Concurrents Lancel

autour de différentes maisons acquises au cours de ces dernières années. Les trois grands groupes mondiaux sont le groupe LVMH (Louis-Vuitton-Moët-Hennessy), leader dirigé par Bernard Arnault, le groupe Richemont qui détient notamment Cartier, Lancel, Van Cleef & Arpels, Montblanc,.., et le groupe Gucci, propriétaire d’Yves Saint Laurent, Boucheron, Balenciaga, Stella McCartney, et récemment acquis par le groupe Pinault-Printemps-Redoute après de longs affrontements avec Bernard Arnault

confirmé en septembre son intérêt pour la griffe italienne de mode masculine Brioni, une activité qui manque à son portefeuille. PPR poursuit, par ailleurs, une stratégie d’ancrage dans le vêtement de sport haut de gamme qui le différencie de ses concurrents. Dans sa volonté de faire de Puma, récemment acquise, une grande marque de sport Fashion, Hussein Chalayan a été nommé directeur artistique de Puma tandis que Puma devenait majoritaire dans la marque du créateur. En mai 2011, PPR a lancé une OPA

un couturier ne cherche pas, dans ses collections, à être meilleur que X ou Y, ni même différent. Il cherche d’abord à proposer un univers qui reflète ses choix esthétiques et sa personnalité. A la limite, un produit de luxe n’a pas de véritable concurrent. Paradoxe de la distribution Dans le mode de la grande consommation, la force d’un réseau de distribution s’apprécie à travers le nombre et le poids de ses différents points de vente. Le succès d’un nouveau produit dépend souvent directement du

marché. Il faut également prendre en compte : -l’importance de la logistique du transport : Coach disposant de fournisseurs en Espagne, son appartenance au même espace économique et monétaire que la France suppose un énorme avantage face aux concurrents des autres pays. Il faudra donc profiter de cet avantage en choisissant une logistique adéquate. -facilité pour occuper les marchés « niches » : la stratégie et le positionnement de Coach apparaissent comme idéaux pour pénétrer le marché français

P.5 I_ La saga Cartier A-160 ans d’histoire P.6 B-Cartier, enseigne du groupe Richemont P.8 C-Les chiffres clés P.12 D-Produits P.13 E-Communication P.21 F-Stratégie clientèle P.22 G-Concurrent/positionnement P.22 -»Analyse « SWOT » de Cartier P.23 II_ Le e-commerce P.25 III_ Le e-luxe P.29 A- Présentation P.29 B- Typologie des différents sites P.30 IV_ Le e-luxe, un canal

présence : entreprises, marques Les différents groupes de luxe 1. LVMH (Vuitton, Dior, Marc Jacob, Kenzo, Givenchy, Guerlain, Tag Heuer, Moët Chandon) Chiffre d'affaire : 20 milliards d'euros 2. Richmond (Cartier, Mont Blanc, Van Cleef, Lancel,...) Chiffre d'affaire : 6,9 milliards d'euros 3. Estée Lauder (Clinique, Micheal Kors,....) Chiffre d'affaire : 2,25 milliards de dollars 4. Shisheido (Parfum jean-Paul Gaultier, Karita, Serge Lutens,...) Chiffre d'affaire :

ses anciennes dénonciations : nous vivons le temps de la légitimation et de la démocratisation du luxe. Autant de transformations qui signalent le recul de l’hostilité envieuse à l’égard des biens précieux. » c. L’offre « Ils ont beau être concurrents sur les podiums, Dior, Givenchy, Kenzo ou encore Céline ont un point commun : ils appartiennent au même groupe. Derrière le strass des défilés se cache un marché très florissant, malgré la baisse de ces dernières années, que se partagent quatre

luxe, et nous le confirmerons plus loin dans ce livre, on remarque qu’un grand nombre de ces entreprises est déficitaire. Dans tout autre secteur industriel, une entreprise perdant de l’argent est rapidement éliminée et fusionne avec l’une de ses concurrentes ou bien fait faillite. Dans le luxe, nous pouvons citer des marques perdant de l’argent depuis 5, voire 10 ans et qui survivent au sein d’un groupe du luxe ou en tant qu’activité diversifiée au sein d’un groupe industriel. La société Bic a longtemps

luxe, et nous le confirmerons plus loin dans ce livre, on remarque qu’un grand nombre de ces entreprises est déficitaire. Dans tout autre secteur industriel, une entreprise perdant de l’argent est rapidement éliminée et fusionne avec l’une de ses concurrentes ou bien fait faillite. Dans le luxe, nous pouvons citer des marques perdant de l’argent depuis 5, voire 10 ans et qui survivent au sein d’un groupe du luxe ou en tant qu’activité diversifiée au sein d’un groupe industriel. La société Bic a longtemps

luxe, et nous le confirmerons plus loin dans ce livre, on remarque qu’un grand nombre de ces entreprises est déficitaire. Dans tout autre secteur industriel, une entreprise perdant de l’argent est rapidement éliminée et fusionne avec l’une de ses concurrentes ou bien fait faillite. Dans le luxe, nous pouvons citer des marques perdant de l’argent depuis 5, voire 10 ans et qui survivent au sein d’un groupe du luxe ou en tant qu’activité diversifiée au sein d’un groupe industriel. La société Bic a longtemps