Conclusion Galilée

et chimiste irlandais, né à Lismore en Irlande le 25 janvier 1627, mort le 30 décembre 1691. Deux passions régirent sa vie : le christianisme et les sciences expérimentales. Il parcourut l’Europe de 1639 à 1644 et prit connaissance de l’ouvre de Galilée. Il apprit ainsi la méthode purement expérimentale qui marqua tout sa vie scientifique. Maître d’une fortune considérable, il la consacra à l’avancement des sciences naturelles. De retour en Angleterre, il s’établit à Oxford. Il rencontra Robert

mouvement? PRESENTATION:-Présenter les lumières et le mouvement litteraire (les personnages les plus importants, leur principes, les oeuvres philosophiques) EVOLUTION SOCIAL ET CULTUREL:-contrat social +peinture CONCLUSION:-expliquer ce qu'aujourd'hui on doit toujours au lumière et sur l'évolution de leur pensée au fil des siècles dans d'autres mouvement, etc... Avant le siècle des lumières, le mouvement littéraire dominant était le classicisme. Le classicisme

ne peux pas croire le contraire, soit je crois car je ne sais pas. Transition : pourtant la mauvaise foi, ça existe ( même si théoriquement c’est impossible !) , on a vu dans l’histoire de la science des préjugés résister à des preuves ( Galilée, Copernic, Darwin), alors comment expliquer cette croyance paradoxale, illogique et contraire à la nature de l’homme ? II. Cela s’explique : 1. par la nature de l’homme. Il n’est pas simplement un être de raison , c’est aussi

long des rives du Jourdain. Commençons par une brève explication de la situation géographique d’Israël, appelée Palestine par les Romains : c’est une région située sur le bord de la mer Méditerranée, et qui se divise en trois parties : au nord la Galilée, au centre la Samarie et au sud la Judée où se situe la capitale, Jérusalem. D‘un point de vue politique et religieux, cette région est occupée par les Romains, contre la volonté des Israélites. En effet, pour ces derniers, l’occupation romaine

démarche rejoint celle des sceptiques grecs, qui dans leur volonté d'établir une vérité ferme et indubitable, éprouvaient la valeur de chaque opinion en la confrontant à son opinion opposée, .Mais le scepticisme antique n'aboutit qu'à une seule conclusion: aucune opinion n'a de valeur, car toutes sont douteuses. La seule attitude logique et rationnelle face aux opinions et à leur éternel conflit consiste à suspendre son jugement, autrement dit à ne pas se décider en faveur de l'une ou de l'autre

le pilier fondateur de ces sociétés. Elle symbolise la base sur laquelle la société s’est construite et s’est élaborée. L’absence de religion serait tout simplement inconcevable et pousserait ces sociétés à la faillite, voir à leur perte. En conclusion, la voix religieuse est un chemin d’explication pour l’homme, qui le rassure dans ces doutes et permet ainsi le fonctionnement de la société. La religion permet également d’unir et de structurer la vie sociétale et favorise la cohésion sociale par

 savoir)   Astronomie  et  Astrologie  :  lié  jusqu’en  Moyen  âge.  :  vraimt  confondu.   A  la  fin  du  moyen  âge  :  on  a  arrêté  d’observer  qu’à  l’œil  nue  Galilée  avec  lui  observation  lunette.   Ensuiteà  Newton  :  le  télescope  et  puis  aujourd’hui  on  fait  de  la  radioastronomie  et  on  n’a  pas   besoin  de  voir  car

discussion certaines idées qu'il considère comme indubitables. C'est le cas des scientifiques qui pensaient que le soleil tournait autour de la terre et qui n'ont pas supporté que Galilée démontre que la terre tournait sur elle-même autour du soleil. Pour avoir émis des doutes et, pire, pour les avoir contredits, Galilée a été mis en prison. Ce cas n'est pas unique et apparaît lorsque des personnes pensent qu'elles détiennent une vérité incontestable. On peut prendre aussi l'exemple des pays totalitaires

Le libertinage érudit au 17ème siècle Sommaire : 1- Présentation du courant de pensée qu’est le libertinage au 17ème. 2- Présentation des principaux « Libertins » du 17ème en rapport avec Molière et son « Dom Juan ». 3- Conclusion. Qu’est-ce que le « libertinage » au XVIIème siècle ? Le « libertinage érudit », apparu dans l’Europe centrale au 16ème siècle en Italie, mais déjà bien avant en Grèce en -300 avant J.-C. dans l’école philosophique d’Epicure, se base sur la philosophie

la connaissance ? Il est vrai que notre esprit peut refuser le besoin d’une théorie mathématique en négligent de l’envisager. Mais si nous acceptons de tenir compte des principes de la démonstration, alors nous somme bien obliger d’en accepter sa conclusion qu’elle soit ou non en accord avec notre pensée. Dans l’avancée du savoir scientifique en général, les connaissances découlent les unes des autres presque naturellement. Une erreur n’est donc pas ni locale ni isolée, elle est toujours la conséquence