ 3, N° 110, p. 391-408. Distribution électronique Cairn pour les Presses de Sciences Po

° Connaître les échanges avec l’extérieur A) Comment mesurer les échanges internationaux 1° La logique d’ensemble de la balance des paiements Banque centrale : institution financière qui, au sein d’un système bancaire hiérarchisé, assure la fonction de prêteur en dernier ressort, conduit la politique monétaire et régule le système financier. Qu’est-ce que la balance des paiements ? Document comptable établi par la banque centrale selon les conventions élaborées par le Fonds Monétaire

michelin) B/ Venise et la première grande mondialisation occidentale  * Comment transformer un handicap en atout Venise est une cité sans territoire, confinée entre et la mer, comment a-t-elle pu devenir une ville dominant tout le monde jusqu’à la fin du XVème siècle. Elle doit sa richesse à la mer, grâce au commerce Rialto : cœur financier de Venise, là ou été installés tous les banquiers * Comment institutionnaliser le capitalisme ? Mise en place du Kisme les autorités vont tout

accéléré des régions émergentes est un ralentissement dramatique de l’économie mondiale, le jeu en vaut-il la chandelle ? Simpliste, cette analyse « avantage / coût » n’en résume pas moins assez bien le bilan des années 2000. Faut-il pour autant remettre en cause la libéralisation des mouvements de capitaux et tenter de faire revenir la finance dans le seul bilan des banques ? Il ne nous semble pas. La crise de la finance globalisée est due moins à la globalisation ellemême qu’aux politiques publiques

historiques » . . . . . . . . . . . . . . . 23 Chapitre 2 : Les crises contemporaines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 Chapitre 3 : Tentatives d’explications des crises financières . . . . . . . . 59 Chapitre 4 : Pourquoi et comment les crises financières se propagent-elles ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Chapitre 5 : Les moyens pour limiter l'effet des crises financières . . 107 Chapitre 6 : Quels moyens pour prévenir les