Contingence Aristote

Travail sur Aristote «La beauté est un appui préférable à toutes les lettres de recommandation.» Biographie . Aristote (en grec ancien Ἀριστοτέλης / Aristotélês) est un philosophe grec né à Stagire (actuelle Stavros) en Macédoine (d’où le surnom de « Stagirite », Σταγειρίτης), en -384, et mort à Chalcis, en Eubée, en -322. Sa conception de l'être comme « substance » (ou ontologie) et de la métaphysique comme « science de l'être en tant qu'être » influença

Aristote (-384 à -322)   BIOGRAPHIE Né à Stagire en Macédoine, Aristote a un père qui est médecin du roi Philippe (le père d’Alexandre). A 17 ans, il entreprend des études à Athènes et intègre l’Académie pendant 20 ans jusqu’à la mort de Platon. Son œuvre sera cependant différente de celle de Platon. Il quitte donc l’Académie et devient le précepteur d’Alexandre. Aristote fonde une école péripatéticienne, le Lycée, où l’on enseigne en marchant dans un jardin.   Différences avec Platon : -      

littérature philosophique. Le paradoxe du temps décelé par Augustin est sans cesse commenté. Mais il a d’abord une signification différentielle (voir le contexte ci-dessus). Avant Augustin, seul un concept cosmologique de temps était disponible. Cf. Aristote : le temps est le nombre du mouvement, par l’antérieur et le postérieur. Il déroule la succession des moments qui scandent le changement d’un phénomène (avant... après...). Augustin déplace complètement la perspective (dans un sens chrétien, mais

trouver quelque chose d’existentialiste dans l’attitude intellectuelle de Socrate. L’idée d’existence, qui a évidemment servi à forger le nom du mouvement, occupe une place importante dans l’œuvre de plusieurs philosophes anciens. Notamment Platon, Aristote et Augustin d’Hippone. René Descartes, Emmanuel Kant, Hegel et Schelling sont les penseurs modernes qui ont accordé le plus d’importance à ce concept d’existence. Cependant, Sören Kierkegaard (1813-1855) et Friedrich Nietzsche (1844-1900) ont

fondements empirique". Il n'y a pas de contenu déterminant qui permet de définir le bonheur. On connait la satisfaction que procure le bonheur, mais on ne peut pas déterminer le contenu objectif qui déterminerai cette satisfaction. Il y a une contingence de la vie heureuse et donc le bonheur repose sur la liberté humaine. II) La liberté est-elle la condition du bonheur? 1) L'expérience de la liberté. La liberté est pour l'homme faire ce que l'on veut. Il y a des libertés contradictoires

(on = particulier ou général). Une fin se définit comme un achèvement mais aussi comme un but. La fin/ finalité n’a pas d’autre but que son achèvement – le résultat qu’on s’est fixé – et on se sert de moyens pour l’atteindre. Ex. : Le bonheur, pour Aristote (voir citation) n’est jamais un moyen mais une fin. De même, une Personne, à la différence d’une chose, n’est jamais un moyen (ne peut être instrumentalisée, comme l’esclave) mais une fin parce qu’elle est autonome (voir la définition de cette notion)

et dans son ensemble. Et oui, l’existence c’est d’abord et avant tout exister, exister c’est être là, simplement. Les existants s’apparaissent en général mais pas uniquement.« L’existence c’est la contingence » a écrit Sartre, dans la Nausée, par déduction l’existence n’est pas nécessaire. Par contingence, il faut comprendre le fait que l’existence ne soit pas seulement une apparence qui peut s’absoudre ni une constatation mais l’absolu et la gratuité totale, le soleil est gratuit, la famille a laquelle

demanderons s'il est possible de ne pas désirer l'impossible afin de voir dans dernier temps s'il est possible de concevoir une vie humaine sensée gouvernée par un tel désir. 1- Désirer l'impossible nous condamne au malheur a) Si, comme le suggère Aristote dans l'Ethique pour Nicomaque, « tous les hommes tendent naturellement vers le bonheur », il pourrait sembler absurde de désirer l'impossible. En effet, un tel désir nous condamnerait à l'insatisfaction permanente et définitive. Si l'on considère

D’une part, rien ne semble pouvoir être dit de l’existence, sauf à s’enfermer dans la pure et simple tautologie. Dire, par exemple, que l’homme est, c’est tenir un discours redondant et vide. Dire qu’il est un animal politique (comme l’affirme Aristote), c’est en proposer une définition et un mode de compréhension. Mais, ce n’est plus penser son existence, c’est penser son essence. D’autre part, l’essence, ce qui constitue la nature permanente et universelle d’une chose, semble posséder une supériorité

ces conditions ne sont pas réalisées, il n'existe pas de justice politique réglant leurs rapports mutuels. » Voilà ce qu’écrit Aristote dans le chapitre 10 du Livre V d’Éthique à Nicomaque. Autrement dit, il fait de l’égalité le principe fondamental de la justice. Donc a priori, l’idée de « justes inégalités » relève d’une contradiction dans les termes. Mais Aristote conçoit l’égalité de deux manières : il y a une égalité arithmétique, qui veut que chacun possède exactement les mêmes choses en