Composition picturale

l’analyse picturale et l’interprétation de cette peinture. A partir d’une approche rapide, nous pouvons dire que Solidité du brouillard est un tableau semi figuratif au traitement pictural géométrique, puisqu’il se dégage des formes telles les cercles et des triangles, représentant des personnages au premier plan et un paysage au second. L’analyse de l’œuvre peut se faire par l’étude de différentes compositions. Premièrement, lorsque l’on s’intéresse à l’étude de la composition en ligne,

forme visible (d’une figure). Enfin, le couple conceptuel de la troisième colonne (valeurs d’interpénétration et valeurs de juxtaposition) renvoie à une région supérieure des objets d’intuition, que nous pouvons appeler la couche des valeurs de composition : il désigne les valeurs dont la mise en balance rassembleune pluralité d’unités dotées d’une forme visible (qu’il s’agisse des éléments d’un organisme déterminé, des parties d’un groupe déterminé ou des composantes d’une totalité artistique déterminée)

Picasso se détache de cette mouvance autour de Cézanne dans ce sens où, au lieu de partir dans le Sud de la France à l’été 1905, comme Matisse ou Derain qui pratiquent le pèlerinage vers le Sud, pour se placer dans des conditions climatiques et picturales comparables à celles que connaît Cézanne lui-même ds la campagne aixoise, Picasso lui se rend aux Pays-Bas chez un peintre néerlandais à cette même époque. Deux rétrospectives des Salons d’Automne de 1904 où Cézanne expose certaines de ses œuvres

y voir le ciel.________________________________________________________________________________________________________________________________ | Composition de l’œuvre (analyse) :Composition, espace, lumière, couleurs, formes, facture…Composition de l’œuvre (analyse) suite… | L’artiste donne de l’importance aux lignes verticales pour ce paysage (plutôt qu’aux lignes horizontales), afin de créer une autre manière de traiter le paysage.Espace :

écrite. Nous verrons ainsi quelles significations nous pouvons attribuer à la couleur la plus riche, la plus profonde qui y apparaît : le rouge. Le rouge est avant tout emblème de vanité, donc d’une certaine futilité, mais aussi dans le sens pictural de terme, nourrissant par ce biais les autres thèmes développés par l’œuvre. Associée au pouvoir, à la quête des honneurs, quête vaine et motivée par l’orgueil ou un besoin de reconnaissance, elle prend corps à travers les personnages. Ainsi, Monsieur

D' après trois oeuvres, nous tenterons de comprendre l'évolution picturale du XIIIe siècle au XVe siècle, en Italie et aux Pays-Bas. Suite à une brève analyse plastique et technique de chacune de ces oeuvres, nous étudierons une nouvelle manière de peindre grâce à l'apparition de nouveaux procédés techniques. Puis nous chercherons à comprendre l'évolution de la visée artistique. LA MADONNE DE RUCELLAI, peinte par l'artiste italien Duccio, est une oeuvre réalisée en tempera sur un panneau de 290

, Rainer se détache définitivement du surréealisme et figurative de ses début pour aboutir à ces formes picturales abstraites qu’il désigne par les termes microstructures et atomisations. charné 1953-59 VIT comme un ascète en basse Autriche, c’est là qu’il entame ses réductions : un ensemble de tableaux noirs strictement monochromes, rappelles les enduits utilisés comme fond picturaux.. Etapes préliminaire aux futur recouvrements. Charnéé 1954: L’artiste se montre attiré par la forme en

des jeux d'échelles ? Les lignes sont-elles verticales, horizontales, obliques, courbes, arabesques, continues, sinueuses ? Quel est le rythme des lignes, du graphisme, de l’écriture ? Quels sont les effets de matières ? Ces matières sont-elles picturales, fluides, épaisses, opaques, mates, brillantes, lisses, rugueuses… ? Sont-elles posées en aplat, en touche ? Quel est l’outil utilisé ? Le support ? Les tons sont-ils clairs ou obscurs ? Observe-t-on des effets d’ombre et de lumière ? Les tons sont-ils

et des aspirations absentes des documents.  De cette manière dans le chapitre I Baxandall met à jour la structure du marché de la peinture du XVe siècle pour découvrir qu’elle était la base économique du culte de l’époque pour l’habilité picturale. Il est clairement dit page 1 » que « ce livre traite de la contribution spécifique du client à cette relation économique.» Il commence par introduire son sujet : « Une peinture du XVe est le produit d’une relation sociale. D’un côté, un peintre

obtient ses premières commandes (portraits traditionnels, décors d’églises et la peinture d’inspiration divisionniste ou fauve, parfois marquée par des sources d’un « langage pictural universel ». Entre 1912 et 1920, il mène progressivement naturelle à la réalité abstraite ». modulaires. opposition à une autre position ». pictural à une utopie sociale, spirituelle et poétique. De Stijl, Abstraction-Création, etc...) de particuliers). Au début du siècle, il peint régulièrement, dans une veine symboliste