Concile De Toulouse

de torturer de romains que les gaulois n’avaient pas.) 212 ap. j. l’édit de l’empereur Caracalla accorda la citoyenneté romaine a tous les hommes libres de Gaule et de l’empire. 250 l’Eglise e Rome y envoya 7 évêques : a Narbonne, Arles, Limoge, Toulouse, Tours, Chaumont et Lutèce 330 les empereurs quitterent Rome pour s’installer dans la ville nouvelle de Constantinople Au IV siècle, Constantin donne aux chretiens la liberté de culte 380 l’empereur Theodore fait le christianisme deveinr la religion

guerre et la violence sont très présentes lors de cette période. Pour contrôler ces débordements et ces violations des droits, des évêques rédigent des serments invitant ceux qui les prêtent à rejeter ces comportements violents et organisent des conciles de paix. ← « paix de Dieu » Le climat de violence évoqué dans le serment étudié ci-dessus nourrit chez certains contemporains la sensation de vivre dans une époque qui annonçait une fin des temps. Ce sentiment peut être associé aussi au

Cité par M. Balard, A. Demurger, P. Guichard dans Pays d'Islam et monde latin Xe-XIIIe siècles. Hachette, Paris, 2000. En mars 1095, au concile de Plaisance, des légats byzantins demandent l’aide des Latins pour les aider à lutter contre les Turcs, vainqueurs à Mantzikert. Urbain II (pape de 1088 à 1099) s'adresse aux évêques à l'issue du concile de Clermont le 27 novembre 1095. Il leur demande d'aller au secours des chrétiens orientaux et de délivrer Jérusalem. Cet appel a été retranscrit

dit que c’est lui qui a donné l’ordre. Il demande que cela cesse car dès le 24 aout, des C vont quitter Paris pour annoncer le massacre en Provinces, le massacre va se diffuser : 25 août : Orléans, 28 août : Angers, 31 août : Lyon, début octobre : Toulouse. Michelet parle de « saison de Saint-Barthélemy. Les historiens estiment 5 000 à 10 000 morts de P dans la ville de Paris et Orléans. Ce massacre va être célébrer par les pays C (Rome + Espagne). Au Vatican : Vasari, Le massacre de la Saint-Barthélemy montre

grande persécution a lieu en 303, organisée par l’Empereur Dioclétien. Les communautés se multiplient mais ont peur de la persécution : elles se développent dans la clandestinité. Cela n’empêche pas la progression du christianisme. Au 3e siècle, Toulouse est évangélisée et le mouvement d’expansion ne s’arrêtera pas. Au fur et à mesure que le christianisme gagne du terrain, s’implante, gagne des fidèles, il s’organise. B – L’organisation des premières communautés chrétiennes Dès lors qu’ils

le midi, l’Aquitaine a éclaté en 2 entités : l’une autour du Poitou ou le comte Guillaume Tête d’Etoupe à pris le pouvoir en 934 et l’autre autour de Toulouse où le comte à mis la main sur la Gothie et a installé un des ses parents à Narbonne dès 922. Le lignage comtal a partagé la région en 2 comtés alliés : le Rouergue tenu par Ermengaud et Toulouse tenu par Raymond. Les autres principautés en Catalogne et en Gascogne sont moins abouties en raison des jeux de successions. La Bretagne se stabilise

province ecclésiastique (regroupant plusieurs évêchés). Régulièrement le métropolitain réuni les évêques de sa province pour orienter la vie religieuse dans sa circonscription. Ces assemblées sont appelées des conciles provinciaux (à chaque concile rédaction de statut et règlements). Concile viens du lat. concilium (assemblée). Le métropolitain étant le supérieur hiérarchique de l’évêque, il est très naturellement son juge. Il statut également en appel de toutes les décisions rendues par l’évêque

plus en plus va s’exprimer par des actes écrits. Deux cat d’actes écrits : les écrits du Pape les « décrétales », les résolutions qui sont votées dans ces gds rassemblements ecclésiastiques, occasionnels, les Conciles. Adoption des textes, des résolutions, les « Canons », lors de ces conciles, le dr canon ou canonique. C – L’empreinte germanique et franque 1. L’apport germanique a) Germains et pouvoir Germain vient de « germanius » les voisins. Soit les voisins des Gaulois. L’arrivée des Germains

confère un statut et une reconnaissance aux chrétiens, favorise le développement de la chrétienté et ne créent pas de révolte de la part des autres croyant. De plus il a organisé la mise en ordre du christianisme : s’il n’avait pas mis en place les concile, les assemblées d’évêques, d’abbés et de responsables de communautés, s’il n’avait pas mis en place les dogmes, s’il n’avait pas fixé ce qui est hérétique et ce qui ne l’est pas, la façon de dire la messe, et les bons Evangiles (4 Evangiles sont choisis

de la simonie et dans la réforme des mœurs ecclésiastiques. Grégoire VII vire quelques prélats (évêques ou archevêques) ou moyen d’envoyés extraordinaires. Ceci est un acte violent : les évêques contrôlent l’Eglise et ont vocation à participer aux conciles et à élire le pape. Grégoire VII rajoute l’interdiction absolue d’investiture des évêques et des laïques. C/ La paix du royaume Au début du 7ème siècle se développe le mouvement de la Paix de Dieu, qui veut imposer à tous le respect de l’intégrité