Conforama Faiblesse

des stratégies marketing) dans l’esprit des consommateurs. (1,2,3) SWOT = S-trengths (forces), W-eaknesses (faiblesses), O-pportunities (opportunités), T-hreats (menaces) ; pour conduire une analyse, un diagnostic ou une évaluation. Schéma page 12’. Exemple : Thomas Cook : Développement d’une offre liée au sport analyse SWOT : * Force : relation avec une organisation * Faiblesse : mauvais contact avec le consommateur, ce qui crée un déficit d’image. * Opportunités : les consommateurs

des comptes courants, mais cela aurait nécessité une baisse du taux de change. Le Japon aurait dû imiter la politique chinoise de taux de change. Cela aurait probablement rendu les Etats-Unis furieux. Pourtant, l’argumentation de M. Koo recèle une faiblesse. Elle n’expliqueni la raison pourlaquelle est apparu l’énorme excédent de dette, ni pourquoi le Japon s’est révélé aussi vulnérable au choc mondial, alors que l’ajustement du bilan du secteur industriel était enfin en grande partie réalisé. Selon

spécialisée (G.S.S.) Comme leur nom l'indique, les grandes surfaces spécialisées sont des magasins en libreservice de plus de 400 m² se spécialisent dans un domaine bien précis : le bricolage (BRICOMARCHE, CASTORAMA, LEROY-MERLIN), l'ameublement (BUT, CONFORAMA, IKEA), l'électroménager (DARTY, BOULANGER), l'automobile (NORAUTO, MAXAUTO), le textile (C&A, LA HALLE AUX VETEMENTS) et dans notre cas dans le sport (enseigne 1). Le CA de ce type de magasin est beaucoup plus faible que celui des grandes surfaces

spécialisé 26 Le taux de marge commerciale des spécialistes 27 2. STRUCTURE DE LA CONCURRENCE 28 2.1. Panorama des réseaux de distribution______________________________________ 29 Acteurs traditionnels vs réseaux concurrents 29 Forces et faiblesses des différents réseaux 30 2.2. Structure économique et commerciale des enseignes spécialisées _____________ 31 Analyse synthétique 31 Chiffres clés du secteur 32 Structure des établissements 33 Focus sur les GMS 34 Panorama des enseignes 36 Implantations

charisme et de la polyvalence du chef d’entreprise (qui a souvent un droit de regard sur toutes les fonctions de l’entreprise). Si la flexibilité constitue un atout indéniable des PME, il n’en demeure pas moins qu’elles présentent un certain nombre de faiblesses. On citera notamment leur capacité de financement. Leurs ressources en capitaux propres sont limitées par la richesse personnelle du dirigeant et de son entourage. Elles ne peuvent pas, dans la plupart des cas, lancer d’augmentation de capital dans

produits)  Distinction entre les produits  Evaluation qualitative Fonction relationnelle Fonction aspirationnelle réduire le stress et l’angoisse devant des achats impliquant Le risque pour la santé (Charal) Le risque pour le porte-monnaie (Conforama) Le risque pour l’image de soi (L’Oréal) la marque comme réducteur d’ennui Une nouvelle marque doit être synonyme de surprise La marque enrichit le produit  La marque construit un monde autour du produit  Elle ajoute des valeurs au produit 

des lieux des EAI de la WRSZZ................................................................... 129 3.3. Matrice MOFF (Menaces-Opportunités-Forces-Faiblesses)....................................... 133 3.3.1. Forces ................................................................................................................... 133 3.3.2. Faiblesses ............................................................................................................. 135 3.3.3. Opportunités ............

les fonctions de gros et de détail. Il est dit également concentré parce qu’en règle générale les entreprises ont une unité de direction, sont de grande dimension, exploitent plusieurs magasins de formes souvent diverses. Synthèse : forces et faiblesses des formes de commerce : Encadré n°3 : 170 ans d’évolution du commerce 1832 : Première expérience de coopérative à Lyon, 2 ouvriers fondent “le commerce véridique et social”. 1844 : Les pionniers de Rochedale (28 ouvriers de Lancaster, GB) créent

rayon, pour atteindre le CA prévisionnel. 2) Limites de cette méthode de calcul : Il s’agit d'une méthode purement « comptable » qui ne tient pas compte de l'environnement de l'unité commerciale, de ses caractéristiques propres, de ses forces et faiblesses, de l'assortiment proposé, de la méthode de vente, etc. Il faudra donc agrandir ou restreindre au besoin certains rayons en fonction de la réalité commerciale de cette unité. 3) Moyens à mettre en œuvre : Presse locale, radio locale, affichage,

c’est une sorte de note élaborée par l’annonceur et qui sert de base à l’appel d’offre pour mettre en compétition les agences de publicités. Ce brif-agence va résumer la stratégie markéting de l’entreprise, sa position concurrentiel, les forces et faiblesses du produit, les cibles qui son visée, les objectifs de communication et le budget. L’agence de pub et la création du message : l’agence de publicité est une société spécialisée qui assure la conception, la réalisation, l’exécution et le contrôle