Commentaire Décision 26 Mars 2003

contrat Seules les parties à un contrat public ont accès au juge du contrat. Le titulaire d'un marché public peut ainsi contester les décisions par lesquelles l'administration exécute le contrat, telles que les ordres de service, les décisions de résiliation du marché ou de sanction du cocontractant. Toutefois, le titulaire du marché ne peut demander l'annulation des décisions administratives prises par l'administration à son encontre. Il est en effet de principe que le juge du contrat « n'a pas le pouvoir

– Assemblée 28 Juin 2002 N° 22 03 61 Procédure: M. X a alors déposée une requête, enregistrée le 26 Avril 2000 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, demandant l’annulation pour excès de pouvoir de la circulaire précitée. Et il présente aussi une demande en annulation en date du 21 septembre 2000, auprès du greffe du tribunal administratif de Paris, concernant la décision rendue par le ministre des affaires étrangères, rendue le 27 Juillet 2000, rejetant la demande de supplément

Le Conseil d'État estime dans sa décision « CCI du Var » le 22 décembre 1989 que la redevance domaniale est une redevance sui generis c'est-à-dire ni un impôt ni une redevance pour service rendu.   L'administration doit éviter les discriminations injustifiées. Elle doit tenir compte du principe d'égalité entre occupants privatifs, qui découle de l'arrêt « Biberon » rendu le 2 novembre 1956 par le Conseil d'État. Commentaire d’arrêt : *** CE 21 mars 2003 « SIPPEREC ». Au vu d’une

distinctes : la note de TD et la note d’examen. La note de TD se compose de la manière suivante : - Pour un tiers, une note d’interrogation écrite (1h, lors de la séance 6 de TD). - Pour deux tiers, une note de galop d’essai, lequel aura lieu le 7 mars, de 14h à 16h. ð La moyenne de ces notes est pondérée à la hausse ou à la baisse, à la libre appréciation du chargé de TD, en fonction de l’implication de l’étudiant, notamment son comportement durant la séance, sa participation orale, son assiduité…

faut que ces travaux soient entrepris dans un but d’intérêt général. Si se glisse dans un intérêt financier ou particulier un intérêt général, il y aura travaux publics ; c’est ce qui a été retenu notamment dans un arrêt du Tribunal des Conflits du 26 juin 1973, ONF. [...] [...] Mais l’influence reste restreinte par l’autonomie de chacune des notions ; en effet, on peut trouver des travaux publics sans ouvrage public (B). A. Deux notions proches : l’influence sur la notion de « travaux publics »

Commentaire de la décision du conseil constitutionnel du 6 novembre 1962 : loir relative à l’élection du Président de la République au suffrage universel direct. « Le Conseil Constitutionnel vient de se suicider » proclamait Gaston Monnerville Président du Sénat (Le Monde 8 novembre 1962). Le général de Gaulle, président de la cinquième République souhaitait, modifier la constitution pour permettre au chef de l’Etat d’être élu au suffrage universel direct. Etant en mauvaise relation avec les assemblées

des principaux exercices juridiques que vous aurez à maîtriser tout au long de votre cursus. Il s’agit principalement de la dissertation, du commentaire d’arrêt et du cas pratique. Ce premier semestre sera consacré à l’acquisition de la méthodologie nécessaire à l’analyse des décisions de justice, et à la réalisation de fiches d’arrêts et de commentaires d’arrêts. Par ailleurs, un bon juriste, c’est aussi celui qui sait avoir au moment opportun une réflexion à la fois ouverte et argumentée sur

INTERNATIONALES COMMENTAIRE ARTICLE 38 DU STATUT DE LA CIJ L’article 38 du statut de la Cour Internationale de Justice énonce les sources du droit international. « La Cour dont la mission est de révéler conformément au droit international les différents qui lui sont soumis applique : les conventions internationales; la coutume comme preuve d'une pratique général accepté comme étant le droit; les principes généraux de droit reconnu par les nations civilisés; les décisions judiciaires et la

aspects économiques que scientifiques. A cette orientation a répondu une contestation de fond qui souligne les nombreuses limites des analyses d’impact et accuse l’Administration en place de les utiliser non comme de véritables outils d’aide à la décision publique, mais comme un instrument politique destiné, dans certains cas, à entraver l’activité réglementaire des Agences (Partie IV). Cette contestation invite aussi à s’interroger sur l’antagonisme de principe qui existerait entre les analyses d’impact

DROIT DES OBLIGATIONS COMMENTAIRE D’ARRÊT CIV. 3ÈME, 7 JANVIER 2009 La rupture fautive des pourparlers ne peut donner lieu à indemnisation du préjudice résultant de la perte de chance de réaliser les gains que le contrat aurait permis d’obtenir. Telle est la solution rappelée avec clarté par la troisième chambre civile de la Cour de cassation le 7 janvier 2009. En l’espèce, un bail commercial avait été conclu entre une SCI et une société. Des négociations s’engagent entre le bailleur, le preneur