Conclusion Taylorisme Toyotisme

emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du taylorisme/fordisme aux NMOT sous la pression de l’automatisation, et changement de qualifications : élévation du niveau de formation (initiale et continue), importance de la maîtrise de l’information, individualisation des compétences ; aspects positifs (post-taylorisme) et négatifs (néo-tatlorisme) B conséquences du fait d’une évolution du rôle social du travail (progrès technique,

conjoncturels (crise, changement de comportement) ces lois perdent de leur crédibilité. Même si quelque individu croit à cette loi, il faut voir qu'au niveau individuel comme la montré Bourdieu d'autres éléments jouent ( capital, culture, .. ) . Conclusion : Cette loi a existé et est resté en vigueur jusqu'en 1930 mais des économistes, notamment Keynes qui a dit que c'était un peu simpliste et que la consommation était beaucoup plus complexe dépendant de nombreuses variables.

traditionnelles se substituent des tâches de maintenance et de contrôle. Certains principes de Taylor ne sont plus adaptés au nouvel environnement technologique de la production. III – Les nouvelles formes d’organisation du travail : 1) Le post-taylorisme : L'objectif de ces techniques est de rendre le travail plus intéressant soit en diversifiant les tâches soit en augmentant l'autonomie et les responsabilités. Techniques Principes Permettre aux salariés de travailler sur différents postes

systèmes d’information. « Télé-entreprise » | L’organisation vu comme une culture Image essentiel | Un groupe sociale qui secrète des valeurs communes et crée des liens d’appartenance | Auteurs | Durkheim (XIXe siècle) Le toyotisme (1960) Iribarne (1988) | Métaphore | Anthropologie/sociologie | Vocabulaire | Culture d’entreprise, collectif, éthique, valeurs, image de la société | Domaines influencés | Gestion des hommes, des carrières |

marxiste. Braverman est vu comme un défenseur des idées marxistes à travers son ouvrage dans lequel il examine les effets du capitalisme sur le travail en Amérique. Son analyse des avantages économiques de la division du travail pour la firme et ses conclusions quant aux effets négatifs de cette division du travail sur le travailleur laisse paraître que Braverman a pour objectif de sauver le marxisme de l’obsolescence. _Genre du texte Dans ce texte il est question d'analyser la division du travail

le fonctionnement du capitalisme depuis 2 siècles ? Il y a donc eu des modifications dans les secteurs porteurs (aujourd’hui les biotechnologies, les technologies vertes…), les sources d’énergie, l’organisation du travail (passage du taylorisme à l’ohnisme=toyotisme), les relations économiques internationales, relations antre entreprises… Au-delà de ces ruptures, un autre changement traverse l’histoire du capitalisme : l’Etat intervient de plus en plus. Indicateur : taux de prélèvement obligatoire

monde » et « changement technologique » dans l’optique de promouvoir une image d’entreprise spécialisée mais aussi d’accroître son productivité en délocalisant. Il ont en effet crée un modèle le Hyundaisme comme le fut celui du Taylorisme, Fordisme ou plus récemment le Toyotisme. Pour continuer cette étude, Samsung est aussi présente sur la scène internationale. Crée en 1938, elle était présente dans 28 secteurs d’activités dont la fabrication de téléphone, de télévision, matériels informatiques… Son

technique : l'entreprise Benetton 5 D. Le modèle japonais : le Toyotisme 6 III- La "Nouvelle Économie" au coeur du capitalisme patrimonial 6 A. Le discours 6 B. Les caractéristiques de la Nouvelle Économie 7 C. NTIC et productivité 8 D. La Nouvelle Économie, une nouvelle relation salariale 8 E. La finance : maîtresse du jeu 9 1. La révolution conservatrice 9 2. Le besoin des Etats 9 3. La réaction des groupes 9 F. Conclusion 10 1. Les 3 risques du capitalisme patrimonial 10 2. Les

scientifique du travail) et sa crise I-1 Le taylorisme I-2 Le Fordisme : trois innovations essentielles I-3 Les limites de l’organisation scientifique du travail : deux ruptures II- Le nouveau modèle flexible II-1 Une révolution organisationnelle II-2 L’entreprise comme unité intégrée III- Les scénarios du post-fordisme : l’éventail des possibles III.1. Les candidats au post-fordismes III-2 Des diagnostics contradictoires Conclusion : à la recherche d’un nouveau compromis social

du travail effectué en amont (définition des procédures et cadences) et durant le processus (contrôle des comportements). 4. Que reste-t-il du Taylorisme ? Certains observateurs font état aujourd'hui d'une évolution de ce mode d'organisation. Mais cette évolution n'affecte pas également les différentes dimensions de la logique du taylorisme. Le toyotisme, consacrant le changement de logique industrielle qui http://www.cnam.fr/lipsor/dso/articles/fiche/alter.html 07/01/2010 Norbert Alter