Comparaison Misanthrope

À cette époque où les auteurs et philosophes faisaient connaitre ses modèles pédagogiques, Sade sent la nécessité de rééduquer la société, en adoptant l’apprentissage de nouveaux concepts et d’une nouvelle morale, il ne reste pas en arrière en comparaison avec les outres et montre sa modèle pédagogique basé sur le plaisir et la torture du corps et la liberté du spirit, complètement éloignée de préceptes religieux. Derrière de l’humiliation, la souffrance et la douleur, en 120 journées en Sodoma il

peut parfois devenir sclérosante. Après avoir connu une période faste grâce au génie des poètes de la Pléiade, le sonnet finit par s’épuiser au début du XVIIIe siècle et par sombrer dans l’oubli. Molière, à la fin du XVIIe siècle, dans sa pièce Le Misanthrope ironise déjà sur le ridicule de nombre de poètes sans inspiration, comme Oronte, qui s’essaie à écrire des sonnets. (scène 2, acte I). Il n’y a que Philinte pour s’exclamer : « Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont dites ! » 2) Certains

1 Pascal, Pensées, liasses II à VIII Séquence pédagogique orientée vers la terminale L, proposée par Daniel Hermosin. Sommaire I. Présentation II. Perspectives d’étude 1. Les papiers d’un mort 2. Le divertissement 3. Un misanthrope sublime ? III. Bibliographie I. Présentation L’étude des liasses II à VIII des Pensées de Pascal offre au professeur et aux élèves un excitant défi intellectuel. L’objet d’étude proposé – « Littérature et débat d’idées : Grandeur et misère de l’homme »

savons assez peu sur la genèse des six sonnets. Les études de nervaliens nous invitent à rechercher la genèse d'Octavie dans la superposition de deux fantaisies ayant chacune un noyau de réalité (aventures de Naples et de Marseille). La simple comparaison des textes (Octavie et Chimères) révèle des analogies portant sur le paysage, la jeune fille, le volcan, la grotte. Mais ce réseau doit être pousuivi dans les sonnets où il est moins évident. L'apparentement de Delphica à Octavie est aisément établi

série Galilée qui comportent des extraits de mises en scène récentes de certaines pièces : dans la série Maîtriser le discours, Bérénice et Electre de Sophocle (cassette n°8), Dom Juan (cassette n°9) ; dans la série Les textes ont la parole, Le Misanthrope (cassette n°2), Tartuffe et Le Mariage de Figaro (cassette n°4) I. Comédie et comique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse

courage et de générosité, l'honnête homme devait rester maître de lui-même, ne pas faire étalage de son savoir et se conformer aux bienséances Texte didactique Les caractères : Portrait d’ordre moral, intellectuel Etablir un rapport avec le misanthrope qui étudie un caractère Règle du classicisme, l’honnête homme Contraire de l’honnête homme Comportement d’Arias Quel effet ça nous fait Actualiser : présent I PORTRAIT D’UN HOMME GROSSIER, MAL ELEVE PORTRAIT GENERAL INTEMPOREL, AVEC MORALE

Quoi qu’on puisse dire enfin, le cocuage / Sous des traits moins affreux aisément s’envisage ; / Et, comme je vous dis, toute l’habilité / Ne va qu’à le savoir tourner du bon côté ». Ce comique du cocu est peut-être mieux illustré encore par la comparaison plutôt grivoise d’Alain à la scène 3 de l’Acte II « La femme est en effet le potage de l’homme ; / Et quand un homme voit d’autres hommes parfois/ Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts/ Il en montre aussitôt une colère extrême». Mais

Présence de termes hyperboliques qui marquent l’exagération : « lugubres » v.1/v.36, « maux » v.14, « affreux » v.17, « importuns » v.11/32, « malencontreux » v.53, … + jeu des antithèses v.26 « honorer les morts » / mourir les vivants ». + Comparaisons : « comme un tigre en furie » (gradation) v.7, « comme un enfant qui crie » (personnification des chats) v.8. + Métaphore du « serrurier, laborieux Vulcain » v.17 (référence mythologique marquant une amplification) et « un fer maudit » v.19, « fourmillent »

manière plus subjective et selon une méthodologie plus libre, recourent à une argumentation qui peut sembler infiniment plus rigoureuse et convaincante que l’apologue, qui ne repose en dernière analyse que sur un raisonnement analogique, sur une comparaison entre récit et morale. L’essai tel que le pratique à sa manière Montaigne ne recourt pas seulement aux récits, mais également aux citations. Ces ajouts se trouvent parfois en contradiction les uns avec les autres, Montaigne n’hésitant pas parfois

un fait ou à un héros une grandeur et une force extraordinaires. La poésie épique n’est pas forcément liée à l’épopée. Comme les actions représentées sont extraordinaires dans la poésie épique, l’hyperbole est fréquemment employée ainsi que les comparaisons grandioses. La poésie satirique Dans son sens premier, la satire est un poème de forme libre, à rimes plates. Le poème satirique critique les vices et les ridicules des hommes, qu’il s’agisse d’individus ou de groupes sociaux, ou encore de