Conseil Constitutionnel Co Législateur

l’intérieur Secrétariat général 3003 Berne ara@gs-edi.admin.ch www.edi.admin.ch/ara 1ère édition, juin 2009 89.203 f 11.2008 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 4.7 5 49 51 73 81 91 95 105 117 135 143 144 148 151 179 Annexes 1 2 3 4 Centres de conseil Bibliographie Actes législatifs Arrêts et jugements 4 Avant-propos Avant-propos 5 Avant-propos La prévention, la médiation, la sensibilisation et les autres formes d’intervention qui ne font pas appel aux voies légales revêtent

libertés. Le problème est que le législateur se voit doté d’un rôle considérable et le problème est qu’il peut faire tout et n’importe quoi. Il convient de protéger les droits et libertés que le législateur pourrait lui-même menacer et à partir de ce moment, on va considérer que la solution, toujours au XVIIIe est la séparation des pouvoirs. Elle apparaît comme une garantie supplémentaire des libertés contre les pouvoirs et plus spécialement contre le législateur qui pourrait mal faire. C’est une

le droit constitutionnel n’a pas put être enseigné pendant de nombreuses années au sein des facultés de droit pour des raisons politiques. Le pouvoir politique a en effet considéré que l’enseignement de cette matière pourrait engendrer des troubles et pourrait même le cas échéant entrainer une remise en cause du régime. Depuis le XIXème siècle les choses ont évolués en raison de la pacification de la vie politique. I/ Le droit constitutionnel en droit public Le droit constitutionnel est rattaché

réalisés par l’Etat, et elles se retrouvent avec des charges très lourdes à assumer (travaux, etc). L’Etat fait donc des économies, mais pas ces collectivités. Par exemple, le Président de la République, annonce +1,5% le RSA. Mais qui paye ? Le conseil général. Ainsi en prenant une mesure telle, il asphyxie les collectivités territoriales, sans se dépenser lui-même. Ce décalage oriente les réformes actuelles selon les techniques du management privé. On désorganise le statut de la fonction publique

l’intérêt des Etats : c’est 1 organe interétatique. Pour la CECA, cet organe s’appelle le conseil spécial des ministres. Pour la CE et Euratom, cet organe s’appelle Conseil des ministres. - Une assemblée parlementaire dont il est prévu dans le T de Paris qu’elle sera composée de membres élus au suffrage universel direct. - Une Cour de justice. Le T de fusion datant du 8 avril 1965 emporte fusion des Conseil des ministres et des institutions supranationales (haute autorité et les 2 commissions)

................................................................................................................. Le droit ne peut pas tout, les individus ont des intérêts divergents, ne peut pas satisfaire tt le monde, parait souhaitable aux législateurs et pas forcément souhaitable aux yeux de tous, mais besoin de trancher. §2 Le droit et la morale A/ Les éléments distinctifs La morale inspire le droit. 4 éléments font qu'ils n'ont rien à voir : --> Les finalités, le droit c'est le maintien

concernées.) B) Le droit public Il a vocation à régir les organisations d’état et les collectivités public ainsi que les relations entre les particulier et l’administration public cette matière se subdivise en plusieurs branche : * Droit constitutionnel : il est composé de différentes disposition notamment les constitutions, qui ont vocation à organiser le fonctionnement d’état et également à déterminer les prérogatives du pouvoir exécutif et du pouvoir législative. * Droit administrative :

la matière, en effet, il s’agit quelque soit son intitulé (liberté publique, liberté fondamentale), d’une matière transversale, carrefour, dans la mesure où elle fait appel à toutes les branches du droit que nous connaissons tel que le droit constitutionnel, administratif, civil, pénal… Étudier les libertés fondamentales, c’est d’une manière évoquer une de ces branches. INTRODUCTION § 1/ Les droits de l’homme dans l’environnement culturel contemporain ( Se situer dans le temps et dans

ce qui lui donne cette réalité juridique. Définitions de l’infraction · L’infraction est représentée par tout comportement, actif ou passif, prévu et puni par la Loi ou le règlement pour toute atteinte à l’ordre public. C’est donc le législateur ou le pouvoir règlementaire qui peut délimiter les atteintes à l’ordre public, car le phénomène criminel au sens juridique va se distinguer d’autres formes d’atteintes à un ordre social. Par exemple, l’ordre moral (prostitution sanctionné par la

cas d’un procès pénal, il y a donc 2 magistrats : l’un qui requiert les peines et porte des accusations et l’autre qui va juger d’affaire c’est a dire se prononcer sur la culpabilité d’une mise en cause et sur la peine. 2°) L’avocat  * Il conseil et assiste son client, il n’est pas impartial, il prend parti pour défendre son client. Il est indépendant et ne dépend d’aucun ministères, ni de l’État. L’avocat est rémunéré par son client. Si le client à des difficultés financière, il sera choisit