Conditionnement classique

maîtriser toutes les variables. 2- La théorie de Pavlov : Le conditionnement classique Les réflexes conditionnés ont été étudiés par Pavlov, 1849-1936, d'origine russe. Il commença ses recherches vers l'âge de 50 ans. Ses recherches portent sur: Le stimulus inconditionné ; Le réflexe inconditionné (réponse inconditionnée) ; Le stimulus conditionné ; Le réflexe conditionné (réponse conditionnée). Le conditionnement s'obtient par l'association en contiguïté de deux stimuli. Les

APPRENTISSAGE: Préalable à toute acquisition de connaissances APPROCHE BEHAVIORISTE : Processus comportementale, non cognitif Modifs comport. Mécanismes de conditionnement. Impact de l’environ pr influencer le comport. Conditionnement CLASSIQUE : apprentissage par association : (Pavlov, 1927) Condition d’efficacité du comportement classique en publicité : • Force du SNC (musique, ambiance…) • Ordre de présentation (SC avant musique (SNC)) • SC et SNC tjs associé. • SC + efficace

l'état des sciences biologiques à l'époque. [pic] LE CONDITIONNEMENT CLASSIQUE   Pavlov Les réflexes conditionnés ont été étudiés par Pavlov, 1849-1936, d'origine russe. Il commença ses recherches vers l'âge de 50 ans. Ses recherches portent sur: Le stimulus inconditionné ; Le réflexe inconditionné (réponse inconditionnée) ; Le stimulus conditionné ; Le réflexe conditionné (réponse conditionnée). Le conditionnement s'obtient par l'association en contiguïté de deux stimuli

présenté dans la vidéo ci-dessous, représente un des travaux les plus célèbres de Watson (mais également un des plus critiqué, vous comprendrez vite pourquoi). Le but de cette expérience était d’appliquer les récentes découvertes sur le conditionnement classique à l’étude de la peur chez un enfant de 11mois.   1. Dans un premier temps, Watson présente à l’enfant une souris et constate que l’enfant n’en a pas peur. La souris constitue alors un stimulus neutre (SN). SN (souris)–> RN (pas de pleurs)

Le behaviorisme Le conditionnement « répondant » Le principe du conditionnement répondant postule que lorsque deux événements se produisent ensemble et de façon répétée, ils seront lies dans la mémoire. Si un élément (stimulus inconditionnel) déclenche une réponse instinctive (RI), l’autre stimulus l’acquiert par association. Watson a pu mettre en évidence 5 lois auxquelles répond le conditionnement classique : Loi de la proximité : le stimulus neutre

constamment  exemple de comportement observable). Combien de fois vas-t-il parler, se lever en cours ? On vas quantifié cela et définir qu’à partir de 10 points, par exemple, on parlerait d’hyperactivité. 1.1 Le conditionnement classiques ou réflexes conditionnés (Pavlov) Schéma : Stimuli (viande) -> Réflexe inconditionné (salivation) Stimuli conditionné (cloche) -> réponse conditionné (salivation) Exemple : Sachant que la salivation est un réflexe, un chien

comportement qui en résulte. Un stimulus X devrait engendrer une réponse Y ou Z (la bonne ou la mauvaise réponse), et en ce sens l'apprentissage est prévisible. Ce principe qui remonte initialement à Pavlov (1927 in Ellis-Ormrod, 1999) est appelé conditionnement classique dans sa forme initiale où un stimulus A enclenche une réponse B chez un sujet donné. Le psychologue russe Ivan Pavlov étudiait les réflexes de la salivation du chien dans son laboratoire. Lorsque son assistant apportait son repas au chien

au son d’une sonnerie si la sonnerie retentit alors que le chien ne se trouve pas en état de faim ! C’est-à-dire, si le chien que l’expérimentateur veut conditionner a déjà mangé un copieux repas, avant qu’il soit soumis à cette expérience de conditionnement, jamais ce chien n’acquerra le réflexe de salivation au retentissement de la sonnerie ! C’est Pavlov lui-même qui nous le dit. Nous concluons comme ceci : Pour obtenir un réflexe conditionné, il est indispensable qu’il y ait en plus le paramètre

chiens : 1° On fait retentir une sonnerie, le chien ne salive pas. 2° On montre de la viande au chien, il salive. 3° On fait retentir une sonnerie, on montre de viande au chien, il salive. 4° On fait retentir une sonnerie, le chien salive. Dans ce conditionnement, il a établi une liaison entre un stimulus extérieur (une sonnerie) et un phénomène physiologique (salivation), grâce à l'association régulière et prolongée de ce stimulus avec l'excitant qui habituellement produit ce phénomène (vue de la viande)

sont sous son entière responsabilité. C’est lui qui détermine les règlements et les conséquences. C’est à lui de choisir les techniques les plus efficaces pour changer le comportement de l’élève, soit par le conditionnement opérant (contrôle par les conséquences), soit par le conditionnement répondant (contrôle par les stimuli). Lors des différentes séances auxquelles j’ai pu assister, j’ai donc remarqué que l’association stimulus-réponse constituait la base de l’apprentissage de l’élève. L’enseignant