Concile de Troyes

est bien structurée et bien entretenu. L’essentiel des revenus d’une église reposait sur une institution qui s’appelle la dîme. (Latin : dîma), contribution obligatoire versait par touts les pratiquants, au service de l’Eglise locale. Des 567, un concile (de Tours) invite les fidèles à réserver au clergé, une partie des fruits du sol. Sans en déterminer la quantité, et sans en faire une obligation, c’est juste une invitation. C’est sous Charlemagne, par un capitulaire en 802 que la dime devient obligatoire

se désorganiser. Le rôle de l’évêque : - Préside à la communauté de prêtre - Les églises mineures sont soumises à son contrôle Certains diocèses n’ont plus d’évêques, d’autres en ont deux, l’autorité du métropolitain se dissout, les conciles (assemblées organisées pour débattre de l’adaptation des règles applicables à la communauté des fidèles) disparaissent. Le monachisme va compenser cette dislocation progressive. Ce mouvement vient de l’Orient, où des religieux partent en ermites

Chrétien de Troyes, au service de Marie de Champagne[12] dont le cœur était un centre littéraire brillant : Lancelot ou le chevalier à la charrette, Yvain ou le chevalier au Lion[13]. - Les poèmes religieux : ils sont consacrés à la légende de la quête du Graal, vase précieux de Joseph d’Arimathie qui recueillit le sang du Christ en croix. Ce vase est conservé dans un château mystérieux et seul un chevalier vierge de tout pêché pourra le conquérir (qui sera Perceval). Chrétien de Troyes écrit Perceval

peut changer l'ordre des successibles et instituer un héritier pour lui succéder 21 mai 1420, traité de Troyes le roi de France Charles VI déclare que son fils le dauphin Charles est exclu du trône et institue Henri V roi d'angleterre au quel il donne sa fille en mariage, il a disposé de la couronne. Charles VI meurt en 1422, son fils Henri VI âgé de 1 ans est proclamé roi par le traité de Troyes, sous la régence de son oncle le duc de pedford, le dauphin Charles prend le titre de roi sous le titre

les assistans avec bienveillance, les entretint largement à ses propres frais, quoiqu'il ne le dût à personne, si ce n'est au roi; mais il le faisait pour l'honneur de son église et par générosité. 8 V. MENES. TD L1S1 Extrait des actes du Concile de Paris, 829 « Si le roi gouverne avec piété justice et miséricorde, il mérite son titre de roi. Si ces qualités lui font défaut, il n’est pas roi mais tyran. Dans l’antiquité, tous les rois étaient appelés tyrans ; mais par la suite en gouvernant

personnelles. L'Église est protégée par l'emp et en contrepartie doit lui obéir. Les théologiens ont baptisé ce régime le césaropalisme. Le prince prétend tenir à la fois de César et à la fois du Pape. A titre d'exp, l'emp s'arroge le pvr de convoquer les conciles et de les présider. Il s'octroie aussi le doit de recevoir les appels contre les sentences rendus par les évêques. Comparée à la sté Romaine, la sté Germanique est très rudimentaire. L'éco est agraire, la religion primitive. A en croire Tacite,

: compléter la loi salique. Le droit de l’Eglise : dès le début de l’époque mérovingienne Eglise comprend que c’est le moment de se faire une place sur le terr de la Gaulle, créat° de ses propres règles juridiques : les canons élaborés lors de conciles (= réunions des ass d’évêques sur terr + ou – vastes OU peuvent concerner tte la chrétienté). Lors de ces ass les évêques se préoccupent de qst de doctrine ou d’organisat° de l’Eglise. S’occupent des règles concernant les clercs + discutent des

Politique (Anastase) Clovis va faire une réforme de l’église pour asseoir un peu plus sa domination et convoque, en 511, un grand concile à Orléans avec tout les evêques de Gaule (32). Le bur est d’unifier l’église de Gaule au niveau de la foi: * L’orleanisme est officiellement interdit * La discipline de l’eglise est revisité. A partir de ce concile, l’église de Gaule devient l’eglise du royaume des francs et celle ci est placée sous la tutelle des rois. Petit à petit, l’église perd

liturgiques, les ordines ad consecrandum regis, tel celui de Fulrad. Tous ces textes révèlent une structure tripartite : 1 Hugues Capet ne cessera d’agir en chef de son clergé. Robert le Pieux est homme d’Église chantant au lutrin, présidant les conciles, discutant personnellement contre les hérétiques, entouré de prélats et d’abbés. Louis le Gros chevauche entouré de clercs et de moines et mourra vêtu d’habits religieux. Philippe Auguste, au début de la bataille de Bouvines où il est assisté d’un

la synagogue se situent sur la récitation chantée des lectures bibliques et le chant soliste des psaumes. Durant les trois premiers siècles, le grec était la langue liturgique de l’Eglise avant que le latin devienne la langue officielle jusqu’au Concile de Vatican II (1962-1965) autorisant l’usage de la langue moderne. Deux types de cérémonies s’étaient développés: la célébration de la dernière Cène (qui est devenue plus tard la messe occidentale) et les assemblées consacrées au chant des psaumes