Concile de Troyes

(autorisation). b. Fonction du Clergé. c'est le service du culte : - 7 sacrements = baptême, eucharistie, confirmation, la pénitence, mariage, extrême onction et l'ordre (l'ordination). - les funérailles. La tenue de l'état civil : c'est concile de trente = assemblée d'ecclésiastiques (évêque et abbé) en réponse au protestantisme, œuvre doctrinale et disciplinaire. Il a imposé à tous les prêtres de tenir des registres dans lesquels y sont référés tous les baptême, mariages.. pour avoir les

da Sangallo). Le plan centré se prêtant mal à la réunion de grandes foules, on eut l'idée au XVe siècle d'établir un sanctuaire de plan centré au bout d'une nef : Annunziata de Florence (Michelozzo), Santa Maria delle Grazie à Milan (Bramante). Le concile de Trente recommanda la disposition la plus favorable à la célébration du culte devant un foule de fidèles, c'est à dire une nef large sans bas-côtés. * le palais italien, résidence urbaine, était traditionnellement un bloc fermé sur une cour

tombeau et découvrent que ce dernier est vide : Jésus est ressuscité. Cette résurrection (la fête chrétienne de Pâques) est la promesse pour les chrétiens de la vie éternelle après le Jugement dernier. Doc. 5 : Le Credo du concile de Nicée Le concile de Nicée, premier concile œcuménique (général), est réuni en 325 par l’empereur Constantin (premier empereur romain chrétien) pour régler les problèmes de foi et d’organisation de l’Église. Ses décisions concernent l’organisation interne de l’Église

Vermandois 1099 : Première croisade, prise de Jérusalem : La Terre Sainte est depuis le VIIe aux mains des musulmans. Face à la gravité de la situation en Terre Sainte, région devenue quasiment inaccessible aux pèlerins, le Pape Urbain II réunit un concile à Clermont en 1095 et invite les chevaliers à aller libérer le tombeau du Christ. 1100 : Fondation du royaume latin de Jérusalem : Cette 1ère croisade va donner naissance à 4 principautés chrétiennes en Terre Sainte créée sur le modèle féodal de

siècle de floraison culturel, artistique et littéraire et surement la volonté des tyrans d'intervenir à des fins identitaires. On va modifier les versions écrite de Homère et insérer deux vers pour montrer que les athéniens on participé à la guerre de Troyes. C. Chute de la tyrannie Hippias fils ainé qui prend les pouvoirs. En -514 à lieu un drame sanglant d'Athènes qui va marquer la déstabilisation du régime. Utilisation du mythe de assassiné pour fin tyrannie, jeune homme refuse avance Hippias

importante car contient en germe l’idée que doivent être exclu des opérations militaires, les non combattants et les objectifs sans intérêt militaire direct. Ensuite, la trêve de Dieu apparait un peu plus tard au début du 11ème siècle (en 1027), concile près de Perpignan. Cette mesure interdit aux seigneurs de combattre certains jours (le dimanche), ou pendant certaines périodes. De façon modeste, le roi s’efforce d’abord d’appliquer dans son domaine ces mesures de paix prônées par l’église, mais

laissent la place pour les Wisigoths pour s'installer en Afrique du Nord. Alaric I, en 410 (roi Wisigoth) saccage Rome, certains peuples barbares s'installent pacifiquement en Gaule. En 451, grâce aux Francs, les Huns d'Atila sont repoussés près de Troyes. Les invasions se succèdent. En 455, Rome est reprise par les vandales. En 460, la force de l'empereur est limitée qu'à L'Italie. En 476, le chef barbare de l'armée d'Italie, Odoacre dépose le jeune empereur Romulus Augustul. A la fin du V siècle

plupart de ces lois servent à compléter la loi salique. L’Eglise va se réorganiser sur le territoire mérovingien/ de la Gaulle et va se doter de ses propres lois «  des Canons. Ce sont des dispositions prises par les évêques réunis en assemblée « les Conciles » droit canonique. Règles destinées aux clercs, mais très vite l’Eglise va prétendre appliquer les Canons aux laïques. Les Rois vont d’abord refuser mais seront ensuite à destination des laïques. B/ les difficultés d’applications des différentes

les juridictions ecclésiastiques A côté de ce droit romain émerge un second droit va aussi être très important et va supplanter le droit coutumier. Il s’agit du droit ecclésiastique, canonique. Il se compose de l’ensemble des décisions rendues en conciles, cas lors de réunions d’évêques et de décrets promulgués par les papes. Ce droit est très ancien mais au 12ème siècle, il va être totalement transformé car lui aussi va se mettre à emprunter ses concepts et ses techniques au droit romain. Ce droit

constitue alors un des nombreux parlers que l’on retrouve sur le territoire. « Le divorce entre le roman, langue parlée, et le latin, s’accentue à l’époque mérovingienne » (Atlas de la langue français 1995, p. 14). Plus tard, en 813, l’article du concile de Tours, réuni par Charlemagne, qui fonde l’Empire carolingien, marque une étape essentielle non seulement dans l’histoire du christianisme, mais aussi de la langue, puisqu’il impose aux prédicateurs de prononcer leur homélie, non plus en latin,