Constitution 1791 Régime

Société française[modifier | modifier le code] La société sous l'Ancien Régime repose sur l'existence de droits médiévaux, les privilèges (leges privatae, lois particulières) qui sont les statuts dont disposent non seulement les corps constitués tels que le clergé et la noblesse, mais aussi les provinces, les villes et les corporations. La Révolution française, qui naît d'une crise financière due à la Guerre d'indépendance des États-Unis, concentre essentiellement discours et critiques sur les

L'Assemblée Constituante Les difficultés - fin de la Constituante (Eté 1790-Automne 1791) L'armée fermente - Mutinerie de Nancy Pendant ce temps l'armée s'agite et fermente, d'un coté des soldats et des sous-officiers dont l'avancement est bloqué par le système des charges qui rongent leur frein, de l'autre des officiers divisés sur la conduite à tenir: soutenir le roi ou soutenir l'assemblée. Depuis septembre 1789 l'insubordination règne dans la troupe et la délation sévit même chez les

cette loi et en quoi changeait-elle la nature du clergé ? Cette constitution visait à réorganiser l'Eglise de France, voici les principaux changements : Les prêtres paroissiaux sont dorénavant des «  les prêtres paroissiaux » Les évéques ne sont plus nominés par le pape Les évéques ainsi que les curés sont élus par le peuple ( qu'importe sa religion ) Les évéques s'entourent de vicaires episcopaux Grâce à cette constitution, les membres du clergé sont élus et non nominé par le pape. Ils

spéculateurs se basent sur la pénurie de blé. Le mécontentement populaire et les tensions sociales s’élèvent contre les spéculateurs et ceux qui prélèvent les impôts. II. Les causes politiques (liées à la crise des finances royales) 1) L’incapacité du régime à se réformer Au départ, il s’agit d’un problème financier et un problème plus large de société. La monarchie absolue a un déficit croissant. On se demande comment remplir les caisses : faire payer les privilégiés (ceux qui ne payent pas d'impôts

théorie, les Constituants révolutionnaires ont préféré celle de la souveraineté nationale qui sera théorisée par Sièyes. La théorie de la souveraineté nationale a en effet été élaborée pendant la 1ère phase de la Revolution, lorsqu’on préparait la C° de 1791. En fait, les révolutionnaires se méfiaient du SU : ils redoutaient les excès d’un peuple encore analphabète dans sa majorité. Ils ont donc imaginé que la souveraineté appartienne à la nation, càd la collectivité prise dans sa permanence.

reconnaissance du droit et de la règle ? Autorité et liberté : deux pôles contradictoires qui doivent tenter de se concilier s'il y a règles et sanctions, il faut une autorité. Pas de liberté, alors système destructif. J.J. Rousseau : un régime pour des bêtes, plus que pour des hommes 1-Droit, regard croisé 2-Droit, approche diversifiée (vers l'anthropologie) Approche existentielle Droit fait parti de notre code génétique social, droit prend aussi parfois des connotations

personne du roi Plan en intro: 1. Le roi, déclenchant la révolution, en s’appuyant sur son pouvoir (1789-90) 2. Malgré les concessions, et une révolution avec le roi et une Constitution (point culminant -> 14 juillet 90 fête de la fédération) qui semble terminée, le trahison du roi, (fuite de Varennes le 20 juin 1791), relance la révolution, et le discrédite. + fusillade du champ de mars 3. La chute des rois, une France régicide, et le regard vers la République. I. Le roi déclenche la révolution

n’est plus défini par sa souveraineté, mais par son identification à un ordre juridique et sa soumission au droit. * Pour lui l’Etat se définirait par sa coïncidence avec le droit. Etat donc l’ensemble des règles, hiérarchisé et dominé par la Constitution, applicables sur un territoire et à une population donnée. Etat : appareil de direction d’une société donnée (« les gouvernants ») en tant qu’il est doté d’un pouvoir très particulier, un pouvoir souverain qui s’exerce sur une certaine population

13 Janvier Histoire du droit Cette période s'ouvre avec la révolution française, qui suit l'Ancien Régime. Certains auteur parlent de destruction des institutions d'ancien Régime. Avec une société dite bourgeoise, qui veut établir une nouvelle société, fondée sur des bases nouvelles. Elle veut faire table rase du passé, notamment les institutions féodales et monarchiques, les privilèges, et le système de caste. On verra tout de suite que cette révolution veut instituer une unité nationale.

théories classiques de la souveraineté distinguaient au XVIIIe siècles les notions de souveraineté nationale et de souveraineté populaire, les textes constitutionnels contemporains semblent au contraire confondre ces deux conceptions. Ainsi, la Constitution française actuelle du 3 octobre 1958 énonce-t-elle à l’article 3 que : « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et la voie du référendum ». Pour comprendre ce paradoxe, il convient d’analyser l’importance