Concile De Toulouse

plaint un particulier, les tribains sont inviolables et sacrés. La porte de leur maison doit rester ouverte : ils sont accessibles. Puissance tribunitienne (des tribains). La Plèbe fait une autre conquête : le fait d’avoir sa propre assemblée : le Concile de la Plèbe. Toutes ces luttes sociales vont permettre de mettre en place des organes du gouvernement républicain. A) La Constitution «mixte» selon PLOYBE: La constitution de la république (comme beaucoup d’autres cités de la méditerranée)

des cardinaux | La rote pontificale | Le concile de cubénique | Archevêque | Archi épiscopat | Province | Archevêché | Mense archi épiscopale | Election canonique = electio Cum clero et populo | Archi épiscopal De 2ème instance | Le synode provincial | Evêque | épiscopat | Diocèse | Evêché | Mense épiscopale | Cum clero et populo | Officialité De 1ère instance | Concile diocèsien | Chanoine | canonicat |

très vite s’exprimer par des actes écrits et notamment il y aura d’une part les décisions unilatérales du pape (les décrétales) et aussi les décisions qui sont prises à l’occasion des assemblées d’évêques (grand rassemblement éclessiastiques) : les conciles on les appels les canons = règles ce qui donnera les droits canoniques. C) L’empreinte germanique et franque. 1/ L’empreinte germanique. (Peuple du Nord et de l’Est) L’arrivée des germains a contribué au processus de démantèlement de l’Empire

conversion, Clovis n’est plus un simple conquérant, c’est aussi le défenseur de la foi chrétienne contre les autres barbares : Wisigoths, Burgondes, adeptes de l’Arianisme qui nie le fait que le Christ soit Dieu. Cette hérésie d’Arius est condamnée par le Concile de Nicée tenu en 325. Les évêques vont alors se tourner vers Clovis et favoriser sa conquête. Les choses ne vont pas trainer. En 500, Clovis va battre le roi des Burgondes Gondebaud près de Dijon et en 507, il est vainqueur des Wisigoths près de Poitiers

purgatoire, etc.). Libre par rapport à l'Église : celle-ci était avant tout communion, définie par la prédication de l'évangile et l'administration des sacrements (un laïc qui interprète correctement l'Écriture pouvant avoir raison contre le pape ou le concile). Libre vis-à-vis des observances légalistes : le Christ n'a donné en fait qu'un seul précepte, l'amour (les vœux monastiques sont donc condamnés, le chrétien doit vivre son christianisme dans la vie quotidienne « mondaine »). Issue d'insatisfactions

la perspective. Si l'on poursuivait la recherche des sources de la Renaissance dans le Moyen Âge, à la longue certains pourraient même être tentés de dire que la modernité est apparue immédiatement après le Moyen Âge, avec la fin du concile de Trente en 1563. Concile qui avait permis de réformer l'Église catholique et de faire ainsi face aux réformes protestantes. La Renaissance ne deviendrait alors que la lente agonie d'un monde arrivé à son crépuscule. Mais il ne fait pas de doute aujourd'hui que

seconde moitié du XVe siècle [1] Pendant la période qui s’écoule entre la fin de la guerre de Cent Ans et le prélude des guerres d’Italie, entre la prise de Constantinople par les Ottomans et le premier voyage de Colomb, entre la défaite des conciles et l’avènement d’Alexandre VI, le monde occidental semblé chercher un équilibre nouveau. Mais nulle part les problèmes que pose cet effort n’apparaissent plus pressants que dans l’Église. Les papes, oublieux de leur mission catholique, tentent avant

moins les abus des hauts dignitaires de l'église. Les fidèles, plus informés de la doctrine biblique ne tolèrent plus ce que leurs ancêtres toléraient, car moins imprégnés de la bible.     Instruction améliorée pour les membres du clergé, depuis le concile des Trente. L'assistance à la messe au 18e siècle est très dense : 90% des Français communient à Pâques : ils font leur pacques. Fête chrétienne centrale qui célèbre la résurrection du christ. Beaucoup d'associations religieuses sont crées, associations

sont ces « droits », ces pôles de pouvoir, qui coexistent : A. Droit canonique C’est le droit de l’Eglise. Ses sources sont : ! Décrétales (correspondance de Grégoire le Grand—pape de 590 à 604— avec des affirmations ayant valeur de norme) ! Conciles : réunion des évêques autour du Pape pour discuter de questions de foi, de théologie ou parfois de doctrine sociale ! Statuts épiscopaux ! Règles monastiques (celle de Saint Benoît date de 534-547) A noter aussi les pénitentiels, listes de délits

la taille (à l'origine pour payer l'armée)  la bonne ville est autonome pour ce qui constitue sa sécurité  ces villes sont assez libres de choisir qui les dirigent   le maire (ou le syndic) l'échevin (Nord) ou le jurat (midi) ou le capitoul (Toulouse) = le conseil municipal 21/39  Ce ne sont pas des républiques indépendantes !  Il y a une très forte fierté urbaine des bonnes villes  s'exprime par la peinture, l'architecture (construction d'un beffroi...) Mais sous Louis XIV, ce système