Concile de Trente

culpabiliser. Le discours de l’Eglise va changer selon la sociologie et l’économie. L’Eglise va nuancer, sans rejeter ce culte de la virginité, et va envoyer des messages moins exigeant. On va organiser le mariage et à partir du 16e siècle (depuis Concile de Trente), le mariage sera célébré obligatoirement avec un prêtre. Le droit à l’union est reconnu et il n’est plus question de péchés. On va se trouver en présence d’une certaine contradiction : Oui au culte de Marie car elle a enfanter Jésus. A partir

dans les travers de la religion qu’il décrie. Sa foi le pousse à créer une institution aussi inique et violente que l’Inquisition catholique. Ces querelles obligent aussi les catholiques à une remise en cause du système : ils en débattent au concile de Trente (1545-1563) et en arrivent à la conclusion d’une nécessaire formation des prêtres dans des séminaires. Ils doivent connaître le latin, et bien sûr la Bible. Surtout leur mode de vie doit être conforme aux exigences de leur foi.
Ces querelles

pardonne et fait toute chose nouvelle, une miséricorde que nous ne pouvons que nous laisser offrir et recevoir dans la foi et que nous ne pouvons jamais mériter sous quelque forme que ce soit (p. 66). Ce n’est pas une définition sensu stricto. Le concile de Trente avait été plus précis au chapitre 4 de son Décret sur la justification, définie comme étant un transfert de l’état dans lequel l’homme naît du premier Adam à l’état de grâce et d’adoption des fils de Dieu (Rm 8,15), par le second Adam, Jésus

par une contre Réforme. En 1534 est fondé l'ordre des Jésuites qui se met au service du pape et se charge de défendre la foi catholique, notamment par l'enseignement. Le pape Paul III réorganise les tribunaux de l'Inquisition puis réunit un concile de Trente, qui réaffirme les dogmes et les fondements de l'Église catholique. Il crée aussi les séminaires, sorte d'école où sont formés les futurs prêtres pour combattre l'ignorance des curés. Ses successeurs poursuivent et développent ce mouvement.

catholique romaine quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelleR 5. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente, dont le décret le plus significatif est le Décret sur l’innovation et les reliques des saints, et sur les images saintes. C’est donc une esthétique de la Contre-Réforme, que l'on retrouve particulièrement dans l'art jésuite ; on a d'ailleurs

apparaitre de nouvelles minorités religieuses contestée par l’Eglise et les rois, les sorcières font l’objet d’une exclusion et d’une destruction poussée à l’extrême. Les pauvres, quand à eux, sont de moins en moins bien acceptés. Le Concile de Trente qui se déroule entre 1545 et 1563 met en place la « réforme catholique » pour répondre au développement du protestantisme au XVIème siècle et les thèses de Luther de 1517 ainsi qu’à la « réforme protestante ». On trouve surtout les protestants

l’Europe du Nord . - Le calvinisme influence la France et la Suisse. - L’ Anglicanisme s’épanouit en Angleterre où Henri VIII ( 1572 ) devient le chef de l’ Eglise Anglicane . La réaction de l’ Eglise Catholique : la Contre-Réforme . Le concile de Trente ( 1545 -1563 ) condamne les thèses protestantes et définit de nouvelles règles . Le rôle des Jésuites ( Ignace de Loyola ) est de convaincre du bien-fondé de la religion catholique. L’ Art Baroque , nouveau mouvement artistique , glorifie

sacrements, le baptême et la communion, sont conservés, alors que le culte de la vierge et des saints est proscrit. L’Eglise catholique essaie à son tour de se réformer et s’oppose au protestantisme. D’importantes décisions sont alors prises au Concile de Trente (1545 – 1563) qui condamne les thèses protestantes et précise la doctrine officielle de l’Eglise. Les prêtres, toujours voués au célibat, devront être mieux instruits dans les séminaires, alors qu’un catéchisme est publié pour l’instruction

aux Consulats. La réforme catholique Dès 1567 on attestait à un incontestable renforcement de l’influence du Consulat. De plus, des laïques se sont mis à participer à la rénovation religieuse. Les ordonnances royales et les décrets du concile de Trente ont rétabli la discipline. Mais, de véritables animateurs du renouveau catholique, étaient les jésuites. Ils étaient au premier plan dans les trois domaines : la prédication, le livre et l’enseignement. Leurs sermons traitaient des sujets les

l’Église catholique quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelle. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente, dont le décret le plus significatif est le « Décret sur l’innovation et les reliques des saints, et sur les images saintes ». C’est donc une esthétique de la Contre-Réforme, que l'on retrouve particulièrement dans l'art jésuite ; on a d'ailleurs