Complexe

général, la période de latence commence vers l’âge de 5 ans. Le complexe d’œdipe ne cesse jamais brutalement. Il peut se manifester encore via des conflits enfant/parents. D’ailleurs le plus souvent il y a conflit avec le parent du même sexe que l’enfant. L’enfant peut aussi s’attacher encore plus au parent du sexe opposé. Ne dit-on pas d’ailleurs : Les filles vont toujours vers leur papa et les garçons vers leur maman. Le stade du complexe d’œdipe est dépassé lorsque l’enfant a dépassé les trois stades

avec grand plaisir. * De 3 à 6ans ; stade phallique Découverte de l’identité sexuelle (s’informe sue la connaissance des sexes, la naissance, la procréation. Apparait le complexe d’Œdipe (relation de rivalité avec le parent de même sexe pour la conquête du parent de sexe opposé. La traversée du stade phallique et du complexe d’Œdipe est le moteur d’acceptation par l’enfant de son identité sexuelle et de sa place dans la famille structurée par des interdits. Ainsi l’enfant prend conscience de son

phallique ou génital : * Début vers 2 ans * Caractéristique : curiosité concernant le mystère de la sexualité 1.2. Relations. Structures psychologiques * Le complexe d’Œdipe : Passage de la relation duelle mère-enfant à la relation triangulaire. Comment se déroule le complexe d’Œdipe ? * Le déclin du complexe d’Œdipe Investissement d’autres objets Interdit -> Surmoi * La puberté Période de crise. Révolte contre l’autorité. Maturité psychologique. 2. Psychanalyse

c’est le développement de l’enfant. C’est là que le désir envers la mère (complexe d’Oedipe) et le développement psychique débute. Le complexe d’Œdipe et la façon dont il est refoulé déterminent l’évolution sentimentale et morale de l’homme. Il va également en résulter va résulter la création du surmoi, c’est-à-dire de la conscience morale. Selon Freud, la création du surmoi ne peut avoir lieu avant le refoulement du complexe d’Œdipe donc cette période de la vie est d’une importance capitale. Selon

et la fonction d’élimination). Pour finir, le stade phallique dure entre les 3e et 6e années de son existence. Ce stade se caractérise par l’acquisition de son identité sexuelle. Pour se faire, Freud décrit 2 complexes qui y jouent un rôle important, soit le complexe d’Œdipe et le complexe de castration. Le premier est le sentiment d’amour et d’hostilité que l’enfant ressent pour ses parents1, et le second est lié a la découverte de la différence sexuelle entre les hommes et les femmes2. En bref

pt ) dt . Ce choix particulier t0 pour la borne d’intégration inférieure permet de prendre correctement en compte les fonctions discontinués en t=0 et les distributions (d(t), d’(t), etc.). 2 La fonction F(p) n’est pas définie dans tout le plan complexe : elle n’existe que dans une région de convergence. Nous ne nous en occuperons pas trop ici. 2 TRANSFORMEE DE LAPLACE LII [ f (t )] = ∞ ∫ f (t ) exp (− pt ) dt (I.2) −∞ Dans ce cours de Théorie des Circuits, nous utiliserons systématiquement

que (w n ) est une suite arithmétique de raison − 3. Déterminer la limite de la suite (v n ). 2 Résolution d’une équation dans C On considère le polynôme P défini sur C par : P (z) = z 3 − 2 + i 2 z 2 + 2 1 + i 2 z − 2i 2. 1. Montrer que le nombre complexe z 0 = i 2 est solution de l’équation P (z) = 0. 2. (a) Déterminer les réels a et b tels que P (z) = z − i 2 z 2 + az + b . (b) En déduire les solutions dans C de l’équation P (z) = 0. 1 TS2 - DM n°5 - Année 2014 - 2015 DM n°5 -3 novembre 2014

Pondichéry 2013. Enseignement spécifique EXERCICE 3 (5 points) (candidats n’ayant pas suivi l’enseignement de spécialité) − − Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct O, → u,→ v . On note i le nombre complexe tel que i2 = −1. On considère le point A d’affixe ZA = 1 et le point B d’affixe ZB = i. A tout point M d’affixe ZM = x + iy, avec x et y deux réels tels que y ̸= 0, on associe le point M ′ d’affixe ZM ′ = −iZM . On désigne par I le milieu du segment [AM]. Le but de l’exercice

Soit E le C-espace vectoriel des suites ` termes complexes et a, b deux nombres complexes. a On consid`re F l’ensemble des suites (un )n 0 de E telles que un+2 = aun+1 + bun pour tout e n ∈ N. 3 (a) Montrer que F est un sous-espace vectoriel de E. (b) Soit r un nombre complexe non nul. Montrer que la suite (rn )n 0 appartient ` F si et a seulement si r2 = ar + b. On suppose d´sormais que a = 2 et b = −5. e (c) Trouver deux nombres complexes α et β tels que les suites (αn )n 0 et (β n )n 0 appartiennent

candidats) Partie A On considère le polynôme P défini sur C par : √ √ √ P (z) = z 3 − 2 + i 2 z 2 + 2 1 + i 2 z − 2i 2. √ 1. Montrer que le nombre complexe z0 = i 2 est solution de l’équation P (z) = 0. √ 2. a) Déterminer les réels a et b tels que P (z) = z − i 2 (z 2 + az + b). b) En déduire les solutions dans C de l’équation P (z) = 0. Partie B − → Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct (O, →, − ). On prendra 2 cm pour unité u v graphique. On considère les points A, B, J et K d’affixes