Concile De Toulouse

personnelles. L'Église est protégée par l'emp et en contrepartie doit lui obéir. Les théologiens ont baptisé ce régime le césaropalisme. Le prince prétend tenir à la fois de César et à la fois du Pape. A titre d'exp, l'emp s'arroge le pvr de convoquer les conciles et de les présider. Il s'octroie aussi le doit de recevoir les appels contre les sentences rendus par les évêques. Comparée à la sté Romaine, la sté Germanique est très rudimentaire. L'éco est agraire, la religion primitive. A en croire Tacite,

liturgiques, les ordines ad consecrandum regis, tel celui de Fulrad. Tous ces textes révèlent une structure tripartite : 1 Hugues Capet ne cessera d’agir en chef de son clergé. Robert le Pieux est homme d’Église chantant au lutrin, présidant les conciles, discutant personnellement contre les hérétiques, entouré de prélats et d’abbés. Louis le Gros chevauche entouré de clercs et de moines et mourra vêtu d’habits religieux. Philippe Auguste, au début de la bataille de Bouvines où il est assisté d’un

apparaissent très tôt, en Francie occidentale en particulier, sans nul doute parce que l’insécurité du fait des Vikings y est plus grande qu’en Francie orientale par exemple, des tendances à l’hérédité des honores, que marquent en particulier les conciles de Coulaines (843) et Quierzy (877) : le roi Charles le Chauve et sa noblesse y négocient l’attribution et surtout l’hérédité des principaux commandements publics, situés dorénavant dans la zone même de pleine puissance territoriales des grandes

la Bretagne en 1532 avec louis 12 qui la récupère avec le mariage. Le second moyen est la succession, le roi peut être l’héritier légitime d’un grand seigneur qui décède sans descendant direct donc le bien revient à la couronne. Ex : le comté de Toulouse. La réversion dans le cas ou un seigneur décède sans héritier et sans avoir légué son fief à quelqu’un d’autre. Ex : le duché de Bourgogne revient à la couronne au XIVe siècle avant que le roi Jean 2 ne le cède en apanage. L’achat, un seigneur désargenté

est bien structurée et bien entretenu. L’essentiel des revenus d’une église reposait sur une institution qui s’appelle la dîme. (Latin : dîma), contribution obligatoire versait par touts les pratiquants, au service de l’Eglise locale. Des 567, un concile (de Tours) invite les fidèles à réserver au clergé, une partie des fruits du sol. Sans en déterminer la quantité, et sans en faire une obligation, c’est juste une invitation. C’est sous Charlemagne, par un capitulaire en 802 que la dime devient obligatoire

sacrement de la Pénitence la contrition était nécessaire, c'est-à-dire le regret et la ferme volonté de s'amender. | |Or dans son catéchisme du diocèse de Luçon, Richelieu, suivant en cela les canons du Concile de Trente, avait écrit que la simple attrition, c'est-à-dire le regret du péché, suffisait. | |Seguenot se montrait donc plus exigeant que la doctrine officielle de l'Eglise. A cette époque où les

interprétations plus ou moins fidèles, généralement simplificatrices. C'est cette complilation que comprend le "Bréviaire d'Alaric II" (506), en y ajoutant quelques constitutions impériales postérieures. Ce Bréviaire fait force de loi dans la région de Toulouse. Il fut en réalité publié précipitamment pour contrer l'influence menaçante de Clovis. Mais celui-ci triomphe un an plus tard, et fait de ce texte le recueil officiel du droit romain applicable à toute la Gaule. Cette application reste d'actualité

prendra un titre particulier Isapostolos (=égal aux apôtres). A partir de ça, pour organiser l’unité de l’Église et pour assurer l’accord sur la « vraie » foi, l’empereur réuni les évêques (qui deviennent chef de circonscription religieuse, diocèse) en concile de Nicée présidé par l'empereur. Les décisions prises par les évêques une fois qu’elles sont avalisées par l’empereur, elles prennent la forme de loi de l’état. Les conséquences : les non-conformistes sont poursuivis comme étant des rebelles à l’autorité

reine-mère Catherine de Médicis plus disposée qu'eux à une politique de conciliation. Entourée de conseillers modérés et proches de la Réforme, elle obtient du roi l'amnistie des "crimes d'hérésie", la convocation des États généraux et la préparation d'un concile national13. Les plus déterminés des protestants tentent des coups de force. Des églises sont occupées. La répression reprend de plus belle en septembre14. Le prince de Condé est arrêté sur l'ordre personnel du roi15. Certains évêques et présidents

inviolables et sacrés. On ne peut pas leur porter atteinte. Leur porte doit être toujours ouverte, aussi bien le jour que la nuit. On appelle ça la puissance tribunicienne. Ensuite, la plèbe fait une autre requête : celle d’avoir sa propre assemblée ; LE CONCIL DE LA PLÈBE. Toutes ces luttes sociales vont mettre en place les organes du gouvernement républicain. Elle est coutumière, elle se met en place suite à tous ces ressorts. A) LA «  CONSTITUTION MIXTE SELON POLYBE » (historien 210-120 av. JC) La