Concile De Clermont

se désorganiser. Le rôle de l’évêque : - Préside à la communauté de prêtre - Les églises mineures sont soumises à son contrôle Certains diocèses n’ont plus d’évêques, d’autres en ont deux, l’autorité du métropolitain se dissout, les conciles (assemblées organisées pour débattre de l’adaptation des règles applicables à la communauté des fidèles) disparaissent. Le monachisme va compenser cette dislocation progressive. Ce mouvement vient de l’Orient, où des religieux partent en ermites

départ à tous les évêques), n’a toutefois au début qu’une prééminence morale sur les autres évêques. L’autorité doctrinale réside dans les assemblées d’évêques, appelées conciles ou synodes. En 325, à l’initiative de l’empereur Constantin, une assemblée de tous les évêques de l’Empire eut lieu à Nicée : c’est ce premier concile « œcuménique » (universel) qui a précisé les points essentiels du dogme chrétien. En même temps, l’Église s’organise sur le territoire de l’Empire, et là aussi elle se coule

est considéré comme le sixième livre et on l’appelle donc le Sixième ou le Sexte (sextus). Il fut publié en 1298. Le quatrième élément est commandé par le Pape Clément V. il s’agit de nouvelles compilations pour mettre en ordre ce qui ressort du Concile de Vienne. Mais le Pape meurt avant que le recueil ne soit fini et c’est le Pape Jean XXII, son successeur, qui le publie sous le nom des Clémentines en 1317. cet ouvrage est considéré comme le septième livre. Puis il n’y a plus de compilations

est considéré comme le sixième livre et on l’appelle donc le Sixième ou le Sexte (sextus). Il fut publié en 1298. Le quatrième élément est commandé par le Pape Clément V. il s’agit de nouvelles compilations pour mettre en ordre ce qui ressort du Concile de Vienne. Mais le Pape meurt avant que le recueil ne soit fini et c’est le Pape Jean XXII, son successeur, qui le publie sous le nom des Clémentines en 1317. cet ouvrage est considéré comme le septième livre. Puis il n’y a plus de compilations

rend compte qu’il faut réorganiser l’église pour qu’elle puisse exercer sa fonction religieuse et spirituelle et qu’elle puisse mener le travail social qu’elle devait accomplir. L’église va se réorganiser grâce à des conciles (réunions d’évêques). On décide au VIIIe siècle que les conciles devaient avoir lieu tous les ans. Puis l’empereur remarque que les textes liturgiques avaient une très grands diversité, on décide qu’il faut qu’il y ait une collection officielle des textes ecclésiastiques, et ont

les façons déviantes de vivre la foi chrétienne). Il intervient en suscitant des normes de droit, il fait évoluer la législation de l’Église. Cette attitude se traduit en 325 par la réunion du concile de Nicée, Constantin assemble les évêques de la chrétienté pour déterminer le dogme de l’Église. Ce concile condamne une hérésie en particulier : l’arianisme. Selon cette hérésie, dans la Sainte Trinité, le père, le fils et le Saint Esprit n’étaient pas qu’un. Cette vision du christianisme avait beaucoup

les façons déviantes de vivre la foi chrétienne). Il intervient en suscitant des normes de droit, il fait évoluer la législation de l’Église. Cette attitude se traduit en 325 par la réunion du concile de Nicée, Constantin assemble les évêques de la chrétienté pour déterminer le dogme de l’Église. Ce concile condamne une hérésie en particulier : l’arianisme. Selon cette hérésie, dans la Sainte Trinité, le père, le fils et le Saint Esprit n’étaient pas qu’un. Cette vision du christianisme avait beaucoup

acte des pouvoirs publics . Les lois au sens large sont formulées par des pouvoirs publics . D’autres sources qui ont influencé le droit : Droit canonique : conciles, droit religieux Ordonnances royales : ordonnance de Colbert en 1667 : réforme de la justice (ancêtre du code de procédure civil), ordonnance de commerce en 1673-1681 (ancêtre du code de commerce actuel), ordonnance

faire construire à Rome une basilique sur l’emplacement du tombeau de Saint Pierre. Ce patrimoine est géré par l’évêque qui ne peut pas en disposer. Pour qu’un élément soit aliéné ou vendu, il est nécessaire que plusieurs évêques se réunissent en un concile qui peut décider de la vente ou de l’aliénation d’un bien du patrimoine de l’Eglise. Ce patrimoine bénéficie de l’immunité notamment fiscale. De la même manière, il y a une exemption pour les clercs, en effet, les corvées, qui constituent la principale

veut décrire l'état des coutumes pour améliorer l'administration de la justice (pour indiquer aux gens comment se défendre contre les malhonêtes). De plus, il dit avoir le devoir de sauvegarder les coutumes du comté car il est le bailli du comte de Clermont, Robert, fils du roi Louis. par 2: il parle de 2 voies pour admettre la coutume: 1ère: déf. de la coutume par 2 éléments constitutifs: le long usage (tradition immémoriale, dont on ne doit plus avoir mémoire du commencement, de l'origine: de si