Concile de Troyes

contenues dans l’ancien testament et tout les écrits qui ont suivi. Le droit de l’église des 1ers temps était coutumier par actes écrits notamment (décisions émanant de l’autorité du pape, ou décisions prises à l’occasion d’assemblées d’évêques : conciles. Ces décisions sont appelées des canons.) Ce droit aura une grande influence. C) L’empreinte germanique et franque Ce sont les peuples du nord (voisins de la Gaule). Leur arrivée à contribuée au processus de démantèlement de l’empire romain

légende et selon eux il était très cultivé, très fin stratège et il a traversé comme les romains les violences de la guerre. En 451, les ordes d'ATTILA arrivent en occident, ils franchissent le Rhin et la ville de METZ va être touchée, détruite. Comme TROYES. Puis ils se dirigent vers PARIS qui cette dernière va être épargnée grâce à l'intervention de St. Genevieve, placée sous la protection de St. Germain d'Auxerre, elle possédait l'art de la parole, de convaincre. C'était une femme forte. Elle va éviter

était un droit coutumier qui va tendre de plus en plus vers des actes écrits, formulés (décrétales), ainsi que les textes qui émanent des grandes assemblées ecclésiastiques : les canons, soit les résolutions rédigés dans les assemblées d’évêques, les Conciles, ce qui forme le droit canon, puis de droit canonique. C) L’apport germanique et franc L’apport des germains et des francs se situe dans deux domaines : 1°L’apport germanique Peuple du Nord et de l’Est, les germains arrivent en Gaule ;

potestas royale. Grégoire VII a gardé l'idée de la supériorité pontificale mais il refuse toute légitimité propre aux pouvoirs temporels. Le processus de féodalisation 10 En 1075, la thèse défendue par le pape énerve l'empereur : il réunit un concile d'évêques et lui fait voter la déposition du pape, qui réagit en excommuniant l'empereur et en le déposant. Henri IV doit alors se rendre à Canossa en 1077 pour y faire amende honorable au pape. Grégoire VII lève l'excommunication, mais Henri IV reprend

protection des dieux, faire en sorte qu’elle soit élue par ces derniers, mais aussi lui accorder une légitimité sur son territoire. A/ Mythe de fondation de la cité de Rome Le mythe prend racine avec un héros troyen rescapé de la guerre de Troyes. Cet homme se nomme Enée. Dans sa fuite, Enée arrive avec son fils sur la côte du Latium. Le fils du troyen épouse alors la fille du roi local et fonde alors une dynastie royale. Dans sa descendance, deux de ses héritiers se disputent le trône. Le

doit être jugé par un tribunal ecclésiastique. Boniface VIII, il réagit très vivement et en 1301, il prend la bulle dans laquelle il soutient la théorie du gouvernement directe dans laquelle l’autorité du pape est supérieure au roi. Il invoque un concile destiné à juger le roi de France. En 1302, Philippe IV convoque une assemblée composé de prélats, de seigneurs et de députés des villes : * Le roi n’a aucun supérieur au temporel * Les laïcs, aussi bien que le clergé, relève de la direction

siècle : elle exhorte les seigneurs à faire la paix, à cesser de faire la guerre. Elle réunit des conciles (grandes assemblées pacifistes) pour demander aux seigneurs d’arrêter les guerres au nom de la religion. Cela ne fonctionne pas du tout. L’église va donc essayer de développer des moyens en essayant d’imposer 2 idées notamment pour limiter ces guerres : La paix de Dieu : instaurée par un concile en 1095 se tenant à Clermont Ferrand. Ce texte de 1095 dispose qu’il est interdit de s’en prendre

car elle contient en germe l’idée que doivent être exclus des opération militaires comme les non-combattant et les objectifs qui n’ont pas de rapport direct avec la guerre. Deuxième mesure de paix avancée par l’Église : la Trève de Dieu lors d’un concile près de Perpignan. Cette mesure interdit au seigneur de combattre certains jours de la semaine, le dimanche, puis d’autre jours, ou pendant certaines périodes comme durant Noël et Pacques. Le roi va s’associer à ces mesures de paix. De façon modeste

plus en plus va s’exprimer par des actes écrits. Deux cat d’actes écrits : les écrits du Pape les « décrétales », les résolutions qui sont votées dans ces gds rassemblements ecclésiastiques, occasionnels, les Conciles. Adoption des textes, des résolutions, les « Canons », lors de ces conciles, le dr canon ou canonique. C – L’empreinte germanique et franque 1. L’apport germanique a) Germains et pouvoir Germain vient de « germanius » les voisins. Soit les voisins des Gaulois. L’arrivée des Germains

langues. Il s’agit moins de distinguer à proprement parlé les deux langues mais plutôt de comprendre à quel moment on a senti qu’on était plus vraiment dans le latin mais dans une autre langue. Une prise de conscience qui semble dater de 873, avec le Concile de Tours. A cette date, les évêques se réunissent à Tours et décident qu’à partir de cette date, les prêtres devraient faire leur sermon dans une langue vernaculaire. Deux langues à disposition des prêtres : le tudesque, qui deviendra l’allemand,