Concile de Troyes

domaine et restreint les droits de l’apanagiste en ajoutant deux réserves supplémentaires : droit de lever les impôts et les hommes. L’indisponibilité de la couronne : Pendant ce temps, les juristes français vont innover pour annuler le traité de Troyes. Ils inventent le principe de l’indisponibilité en affirmant la théorie statutaire de la couronne. Théories élaborées surtout par Jean de Terre Vermeille, légiste : le traité est nul car la succession au trône n’est pas une succession de droit privé

l’accueil dû à leur état, de quoi se nourrir, se vêtir et s’abriter au sein de la «domus hospitalis » (maison des invités). Le monde chrétien confie rapidement cette mission aux évêques. Dés l’époque mérovingienne, au temps de Clovis, en 511 lors du concile d’Orléans, il leur est rappelé qu’ils doivent réserver le quart des revenus de leur église à l’hospitalisation des pauvres et des voyageurs. Très rapidement des laïcs s’associèrent aux évêques en leur apportant des revenus réguliers ou de propriétés

création des communautés rurales monastiques B/ L indépendance de l église face a l Empereur Commence a trouver pesante la tutelle de l’empereur d’Orient qui n’hésite pas à s’intituler lui-même « évêque du dehors ». L’Empereur préside les conciles or et il intervient dans les affaires de dogmes. C’est pourquoi, un certain nombre de théoriciens du christianisme vont s’efforcer, au cinquième siècle, d’établir des distinctions pour faire échapper l’église à la domination du pouvoir impérial

romains qui concernent l’Eglise. Puis ensuite il y aura des sources qui vont bougés, évolués, il s’agira de la coutume, des décrétales (acte législatif qui viennent du pape), et ensuite nous avons également les règles de conciles. Et durant cette période il y eu de grand conciles qui ont essayé d’adapter les règles de l’église aux nécessités de la vie local. Et très tôt ces sources qui été d’origine varié, ont été réunis dans les versions canonique, elles ont été réunies dans les classements de sources

à repenser la conception du pouvoir politique. Dans la structure de l’Eglise, il existe des Assemblées d’Evêques (=Conciles) au sein desquelles on va définir un certain nombre de choses. Du temps de Constantin, ces conciles sont présidés par l’Empereur. La fusion entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux est totale. Constantin préside les conciles et notamment le concile de Nicée (325) qui a défini des quantités de choses. La référence faite au passé glorieux de Rome, à tendance à s’effacer

sous-traitent des vicaires, les curés se contentant de percevoir le revenu de la cure, et donnant au vicaire la portion congrue de leur revenu. La crise du clergé au 18e se manifeste aussi par la déchristianisation. Ne pas exagérer son ampleur toutefois. Le concile de Trente réorganise l’Eglise, et marque profondément l’Eglise gallicane. Le 17e est glorieux pour l’Eglise de France, qu’on appelle le siècle des saints. Au 18e, début de christianisation, surtout chez les intellectuels. Certaines élites intellectuelles

Bernard de Clairvaux déclare la nécessité de débuter une nouvelle croisade et qu'ainsi il a été élu légitimement selon lui chef de cette expédition.De plus, il favorise la reconnaissance de l'ordre des Templiers comme le démontre en 1129 le concile de Troyes, ou encore le manuscrit qu'il écrit en 1136 « De l'éloge de la nouvelle milice » ; il y affirme que les Templiers peuvent tuer sans pécher –ce qu'il qualifie de malicide-, car en défendant le Christ, ils iront ainsi au paradis. Par conséquent

à la domination de Rome. Dans sa bulle papale de 1501, il interdit aux imprimeurs ou à quiconque se servirait de l'imprimerie de mettre sous presse un ouvrage qui n'aurait pas été préalablement contrôlé et autorisé par ses autorités. En 1515, le concile de Latran décréta qu'aucun livre ne pourrait être imprimé sans avoir été approuvé après examen des autorités compétentes. En France, le premier texte significatif sur la censure pris par le pouvoir royal est un mandement (de 1518 ou de 1521 selon

l’Eglise (Saint Augustin, Saint Jérôme, Saint Grégoire). Il existe des institutions au sein de ces églises. On a un pape au sommet et des évêques qui se réunissent au sein d’assemblées qu’on appelle les conciles d’évêques. Ils ont adopté des textes comportant des règles juridiques. Les conciles ont voté des canons. Les papes ont prit des décisions que l’on appelle des décrétales. A partir du 4ème siècle, l’église a commencé à recueillir ces canons et décrétales, les consigner dans des collections

symbolise la permanence de la famille malgré la mort (sorte de réincarnation symbolique des ancêtres) en même temps qu’il met celui que le porte sous la protection d’un saint (sens religieux). _ Le choix du parrain et de la marraine (unique ap le concile de Trente [1563]) permet en même temps de garantir le salut de l’enfant malgré les risques de mort qui planent sur les siens et de l’insérer sans le tissu social complexe de la communauté : ainsi, les plus puissants sont souvent réclamés comme parrains