Concurrents Indirects

et la communication 1.2 − Une communication particulière 2.− LA STRUCTURE DU TEXTE LITTÉRAIRE 2.1 − L'énoncé et l'énonciation 2.2 − Le discours 2.3 − Le récit 2.4 − Le discours rapporté 2.4.1 − Le discours direct 2.4.2 − Le discours indirect 2.4.3 − Le discours indirect libre 2.5 − La phrase 2.5.1 − La construction de la phrase 2.5.2 − Le rythme des phrases 3.− LES FAITS DE STYLE 3.1 − Les temps verbaux 3.1.1 − Le mode indicatif 3.1.2 − Le mode subjonctif 3.1.3 − Le mode conditionnel 3.1.4 − Le mode

comme étant déjà un « châtiment » suffisant.  Il essaie d’attirer la compassion, la bienveillance des jurés, de rendre M humain. Mais son discours est maladroit et stéréotypé. B) Les points faibles, voire le ridicule de ce plaidoyer - Discours indirect (4-5) et discours direct (5-6) signalent une conversation entre M et un gendarme : ce dernier lui indique que le discours de son avocat n’est en rien original, mais qu’il est stéréotypé, donc peut-être pas très convaincant… - L’avocat se montre

aux États-Unis 2) En France, le recours populaire est instrumentalisé et reste exceptionnel : référendum ou éventuellement dissolution de l’assemblée. En France, on est au suffrage universel direct depuis 1962 Aux États-Unis c’est un scrutin indirect précédé de Primaires. Les américains choisissent en effet des grands électeurs qui vont eux élire le président. Néanmoins un grand électeur devant impérativement voter pour la tête de son parti on connaît le résultat de l’élection présidentielle

8 Fiscalité de l’enregistrement - Cours - MADJENE Djamel La FISCALITE DE L’ENREGISTREMENT INTRODUCTION Les droits d’enregistrement sont perçus lors de l’enregistrement de certains actes et opérations juridiques. Ce sont des « impôts indirects », puisque contrairement aux impôts directs qui frappent les revenus et les fortunes, les droits d’enregistrement frappent certains faits occasionnels ou accidentels (la rédaction d’un acte, la mutation d’un droit). Il peuvent cependant et dans une

qui est réintégré dans un autre discours dont il fait le maintien. Il y a le discours direct et le discours indirect. Discours direct : dialogue citation autonyme (propos vidé de signification) Discours indirect : discours indirect simple Ex : Il dit qu'il n'a plus de genoux. → adaptation du temps verbal, et adaptation de la personne grammaticale discours indirect libre Ex : Il ne vient pas, il a dit « je n'ai pas le temps, et j'ai des obligations ! » → discours direct

de témoins contemporains. Mais, en fait, il se montre comme témoin direct en s’identifiant totalement avec eux. Par exemple avec Aristote, en utilisant le discours indirect libre « (…) attirés par la bonté et fertilité du terroir, s’y en allèrent avec leur femme et enfants et commencèrent à s’y habituer » (L.86-87). Le discours indirect libre permet de supprimer le verbe de parole et d’identifier le narrateur avec le locuteur. Montaigne s’adresse à Platon comme s’il était là à côté de lui : « c’est

des philosophes : discours indirect : « il lui conta, non pas… » et discours direct avec : « plus de matière […] dit-il ». Le discours indirect permet au narrateur de donner un éclairage plus personnel et une mise en distance (distanciation) « il lui conta que ». Le discours indirect montre une série d’expériences vécues et analysées, montre une réalité avec les noms propres cités, qui font office d’exemple et d’argument d’autorité. A l’intérieur du discours indirect, il y a une construction progressive

pas mieux mourir…? N’était ce pas un jeu stupide…?(…). Non! » qui font appelle à la dignité et l’honneur de l’auditoire. Par conséquent, L'éloquence d'Etienne se double du style de Zola, puisque la plupart de ses propos sont rapportés au discours indirect libre, les deux voies se mêlent et on ne distingue plus parfaitement lequel des deux parlent, ce qui permet une fluidité dans la lecture sans rupture avec la narration.

dans le projet de Zola : dans sa volonté de réalisme, il adopte la langue des personnages qu’il met en scène, ce qui lui sera reproché.. – b ) les Lorilleux - Ils interviennent à partir de la ligne 7 par le discours indirect libre: « une vraie poison, disaient-ils », discours indirect libre que l’on retrouvera plus loin, l. 25-26 « Et ses toilettes donc, des guenilles dégoûtantes qu'une chiffonnière n'aurait pas ramassées ! Dieu de Dieu ! il pleuvait drôlement sur sa mercerie, à cette belle blonde

discours indirect libre qui sert à rapporter au détail près les paroles des Lorieux sur Gervaise : « Quelle dèche, quel décatissage, mes amis ! » ou » voilà où menaient l’amour de la fripe, les lichades et les gueuletons » ou « Dieu de Dieu ». Tout cela donne l’impression que ces personnages s’expriment en direct, apporte de la vie au texte et un effet de réel. Le lecteur a l’impression d’entendre ce couple parler. D’ailleurs, pour renforcer cette impression, Zola emploie aussi le discours indirect : «