Conclusion Rire Pour Quoi Faire

« faites »l.11. Seul le premier paragraphe en contient, ce qui est tout à fait normal car les deux autres montrent ses difficultés à se faire entendre, son impuissance. Le premier fait de lui un personnage dominateur alors que les deux autres le remettent à une place plus modeste. En dernier lieu, une argumentation très insistante. Rousseau veut très bien se faire comprendre. Pour cela il peut reprendre une même construction deux fois à la suite comme le montre l’anaphore: « Pourquoi voulez-vous

l’emporte car elle est caricaturale. Mme P. ne tient d’ailleurs pas rigueur de cette répartie à son mari, comme si elle restait transportée dans son délire (« Je l’attends !» l.11). Feydeau ne prête aucune dimension morale à sa pièce. Il s’agit bien de faire rire à partir

cinéma, arts plastiques, vie quotidienne…) ? 2. Quelles images cherche-t-il à développer ? 3. D’après vous, que ressentent les interprètes ? Que cherchent-ils à nous faire ressentir ? (divertir, émerveiller, plaire, étonner, faire rire, pleurer, toucher, choquer, dérouter, dégoûter, décevoir, faire réfléchir…) 4. Dans quel style ou courant peut-on situer le chorégraphe ? Analyse de l’œuvre 5. Quelles sont les caractéristiques de l’environnement sonore ?

argent pourraient donc être à l’origine de ce langage sms. Ce qui résulte directement de cette méthode, c’est une économie de langage, de là, peut venir comme nous le verrons, l’usage d’abréviation, de symboles, de chute de lettre… Nous avons donc à faire à une transgression du langage écrit standard, par rapport aux règles d’orthographe, de grammaire et de conjugaison. Les mots du dictionnaire ne s’écrivent plus de la même manière dans le langage sms. Nous pouvons désormais avoir plusieurs signifiants

démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur ou l'ami du peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ; mais il aperçut quelque chose de diabolique dans cette figure, et surtout ce je ne sais quoi qui affriande(3) les artistes. Imaginez un front chauve, bombé, proéminent, retombant en saillie sur un petit nez écrasé, retroussé

déconvenus que lui réservaient un emploi sulbaterne peu propre à satisfaire ses grandes ambitions. Blessé dans son amour, il regarda dans les Regrets, la horde de courtisans romains dont il souligne, dans le sonnet Marcher d’un grave pas, le ridicule. En quoi l’ironie est-elle ici au service du poète ? Nous montrerons, à la fois ce caractère ridicule des courtisans, leur moralité des douteuses et comment le poète se livre dans Marcher d’un grave pas à un portrait de lui –même sans complésance .

Auteurs et publics………………………………………………………..………7 6. La morale des fabliaux……………………………………………………..…….8 1. L’intention didactique 2. L’immoralisme des fabliaux 7. Comparaison entre fabliaux……………………………………………………...9 8. Conclusion ……………………………………………………………………..13 9. Bibliographie……………………………………………………………...……13 1. Époque dans laquelle on se trouve Les fabliaux sont un genre littéraire qui

plus neutre possible. Cela n'est pas sans rappeller les pièces classiq. De même, le tps écoulé est le tps percu par le spectateur, on assiste à une scène «en direct». On voit donc dans ce premier passage une volonté de suivre le fils classiq. En quoi cette scène est-elle propice au jeu théâtral ? Plan: I)Une exposition complexe ou Virtuosité du jeu théâtral 1)Structure 2)Elemts trad. d'une scène d'exposition II)Tonalité de la pièce 1)Scène de comédie trad. 2)Scène de dépit amical

tenter ici, c'est de montrer en quoi la poésie comique de La Fontaine est porteuse d'une sagesse, d'un certain rapport au monde. Ce sera pour nous une occasion d'approfondir le sentiment de joie que communique la lecture des Fables. Dans un premier temps, nous analyserons les principales formes du comique chez La Fontaine, puis dans un second temps nous mettrons en évidence les principales lignes de sa sagesse. I LES FORMES DU COMIQUE DANS LES FABLES A Le rire et le comique Les Fables sont

langage de son « maître » -Tirade : « on va te faire esclave », «  quand tu auras souffert » Arlequin confie à Iphicrate le destin qu’il lui fera subir : il est devenu impitoyable envers son ex- maître. -Arlequin se reconnaît lui même comme un maître et identifie Iphicrate à un esclave « je vais retrouver mes camarades, et tes maîtres », souhaite rendre Iphicrate esclave et lui même maitre. II/Une évolution dans la relation qui cherche à promouvoir le rire. 1) l’esclave se moque de son maître, le