Conclusion Sur Le Discours Sur Le Bonheur

En quoi cette scène constitue-t-elle un plaidoyer pour le bonheur et la liberté? PLAN: I) Un plaidoyer pour le bonheur. II) Elèctre affirme sa liberté et la liberté. Un plaidoyer pour le bonheur. A) Elèctre défend le bonheur. Termes évoquant le bonheur. 2 tableaux: le bonheur simple: les mères, les hommes. Évocations positives. Images qui s'opposent au malheur (l.11). Valeurs de vie et d'amour (l.3). Termes s'opposant au bonheur: « peur », « pardon » (→ culpabilité). Anaphore de « si »

1 : Le Bonheur Question ; Le Bonheur n'est-il qu'une illusion ? le bonheur  c'est un état de bien être durable. C'est une satisfaction profonde au delà des joies passagères. L'illusion ; c'est ce qui nous induit à l'erreur, ce qui nous trompe. Nous croyons au bonheur , mais existe il vraiment ? Les événements douloureux de la vie nous font douter de l'existence du bonheur. Pour répondre à cette question il faut lancer le débat sur la définition du bonheur. Qu'est ce que le Bonheur ? Soit

deuil « condoléances » formules toutes faites, sans sens, tenue vestimentaire du deuil « quand il me verra en deuil » L’objectivité et le cynisme du personnage pourrait être interprété comme de l’indifférence, comme le dira le procureur, c’est faux. Conclusion : Incipit remplit ses fonctions brièvement (lieu, personnage=>mais pas d’identité précise compte tenu de l’écriture qui se rapproche de celle d’un journal intime », pas de précision sur le temps). Action in medias res, lecteur plongé dans le monde

philosophique, Voltaire s’interroge sur les problèmes du mal et du bonheur à travers les péripéties de Candide. Dans l’excipit du conte Candide vit désormais en véritable philosophe des lumières ; il est devenu mûre et réfléchit. Présentation du texte : Candide a acheté une métairie avec les derniers diamants de l’Eldorado et après avoir consulté deux sages, un derviche et un vieillard turc, il met en pratique leur enseignement. Cette conclusion du conte agit comme une morale puisque elle énonce d’une manière

projet de retrouver Cunégonde et d’acheter un royaume grâce aux cents moutons chargés d’or et de pierreries qu’ils amènent. Mais en faisant route vers Surinam, colonie hollandaise, ils perdent leur richesse. Ils conservent cependant leur rêve de bonheur. Cacambo déclare alors : « Nous sommes au bout de nos peines et au commencement de notre félicité ». C’est alors qu’ils rencontrent un esclave noir dont l’état pitoyable les ramène brutalement à la réalité. Cette page est un violent réquisitoire contre

passé. • Sujet divisé : ― Liens entre Lamartine et la nature. ― Obsession du temps ― Souvenir d’un amour passé. DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF I. Liens entre Lamartine et la nature. A. L’auteur démontre la complicité entre lui et la nature. 1. Discours directe avec la nature. a) b) àDémontre l’affinité entre Lamartine et la nature. 2. L’usage de la 2e personne. a) , à Démontre la familiarité entre l’auteur et la nature. C.A. : L’auteur confirme qu’il à une complicité entre lui et la nature

l’opposition entre les sauvages et les Européens, et finalement, nous essaierons de montrer la dénonciation de la colonisation présente dans ce texte. A travers son discours, le locuteur, un Tahitien, fait l’éloge de son peuple. Tout d’abord, le vieillard décrit le peuple Tahitien comme un peuple qui vit d’un bonheur simple. Dés le début, le locuteur affirme que son peuple est heureux avec la phrase « Nous sommes innocents, nous sommes heureux. » (l. 3). Le parallélisme de construction

pour la diffusion des oeuvres et des idées. Ier axe de lecture : la structure du texte et les étapes de l'argumentation Le texte comprend : Une introduction Une succession de six paragraphes numérotés et brefs → parodie d’un acte de justice Une conclusion. Dans l'introduction, on voit : - les titres de l'auteur de l'édit (« mouphti du Saint-empire ottoman ») → le locuteur est un religieux - des formules de politesse orientales : « lumières des lumières » - les circonstances expliquant l’interdiction

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   14 nº 6 CANDIDE OU LA QUÊTE DU BONHEUR Andrei Fernando Ferreira LIMA1 RÉSUMÉ : Organisé autour d’un problème philosophique et littéraire bien dé- terminé, cet article vise à réévaluer la question du bonheur dans le récit Candide ou l’Optimisme(1759), de Voltaire. À partir de cette proposition, la présente analy- se a pour objet la coordination de ce texte de Voltaire avec l’histoire des idées au siècle des Lumières, donc à renforcer les rapports

– A. Camus, L’Etranger La pagination correspond à l’édition Folio L ; 84-85 « Je me suis senti prêt à tout revivre » Rapprochement de la mère et du fils : découverte d’un bonheur commun. Meursault trouve la libération attendue dans la mort. Libérée de la crainte de la mort, la vie redevient possible. Le bonheur passe donc par l’acceptation de la mort, acceptation de l’absurdité de la vie et par le renoncement. Non pas renoncer à la révolte mais renoncer à lutter contre l’inévitable