Concurrence Indirect Jardiland

au hasard puisque la métropole Lilloise est reconnue comme étant une métropole culturelle : l’implantation d’un magasin de bien-être des cultures du monde ne pouvait pas se faire ailleurs… Certes la concurrence est présente sur ce territoire mais peut-on parler d’une réelle concurrence lorsque les autres magasins ne proposent pas une gamme de produits aussi large que la notre ? En effet, IKEA, BodyShop ou encore Botanic peuvent apparaître comme des « adversaires », à un détail prêt : ils

service. Comment s'en défaire ? En accroissant le prix des produits moins rentables, ou en les éliminant. En fait, chaque fois qu'une entreprise se débarrasse d'un client non rentable, elle gagne de l'argent. L'idéal serait même de l'envoyer chez la concurrence ! Scott Adams (créateur de Dilbert) a écrit dans son récent livre "le principe de Dilbert" à propos du lancement d'un nouveau produit et de son potentiel de vente : La population se subdivise comme suit : 9 • • • • 60% des gens n'ont pas besoin

permet au groupe hôtelier d’améliorer sensiblement son cash-flow dans un secteur où les marges sont faibles. En conséquence, Accor se développe aujourd’hui très fortement à l’international et notamment en Asie. Citons encore l’entreprise Jardiland qui, en 2006, a cédé 57 de ses magasins à la Foncière des Murs pour 242 millions d'euros et a ainsi augmenté considérablement son implantation géographique en France. Les mouvements d’externalisation et cession d’actifs immobiliers relèvent de

...................................... 162 CHAPITRE 3 Les stratégies de prix A B Les objectifs des stratégies de prix Les stratégies de prix utilisées pour le lancement d’un produit nouveau Les stratégies de prix par rapport à la concurrence Le yield management 163 .......................................................................................................... C D ......................................................................... 164 ...........

...................................... 162 CHAPITRE 3 Les stratégies de prix A B Les objectifs des stratégies de prix Les stratégies de prix utilisées pour le lancement d’un produit nouveau Les stratégies de prix par rapport à la concurrence Le yield management 163 .......................................................................................................... C D ......................................................................... 164 ...........

................................................ CHAPITRE 3 Les stratégies de prix A B C D Les objectifs des stratégies de prix Les stratégies de prix utilisées pour le lancement d’un produit nouveau Les stratégies de prix par rapport à la concurrence Le yield management ......................................................................... 163 164 165 165 .......................................................................................................... .................

prix de la tonne a varié entre 8 et 32 euros. En deçà, ils ne devaient rien débourser jusqu’en 2013, puis payer graduellement jusqu’en 2027. Sauf que la Commission européenne vient de publier le 5 janvier une longue liste de secteurs exposés à la concurrence internationale, couvrant 75 % des pollueurs, qui bénéficieront d’une prolongation de la gratuité des quotas au-delà de 2013. aaa Lire la suite page 2 Annonces Paroles d’experts Ingénieurs Page 10 Dirigeantsp Finance, administration, juridique

............ 39 © Éditions d’organisation Les différentes formes de fidélisation .................... 43 La fidélisation induite et ses conséquences directes ................................ 43 La fidélisation recherchée et ses effets indirects ............................................ 54 Avis d’expert : Arthur JACQUEMIN ...................... 68 7 STRATÉGIE DE FIDÉLISATION Chapitre 2 : La démarche marketing de la fidélisation ............................................

d'exemption catégorielle du 30 novembre 1988. L’arrêt de la Cour de justice des Communautés européennes du 28 janvier 1986 La définition rendue par la Cour de justice des communautés européennes le 28 janvier 19861, dans une affaire de droit de la concurrence, permet une approche tant économique que juridique de la franchise2. Après avoir défini les trois types de franchises que sont les franchises de distribution, de production et de services, la Cour de justice précise en ce qui concerne l'espèce

principales : les dépenses directes en machines, technologies, usines, stocks de matières et produits, infrastructures, etc. (investissements physiques), ainsi que les dépenses consacrées à l’investissement immatériel (R&D, brevets), et les dépenses indirectes dans des actifs financiers comme les actions ou les obligations (investissements financiers). On doit aussi ajouter l’investissement humain qui consiste en des dépenses d’éducation et de santé. L’accumulation des investissements physiques détermine