Conséquences Du Bipartisme

personnes qui ont de l’expérience dans la politique. Les milieux politiques sont étroits et fermés, c’est la guerre pour le pouvoir. Le type de connaissance que connait l’individu est un savoir général, savoir dont on est fréquemment sur, par voie de conséquences, savoir approximatif puisqu’on ne va pas approfondir, et souvent un savoir faux. Les citoyens connaissent l’image que les grands moyens d’information présentent de la politique. Les difficultés commencent car si l’information est indispensable

cause et conséquence, c’est dans de par son mode de scrutin et le développement du bipartisme que la Grande-Bretagne est devenu un exemple à part, un gouvernement à la fois d’opinion, et de parti. II) Le régime parlementaire britannique : un gouvernement d’opinion et un gouvernement de parti En demeurant l’un des premiers État à étendre son suffrage, à garder un mode de scrutin naturel voire « radical », la Grande-Bretagne a favorisé l’apparition du two-party system. Ce bipartisme caractéristique

gouvernement sont responsable politiquement devant le parlement. La chambre des Communes est élue depuis 1928 au suffrage universel direct avec principe du scrutin majoritaire a un tour. Conséquence de ce mode de scrutin : le bipartisme Parti vainqueur surreprésenté, tiers parti marginalisé. Autre conséquence selon olivier Duhamel : l’instauration implicite d’une élection ministérielle, le chef du parti majoritaire devenant le premier ministre. Le premier ministre : chef du gouvernement

majoritaires et les scrutins proportionnels. I - LE SCRUTIN MAJORITAIRE C’est le système dans lequel est élu le candidat ou la liste qui obtient la majorité des voix. Le scrutin majoritaire passe par plusieurs techniques qui n’ont pas les mêmes conséquences.   A – LES DIFFERENTES TECHNIQUES On distingue traditionnellement deux techniques. 1° Le scrutin majoritaire à un tour Ce qui caractérise ce mode de scrutin, c’est la majorité requise pour être élu : la majorité relative, c'est-à-dire

Le gouvernement est issu du Parlement et est responsable devant lui : une motion de censure peut être votée si une des propositions législatives du gouvernement est rejetée par la Chambre des communes, et l'adoption de cette motion aurait pour conséquence la démission du Premier ministre ou la dissolution du Parlement, et donc la convocation de nouvelles élections générales. Le premier ministre est actuellement Gordon Browm au pouvoir depuis le 27 Juin 2007. son parti est le parti travailliste

plusieurs partis politiques. Le multipartisme véritable implique donc un libéralisme établit, une culture de la liberté. Les conséquences du multipartisme sur l’organisation politique d’un État sont un choix très varié pour l’électeur (contrairement au bipartisme étudié après) qui a comme inconvénient un certain « partage », une « volatilité » des opinions résolue par le bipartisme. D’autre part, les différents partis doivent composer ensemble grâce à un jeu d’alliance et de coalitions (lors d’élections

recherche « béhabioriste » c'est à dire qui s'attache à privilégier l'étude du comportement en utilisant les instrument d'analyse fournie par les autre science humaine. On va avoir tendance à accumuler les faits mais on ne va pas forcement en tirer des conséquences. on va quantifier se qui est quantifiable et laisser de coté le reste. Cette tendance va être très vite contester en développant une interprétation des faits. Pour cela certaine méthode vont être utiliser. B) Un bref aperçu des méthodes d'analyse

stabilisation du régime. Parlement Le Parlement, tout d’abord, est composé de deux chambres : La Chambre des Communes Les députés sont élus par un suffrage universel direct pour 5 ans, par un scrutin majoritaire à un tour. Le Labour a, en raison du bipartisme inhérent à ce mode de scrutin, souvent obtenu la majorité absolue. Tony Blair est ainsi resté plus de 10 ans au pouvoir. Les débats menés dans cette chambre sont très ouverts au public car médiatisés, et donc plus largement contrôlés par les citoyens

alors chef du gouvernement et leader de la majorité ) ou à une « directive collective fortement soudée». Cela permettrait à cette majorité de contrôler le Parlement car la minorité n’aurait plus qu’une opposition verbale et celle-ci étant sans conséquence lors des votes. Les influences théoriques des modes de scrutin sur les régimes politiques sont-elles vérifiées dans la pratique ? Le mode de scrutin est un élément essentiel pour comprendre les systèmes politiques (l’application des règles constitutionnelles

forcément en s’unissant qu’on a des chances d’emporter cette majorité. » La réunion des partis engage donc une « réduction à deux du nombre de partis » qui tend fortement vers le bipartisme. II_ Une critique des deux scrutins La critique de ces deux scrutins passe par la critique (1) en sois mais aussi par les conséquences (2) que ces deux scrutins engendrent sur l’Etat. A_ La critique La critique reste bien opposée entre la représentation proportionnelle (1) et le scrutin majoritaire (2)