Commentaire D Arret Sur L Autorité Parentale

Fiche arrêt et commentaire du 28 février 2006 Il s'agit d'un arrêt relatif à l'étendue des pouvoirs des juges du fond dans le cadre d'une procédure de divorce pour faute. Faits : Divorce prononcé aux torts exclusifs de Mme Y et résidence habituelle des enfants chez leur père et suspension du droit de visite de la mère. Procédure : Appel Mme Y interjette appel pour : - D’une part, obtenir le divorce aux torts partagés Motivation de Mme Y: fautes imputables à son époux La CA déboute Mme

résultat de l’appel, on repasse à la cour d’appel. On voit s’il n’y a pas de vices de procédures.   Le tribunal des conflits : conflits de juridiction Par cours-irts.over-blog.com - Publié dans : Droit Ecrire un commentaire 0 - Voir le commentaire - Voir les 0 commentaires - Partager           Vendredi 14 janvier 2011 5 14 /01 /2011 20:00 Droit des personnes DF1 _ 18.11. Droit des personnes     Le droit se subdivise en 2 parties qui sont elle-même divisée en plusieurs sous parties :

affirme que le PACS est une situation différente de celle du mariage. De plus, l’acte édicté par l’autorité administrative, n’est pas contraire à la hiérarchie des normes et qu’elle ne forme pas un abus de pouvoir de cette autorité, du fait qu’elle se borne à faire un commentaire dénué de tout caractère impératif. Et qu’enfin, la décision prise par l’autorité administrative n’est pas une forme de discrimination envers les personnes liées par un PACS. Car elle reconnait et affirme que le législateur

TD : Droit de la Famille   Commentaire d’arrêt     Cour de cassation, 7 avril 2006, 1re chambre civile     Affaire opposant Monsieur X contre le ministère public dite « Affaire benjamin »    Le 13 mars 2000, Monsieur X reconnaît comme sa progéniture, l’enfant dont est enceinte Madame D. Elle accouche sous X le 14 mai 2000. L’enfant est placé auprès du service de l’aide sociale comme pupille de l’état le 17 juillet 2000. Monsieur et Madame Z projette d’adopter l’enfant Benjamin Damien Y

TD 5 - Droit de la responsabilité civileCommentaire d’arrêt : Cass, civ 2e, 11 septembre 2014 La faute n’étant pas nécessaire pour établir la responsabilité des parents du fait de leur enfant mineur, un simple fait causal suffit. En effet, cette approche philosophique a évolué et a été amenée avec l’héritage romain où on considérait que le père de famille était responsable de ce qui se passait sous son toit, mais également à l’extérieur du domicile. Il y a une certaine solidarité familiale

dispose que nul ne peut être adopté par plusieurs personnes si ce n'est par deux époux. | Parce que selon les articles 8 et 14 de la CEDH toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale et il ne peut y avoir d’ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit. | C/ Problème de droit Au regard du principe du respect de la vie privée et familiale, est-il légitime de limiter le nombre d'adoptions simples pour un même individu? Une même personne peut-elle

posé par une autorité apte à le prononcer, à le poser, le droit naturel devient alors du droit positif. Le droit positif est le droit naturel dit par une autorité. Le droit positif à 2 fonctions : celle de précision, de détermination (ex : majorité) et celle de proclamation du droit naturel, le droit positif fait connaitre ce qui est naturellement juste, cette double fonction est remplie par une autorité dite de droit, il faut qu’existe une autorité apte à le dire. Une telle autorité existe dans

français. La « kafala » « un droit qui veut s’intégrer », selon l’expression du Doyen Carbonnier, est néanmoins prise en compte par les tribunaux français qui reconnaissent qu’elle produit les effets de l’autorité parentale - et plus précisément de la délégation de l’autorité parentale telle que prévue par l’article 377-1 du code civil - ainsi que ceux de l’adoption. Et pourtant, le paradoxe de cette institution est que, si l’adoption est très répandue en France, elle est prohibée dans les pays

Les personnes physiques encourent également la peine complémentaire d’interdiction à titre temporaire d’exercer les droits attachés à une licence de débit de boissons pour une durée d’un an au plus et celle d’accomplir un stage de responsabilité parentale. En cas de récidive dans les cinq ans, la sanction est d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 15 000 €. En outre, la responsabilité pénale des personnes. Morales peut être engagée. (Source : www.herault.pref.gouv.fr) Suite à une recherche

De l’adoption. Section I. Des conditions de l’adoption. Section II. Des formes de l’adoption. Section III. Des effets de l’adoption. Section IV. De la révocation de l’adoption. Ch.3/ De l’adoption plénière. Titre VIII.bis Titre IX. De l’autorité parentale. Section I. De la personne de l’enfant. Section II. Des biens de l’enfant. Titre X. De la minorité de la tutelle et de l’émancipation. Ch.1/ De la minorité. Ch.2/ De la tutelle. Section I. De l’ouverture de la tutelle. Section II. De l’organisation