Concile De Toulouse

leur âge. Les comices tributes réunissent les citoyens selon le lieu de leur domicile. Chacune de ces assemblées participent au vote de la loi de même qu’elles participent à l’élection des magistrats. A coté de ses comices, une assemblée appelée " concil de la plèbe " réunis les plébéiens. L’organisation de ces assemblées est en apparences démocratique, dès lors qu’un individu a la citoyenneté romaine, il accède à ces assemblées. En réalité, seul le groupe dominant, les patriciens jouent un rôle dans

prêcher), et dont le but premier était de donner une réserve d’exemples pour les prédicateurs dans le cadre de leur mission. Ce développement des recueils pour la prédication peut être relié au contexte religieux de l’époque, notamment en lien avec le concile de Latran IV qui oblige tout chrétien à se confesser au moins un fois par an à Pâques. On retrouve comme thèmes principaux des personnes sauvées par la miséricorde divine, des laïcs devenant moines, des pauvres devenant riches, … On présente souvent

vouloir se servir des Wisigoths & conclure un nouveau traité de fédéré avec les Wisigoths avec l’autorisation de s’installer en Aquitaine. Les Wisigoths fonderont en Aquitaine un royaume avec Toulouse comme première capitale (1er royaume germanique d’occident avec pour roi Théodoric Ier). Royaume de Toulouse perdure jusqu’en 507 puis est conquis par Clovis. On trouve aussi les Burgondes, leur mutation dans l'empire s'explique aussi par la panique devant les Huns. Ils sont contraints à traverser la

administrateurs. Ils exercent leur pouvoir au sein des diocèses eux-mêmes regroupés dans les provinces ecclésiastiques, elles recoupent souvent les provinces administratives. B/ L’impulsion des grands législateurs de l’Eglise : le Pape et les conciles Pape : chef de l’Eglise Conciles ou Synodes : réunion d’évêques Le Pape est le 1er législateur de l’Eglise chronologiquement et autoritairement. Au départ, le Pape réfléchit sur des affaires particulières qui lui sont soumises. Puis petit à petit les décisions

- Le pèlerinage de Charlemagne (à Constantinople et Jérusalem) - La chanson de Rolland (Pseudo neveu de Charlemagne. Poème le plus beau et l’un des plus anciens.) 2. La geste de Guillaume d’Orange (P-e Guillaume de Toulouse qui arrêta l’invasion des Sarrasins au 8e siècle) - Le Charroi de Nîmes (prise de Nîmes par Guillaume) - Aliscans (près d’Arles, où Guillaume est battu par les arabes) - Aimery de Narbonne (prise de la ville

l’activité des Juifs de Babylonie à cette époque, entre la Mésopotamie et l’Egypte). Mais tous ces bouleversements pouvaient-ils demeurer étrangers à l’Occident ? Difficile de savoir dans quelle mesure ils ont pu être informés. Quoi qu’il en soit, un concile fut convoqué à Clermont le 24 novembre 1095 par le pape Urbain II, un champenois ex-clunisien du nom de Eudes de Lagery. Pour faire simple, il a vivement invité les Chrétiens à porter secours aux «frères» chrétiens orientaux. Aucun grand baron n’était

de l'industrie, des arts et des sciences; seuls, ils présentaient des constitutions régulières, stables. C'était de leur sein que sortaient tous les hommes appelés à jouer un rôle en dehors de la carrière des armes. Depuis sa fondation jusqu'au concile de Constance, en 1005, l'ordre de Saint-Benoît avait fondé quinze mille soixante-dix abbayes dans le monde alors connu, donné à l'Église vingt-quatre papes, deux cents cardinaux, quatre cents archevêques, sept mille évêques. Mais cette influence prodigieuse

séparation induit le gallicanisme qui suppose que l’Eglise de la Gaulle est indépendante. Séparation consacrée par la soustraction d’obédience (1398). En 1398 est assemblé un concile (= assemblée d’évêques) à Paris. Il a pour objectif de mettre un terme à la rivalité des papes et de restaurer une unité. La conséquence directe de ce concile est de prévoir que désormais l’Eglise de France ne relève plus de Rome, elle doit gérer ses affaire elle-même avec l’intervention du roi. Roi de France ne cesse d’être

siècle, des assemblées d'évêques se multiplient : les conciles. Ces conciles fixent des règles pour l'Eglise mais également pour l'Empire puisque la religion est officielle. Les conciles fixent des règles que l'on nomme des canons qui donnent naissance à un droit nouveau : le droit canonique. A compter de la fin du 4ème siècle, l'évêque de Rome, le patriarche que l'on commence à appelé Pape commence à légiférer en plus de la législation des conciles . Pour légiférer, le Pape copie l'attitude législative

suite de l'élection de deux papes, l'un à Rome et l'autre à Avignon. L'église se retrouve coupé en deux camps irréductibles. En 1417 une deuxième étape est franchie lors du concile de constance. Ce concile (assemblée d'évêques) proclame qu'au sein de l'église la puissance suprême est détenue non pas par le pape mais par un concile suprême. Le pape doit se soumettre à cette autorité, c'est la théorie conciliaire. En 1438 Charles 7 (roi de Fr) réuni à Bourges une assemblée du clergé de France qui va