Comparaison Freud Rousseau

seul est doté. J.-J. Rousseau est le grand maître à penser de la philosophie moderne de l’éducation. Avec lui, l’éducation devient un exercice sérieux qui incombe aussi bien à l’éducateur qu’à l’enfant. Elle fait advenir en l’homme ce à quoi la nature le destine à être. Et c’est pourquoi il y a dans ce processus une réelle téléologie : l’enfant doit aboutir à la liberté qui lui permettra de réaliser l’humanité qui est en lui. Tel est la clef de voûte du projet éducatif de Rousseau dans Emile ou De l’éducation

ses conditions l’hypothèse d’une société qui se passerait tout à fait de moralités ? Ce texte est un apologue c'est-à-dire un court récit fictif dont l’enseignement moral revêt la forme de l’allégorie (qui exprime les idées sous forme de symbole). Freud apprécié particulièrement cet apologue et l’évoqué dans les termes suivant : « Le célèbre apologue des porcs-épics transi de froid quand aucun ne supporte de l’autre d’un contact trop intime décrit à la perfection comment les Hommes se comportent en

à L 13 : Marc Aurèle explique un cas de figure concret: sa philosophie n'est pas dans l'abstrait, et il recherche avant tout à guider. Plus que jamais le philosophe se veut être un guide, un maître à penser. c. L13 à L 15: Marc Aurèle fait la comparaison avec deux membres du corps, qui sont déterminés par leur fonction: les pieds et les yeux. Ce passage peut nous faire penser que l'homme n'a pas à choisir, et qu'il est condamné à subir la logique décrite par l'empereur romain. Cela peut nous en

une garantie contre la violence ? » -- page 2/ 5 lois de la nature (par le biais de son instinct) et le fonctionnement de la chaîne alimentaire ; de même le climat n’a pas été violent à l’égard des dinosaures en les faisant disparaître. Pourtant, Freud lui-même dans le Malaise dans la culture, envisage bien la culture comme une « protection de l’homme contre la nature » et souligne la violence de la « surpuissance » de la nature, ainsi que la peur de l’homme à son égard. Le problème tient alors au

l’homme l’empêche d’être heureux : « nous anticipons l’avenir (…) nous nous rappelons le passé pour l’arrêter ». C’est donc l’homme lui même qui est un obstacle à son bonheur. C’est la même idée d’un homme obstacle à son bonheur qu’on retrouve chez Freud « nos facultés de bonheur sont déjà limitées par notre constitution ». Le bonheur serait donc uniquement défini par une absence de souffrance et de douleur 3- Un bonheur présent en chacun de nous. Une dernière conception de bonheur existe, c’est

trois heures Documents à apporter lors de l’examen : La présente grille d’évaluation (à remettre avec l’examen) L’existentialisme est un humanisme de Sartre Les quatre textes distribués en classe : Nietzsche, Freud, Descartes, Beauvoir. Vous aurez également accès au texte de Rousseau issu du manuel. Un dictionnaire de la langue (et tout ouvrage de soutien à la langue) Citations : Privilégiez les citations brèves (trois lignes ou moins). Une citation brève se place entre guillemets et s'écrit

politique ÉPOQUES : Antiquité : Socrate et Platon Modernité : Descartes → invite la modernité 1637 : Discours de la méthode 1641 : Méditation métaphysique 18éme siècle : Les Lumières : Rousseau Voltaire Les Révolutionnaire : Marx Freud Nitch ← critique de Descartes LA DISSERTATION : sujet sous forme de question : une notion → trouvé un auteur. Expl : Socrate, la vérité sujet de plus d'une notion → aborder deux sujets avec 1 ou 2 auteurs

ligne, est explicitée tout au long du texte. Pour faire comprendre le rôle de l’art, Hegel compare ce dernier au langage, qui est un autre moyen dont dispose l’esprit pour communiquer ses pensées. Mais aussitôt après, il montre les limites de cette comparaison, en mettant en lumière la spécificité des œuvres d’art par rapport aux signes utilisés dans le langage : dans l’œuvre d’art, la forme visible est adéquate à son contenu spirituel. Pour terminer, Hegel réaffirme sa thèse initiale, mais de manière

le résultat d’une nature capricieuse. La nature soumettrait l’homme à des catastrophes climatiques et autres intempéries le poussant à s’organiser collectivement pour les contrer efficacement. Ces dernières marqueraient alors, comme l’explique Rousseau dans Le Discours sur l’origine des inégalités parmi hommes, la fin d’un Etat de nature où les hommes étaient dépouillés de toutes qualités sociales et se trouvaient dans un environnement d’équilibre et marquerait l’avènement d’une société inégalitaire

partent d’une même observation : tandis que l’animal est sujet à une sélection naturelle, l’homme s’adapte à son milieu et pour cela vit avec des semblables (ce qui ne signifie pas qu’il vit en société). La première thèse, celle de Darwin reprise par Freud dans Totem et tabou et par Girard dans La violence et le sacré soutient que dans ces hordes, le mâle dominant interdit aux autres mâles (ses enfants) de rester avec les femelles. Frustrés ceux-ci s’allient, le tuent et le mangent lors d’un repas totémique