Conclusion Galilée

2 )De la lunette de Galilée au télescope de Newton a.Les travaux de Newton sur le télescope. Newton est née en 1642 ,l'année de la mort de Galilée, à Woolsthorpe (Angleterre), et meurt en 1727. Newton s'intéressait à la plupart des matières scientifiques : la physique, les mathématiques, l'astronomie. C'est en 1667 qu'il commence à réaliser des travaux sur l'optique, qui le conduisent à améliorer les instruments de ces prédécesseurs qui présentaient de nombreux défauts. En effet, les

toujours conforme à l'observation ? Les sciences expérimentales ne sont pas basées sur l'observation mais vont bien plus loin que celle-ci. C'est ce que Galilée nous prouve sur la théorie de la chute des corps. II- L’EXPÉRIENCE SURPASSE L'OBSERVATION CAR ELLE EST PLUS FIABLE L'observation n'est pas toujours fiable, c'est ce que nous prouve Galilée lorsqu'il remet en cause la théorie de la chute des corps. Avec sa nouvelle théorie il révolutionne la physique en donnant naissance à la physique

Problématique générale Seconde partie : commentaires de l’œuvre Décortiquer l’ouvrage : 3 parties Décortiquer l’analyse : 3 thèmes Décortiquer la critique : Critiques d’auteurs Critique personnelle Conclusion Annexes Bibliographie de l’auteur Auteurs cités Sources {draw:frame} _Frédéric Beigbeder, campagne télévisuel et d’affichage pour Les Galeries Lafayette (novembre 2007). _ Un ex publicitaire posant pour un lieu

géocentr 1) l’Antiquité : Théorie Aristotélicienne. 2) Moyen Age : l’Eglise préservatrice du do B) La théorie copernicienne : l’héliocentrisme. 1) Copernic : Révolutionnaire ou Innovateur 2) Galilée et la découverte de la lunette. 3) Infinitisation de l’Univers et destruction du cosmos.  Conclusion : la révolution copernicienne, une révolution sans précédent.  Bibliographie. Introduction : • Dés l’antiquité, l’intérêt porté sur les sources des éléments de la nature avait une grande importance

et les humains en retour font de la science par amour de Dieu, pour Dieu. La vocation scientifique de Kepler est un vocation religieuse: faire de la science, c'est rendre hommage à Dieu mais aussi faire œuvre de prosélytisme, comme l'atteste la conclusion de son Harmonie comique (Harmonices mundi) (1619): « Je te remercie, mon Dieu, notre créateur, de m'avoir laissé voir la beauté de ta création et je me réjouis des œuvres de tes mains. Vois, j'ai achevé l'œuvre à laquelle je me suis senti appelé

Galilée, Dialogue des Sciences nouvelles Galilée, scientifique célèbre né en 1564 et mort en 1642, illustre dans le domaine de la physique le combat des Modernes contre les Anciens, dont l’autorité doit être soumise à la critique, à une époque où la révérence envers ces derniers est telle qu’un auteur, Pomponio Leto, n’hésite pas à supposer qu’ils avaient inventé l’imprimerie qui aurait été oubliée ensuite. Six ans après le Dialogue des grands Systèmes, publié en 1632, en toscan et non en

TROISEME PARTIE : Mass media, sexe et loisirs. La culture mass-médiatique. Le plus bel objet de consommation : le corps. Le drame des loisirs ou l’impossibilité de perdre son temps. La mystique de la sollicitude. L’anomie en société d’abondance. CONCLUSION : De l’aliénation contemporaine ou la fin du pacte avec le diable. BIBLIOGRAPHIE. Rodrigues Botelho K. – Fiche de lecture : La société de consommation – Jean Baudrillard – Avril 2008 7 2.2 a) Principales idées développées par l’auteur :

c'est à dire un raisonnement qui contient trois propositions (la majeure, la mineure et la conclusion), et tel que la conclusion est déduite de la majeure par l'intermédiaire de la mineure. Voici un exemple que l’on doit à Guillaume dOckham « Tous les hommes sont mortels » (proposition majeure du syllogisme) et « Or, Socrate est un homme » (proposition mineure) s'ensuit nécessairement la conclusion : « Donc Socrate est mortel. » A la différence de Platon, qui privilégie les mathématiques

réponse à cela, Galilée affirme que la pierre tombe bien au pied de la tour, il ne remet en aucun cet observation mais il essaye d’identifier les présupposé théorique qui ont conduit à en tirer des conditions en contradiction avec la théorie copernicienne. En effet les gens de l’époque assimilaient les mouvements réels aux mouvements perçus. C’est la première interprétation naturelle qui détermine la conclusion tirée de l’observation : Ce que nous voyons bouger bouge. Ce que Galilée a fait c’est

contenue représenté à une autre contenue. La question c’est à quelle condition ce qu’on déduit la conséquence de différentes idées et aussi nécessaire. pour Descartes il faut que la première idée et la deuxième idée à laquelle je la lis et la conclusion soient toujours évidentes mais surt c qu’il faut à chaque moment que mon esprit fasse le lien. Pour Descartes ce que fait que nous sommes toujours dans la vérité c’est le lien nécessaire entre les choses et c’est le fait de pouvoir identifier