Commentaire Chambre Commerciale 20 Mai 2003

si la question est parfois discutée, la Cour de cassation semble reconnaitre à l’engagement unilatéral un caractère obligatoire comme en témoigne ses différents arrêts et notamment les arrêts relatifs à des promesses de prix publicitaires ( 1ère chambre civile 28 mars 1995 Bull. civ. I n°150). La promesse n’est pas la seule source possible d’une obligation juridique. La loi peut également décider de l’engagement d’une personne dans certaines circonstances. On peut citer l’exemple de l’article 1382

obligation juridique, c’est un concept différent. A l’heure actuelle, la théorie de l’obligation naturelle, est la théorie selon laquelle l’obligation naturelle résulte d’un engagement unilatéral de volonté, elle le considère dans un arrêt 1ere chambre civile, du 10 octobre 1995. B.Les variétés d’obligations  1.Les obligations de faire, de ne pas faire et de donner  On peut envisager beaucoup de variétés particulières d’obligations, des classifications essentielles les plus habituelles. Il faut

et enfants sans filiation, on a vu aussi des concubins s’opposer par rapport à cette obligation, la jurisprudence s’est prononcée aussi dans les relations entre ex associés d’une société. L’arrêt de la 1ère chambre civil du 23 mai 2006 (à légifrance 04-19099 L’arrêt de la 1ère chambre civil du 21 novembre 2006 (04-16370) Deuxième exemple : le concept d’acte juridique collectif, il s’agit d’un acte applicable à une collectivité de personnes alors qu’elles n’ont pas toutes participé à

Blais, qui a répondu cordialement à plusieurs interrogations soulevées durant le projet. Les explications de M. Michel Houle en matière de réglementation et les conseils de M. Richard Drolet quant à l’obtention de statistiques sur les échanges commerciaux auprès d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) ont aussi été grandement appréciés, de même que le soutien technique de M. Hervé Herry lors du traitement mathématique des données recueillies à la suite du sondage. Un merci tout spécial s’adresse

| | | | | |[Le 15 mai 2009] | | | Table des matières Introduction P . I Comment s’est développé le parrainage ?  P 

indépendantes généralistes de la concurrence..........................................44 3. Les autorités sectorielles de régulation..........................................................................47 4. Les juridictions administratives, civiles ou commerciales ............................................48 C. LA COOPERATION ENTRE LA COMMISSION ET LES STRUCTURES NATIONALES DE LA CONCURRENCE DES ETATS MEMBRES....................................49 1. Les motifs et les conditions de mise en œuvre de la coopération

considérée comme inadaptée aux besoins de la vie contemporaine du commerce et des affaires. C’est pourquoi un commission composée d’universitaires et de praticiens, sous la direction du professeur Michel Grimaldi, s’est réunie à partir du mois de septembre 2003, à l’initiative du ministère de la justice. Cette commission a opéré un projet de réforme de l’ensemble du droit des sûretés, remis au Garde des sceaux le 31 mars 2005. Dans les mois qui ont suivi, le Parlement a voté la loi « Pour la confiance et

procedure et la jurisprudence de la Cour internationale de Justice. Elle ne ´ ´ saurait en aucune facon engager la Cour ni offrir le moindre element ¸ ˆ ´ ´ d’interpretation de ses decisions, dont seul le texte meme doit faire foi. Elle n’est pas un commentaire des dispositions de la Charte des ` Nations Unies concernant la Cour, ni du Statut et du Reglement de ´ celle-ci, textes auxquels l’index renvoie par simple commodite. Elle ne saurait enfin se substituer aux ouvrages scientifiques sur la Cour, ´

conférences (histoire du Droit) Emmanuelle CLAUDEL, professeur (droit privé) Jean-Marie DENQUIN, professeur (droit constitutionnel) Jacqueline DOMENACH, professeur (droit administratif) Arnaud REYGROBELLET, maître de conférences (droit commercial) Pierre SUBRA de BIEUSSES, professeur (droit administratif spécial) avec la collaboration de Florence BELLIVIER, professeur (droit privé) Jean-Sylvestre BERGÉ, professeur (droit international privé) Anne-Laure CHAUMETTE, attachée d’enseignement

: Code Général des Collectivités Territ oriales CLS H : Centre de Loisirs Sans Hébergement CMP : Code des Marchés Publics CNDS : Cent re National pour le Développement du Sport CP : Contrat de Part enariat CPER : Contrat de Plan Etat-Région CRC : Chambre Régionale des Comptes CROS : Comité Régional Olympique Sportif DDASS : Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales DDJS : Direction Départementale Jeunesse et Sport DDR : Dotation de Développement Rural DEJEPS : Diplôme d'État de