Commission Jospin

stratégique important pour la France, il était d’ailleurs toujours resté hors du « champ » traditionnel d’influence de celle-ci. L’envoi de troupes en Afghanistan fut décidé conjointement par le président de la république et le gouvernement de Lionel Jospin afin de poursuivre les objectifs légitimes de sécurité collective, conformes aux intérêts de la France et inscrits dans le cadre d’un mandat de l’ONU. Il s’agissait de défaire l’organisation terroriste d’Al-Qaïda, responsable des attaques du 11

ensemble en 1982 L'épargne et la retraite (Éditions Economica). Entre-temps, après un court passage au CERES de Jean-Pierre Chevènement et Georges Sarre, Dominique Strauss-Kahn commence à militer au Parti Socialiste où il se lie d'amitié avec Lionel Jospin, futur Premier Secrétaire du parti lorsque François Mitterrand deviendra Président de la République en 1981. En 1982, il intègre le Commissariat général au Plan dont il deviendra successivement Chef du service du financement (1982-84) puis Commissaire

l'« impératif de compétitivité globale qui impose à tous les rouages d'un pays d'être performants ». En 2002, le Medef d'Ernest-Antoine Seillière avait refusé de « labelliser un candidat » mais avait pris le contre-pied des propositions de Lionel Jospin (article de Michel Noblecourt, Le Monde du 8 février 2007). L’arrivée de Laurence Parisot en 2005 provoque un changement important1. Issue du secteur des services, elle s'oppose à la puissante UIMM, organisation patronale de la grande industrie,

manne de l'APD [aide publique au développement] sur un pays si méritant. Contre la livraison du sud-Soudan au régime de Khartoum, la France a obtenu celle de Carlos. Plus « trente deniers » : la vente de trois Airbus, qui a généré de copieuses commissions à Paris, ainsi que des promesses de pétrole pour Total, et de grands travaux pour l'entreprise GTM.[12] » Pour comprendre la raison d'être de cette « diplomatie parallèle », il convient d'établir la liste des différents acteurs du complexe franco-africain

les collaborateurs du premier ministre. Ces deux secrétariats vont coordonner l'activité du président et du premier ministre. À côté du secrétariat général il existe une autre institution administrative - crée en 1997 par Jacques Chirac et Lionel Jospin - le Conseil de la sécurité intérieure qui est présidée par le président de la république et qui a un rôle de définir la politique de pays en matière de la sécurité intérieure. Section 2 : Les pouvoirs du président La Ve république va prévoir

psychologue et psychothérapeute française titulaire d'un DESS de psychologie clinique et un DEA de psychanalyse. En 1986, lors d'un déjeuner amical avec François Mitterrand, alors président de la république, celui ci lui parle des travaux d'une commission ministérielle sur l'accompagnement des mourants et du projet de création d'une unité de soins palliatifs pilote à l'ancien hôpital universitaire (aujourd'hui Institut Mutualiste Montsouris) à Paris. Il lui propose alors d'intégrer la première équipe

Celui-ci est créé en octobre 1995, sa rapporteuse générale est Roselyne Bachelot et Gisèle Halimi est responsable de la commission politique. Toutes deux rédigent un rapport en 1996 dans lequel elles proposent des mesures volontaristes “législatives et/ou constitutionnelles instaurant les principes d’un quota ou d’une parité”. En 1997, dans sa déclaration, le Premier ministre Lionel Jospin s’engage à réformer la Constitution pour y inscrire la parité. Donc face à l'échec de 1982, la révision constitutionnelle

familiaux et intellectuels. Mais l'échec du référendum du 27 avril 1969 avec un NON à 52,41 % des suffrages avait marqué fin du premier projet. Pierre Mendès France, en 1962 , a également exprimé le souhait de voir ces deux organes fusionner. Lionel Jospin en 1998, sous la cohabitation avec un Sénat de droite, l'avait qualifié d'anomalie parmi les démocraties dont la réforme était absolument nécessaire. Plus récemment, en 2014, le maintien de l'immunité parlementaire de Serge Dassault a suscité une

Mermaz, Le 10 mai, pourquoi ? ……………………………………………………………… p. 53 Laurent Fabius, Quelle politique économique dans un nouvel environnement ? Michel Rocard, Regards sur le mandat de François Mitterrand ……………… p. 57 ………………………………… p. 63 Sommaire Lionel Jospin, Le 10 mai : l’État, les institutions, le parti ……………………………………… p. 75 3 Hubert Védrine, Réflexion sur le 10 mai 1981. Trente ans après ………………………………… p. 81 Regards sur le 10 mai Charlotte Brun, Moins d’ambition, moins de remords ? ……………………………………………

il existe parfois certaines difficultés pour les partis de gauche sur des sujets tels que le droit de vote des étrangers et la reconstruction du Sénat par exemple sur lesquels la droite est hostile, et parfois réciproquement avec la gauche. Des commissions de réflexion, Balladur et Vedel principalement, ont même été crées pour réfléchir sur la manière d’envisager des solutions à ces problèmes. La question qui se pose donc, suite à cet exposé des faits, est quel est en droit appliqué, l’état des techniques