Conception De La Justice Selon Ulpien

droit[1] ». Les actions possessoires, actions réelles immobilières, servent des intérêts multiples. Elles apparaissent, tout d'abord, comme un instrument de protection de l'ordre public, en évitant que le possesseur troublé ait recours à des modes de justice privée. Elles furent également considérées comme une défense indirecte de la propriété et plus généralement des droits réels, le possesseur étant très souvent titulaire du droit qu'il prétend exercer[2]. Toutefois, l'extension de la protection possessoire

pour toutes les principes du droit politique sans les confondre avec le droit positif ou existant. La distinction entre le droit et le fait doit justement être faite avec soin quand on étudie le droit, c’est-à-dire le corps des règles officielles selon lesquelles une communauté vit, car on peut vite tomber dans l’ambiguïté. L’ensemble de ces règles est appelée « droit » parce qu’elle est censée énoncer ce qui est juste, les bonnes solutions qui conviennent à tous également pour régler la vie en

droit privé). Le droit judiciaire privé (ou procédure civil) l’objet est d’organiser les juridictions judiciaire et de fixer leurs règles de fonctionnement. Cette discipline indique quelles sont les règlesà respecter pour faire valoir ses droits en justice. On est en présence d’un droit qui régit les relations entre les justiciable et l’état (qui organise les juridictions et leurs fonctionnement). Mais, les concepts, les raisonnements utilisés sont des concepts et raisonnements de droit privé. Donc

n’y a pas de lois écrites, donc le roi en prononçant un jugement va établir ce qui est permis, ce qui est juste. La loi écrite était le « nomos » et le jugement du roi ou du juge est appelé la  « Thémis ». Il ne s’agit pas d’une justice arbitraire, clanique, divine, la justice est ce que le roi trouve juste. Ce roi est accompagné dans ses fonctions par un conseil (composé de proches du roi qui expriment leurs avis) et c’est à la base de ces avis que le roi va prendre ces décisions (= la Thémis). Le

peuples à disposer d’eux-mêmes. Il faut distinguer le sentiment national de l’identité nationale. Dès l’époque médiévale on parlait de la « petite patrie locale ». Toujours au XIIème siècle on essaie de faire passer dans la conscience populaire l’idée selon laquelle la France est notre terre. Ce qui veut que certains en particulier les ecclésiastiques essaient de faire prendre conscience à la paysannerie et les sensibiliser à l’idée de la France. On essaie aussi de bien montrer qu’il y a un royaume de

autre loi que celle à laquelle le citoyen a donné son assentiment", il n'en demeure pas moins qu'il pense que nous ne pouvons plus appréhender le paradigme des sujets de droit pouvant s'affirmer mutuellement comme auteurs et destinataires du droit selon les paramètres philosophiques préconisés par Kant. Nous pouvons le confirmer par: 1) la construction de l'autonomie individuelle, 2) la question de l'autonomie politique, et 3) la relation entre l'autonomie individuelle et politique.   (1) La construction

l’expression juridique. Dans la pensée commune, le droit doit être codifié et si il ne l’est pas, il doit l’etre sans tarder. On n’a pas voulu imaginer qu’il puisse exister d’autres formes d’exposition du droit. Tous les peuples n’ont pas la même conception du droit. Se pose la question de savoir si la codification s’est imposée et pourquoi. Depuis qques années, la question de la codification est à la mode, elle est induite par l’inflation législative, une inflation qui aurait provoquée un mvt qualifié

économiques et sociaux, on a le travail des femmes par exemple. On a aussi l’accès des femmes à l’enseignement. Pour les facteurs politiques, les partis de gauche n’ont pas la même conception de la famille que les partis de droite. Suivant le parti au pouvoir, ca peut jouer. Parmi les facteurs idéologiques, selon les époques, les courants de pensée sont favorables ou défavorable à l’égalité des sexes, ce qui se répercutera sur la famille. Parmi les facteurs conjoncturels, historiques, l’exemple

l’histoire on est passé d’une famille à un sens large et plus on avance dans le temps plus on assiste à un éclatement de la famille pour arriver aujourd’hui parfois à une seule femme et son enfant. La famille qu’autrefois considérée comme un modèle unique selon le modèle romain, s’est peu à peu construite sur la diversité. C’est le passage d’une famille traditionnelle à des familles recomposées. Jusqu’à la révolution française on n’a qu’un seul modèle de la famille. Plus de stabilité en droit de la famille

aspects tout particulièrement. Premier aspect, objet d’un premier titre : le cadre intellectuel, scolaire et universitaire. C’est l’héritage grec et romain : il continue ; mieux il s’amplifie. Ceci permet deux choses : on retrouve le lien avec la justice comme but du droit, on retrouve ensuite le réalisme, l’attention aux faits, au réel, aux situations particulières, le refus des systèmes abstraits ; le droit est proche de la vie, de sa variabilité. Nous verrons que le droit commun est rivé à la vie