Contingence Aristote

que l’on pourrait aussi qualifié de celui qui a découvert ou qui a appris. Le savoir ne se peut détacher de sa valeur de certitude, pour s’établir dans le domaine scientifique, il faut que le savoir soit fixé : Seconds Analytiques (Livre II, 71b), Aristote affirme que « Nous croyons posséder la science d’une chose d’une manière absolue […] quand nous croyons que nous connaissons la cause par laquelle la chose est, que nous savons que cette cause est celle de la chose, et qu’en outre, il n’est pas possible

Le naturalisme va naître dans la pensée occidentale à partir de la lecture des écrits de Platon et Aristote, qui introduisent toute une épistémologie reprise par les économistes du XIXème siècle. Ces économistes empruntent leur grammaire, leur modèle à celui de la physique. Les néo-classiques vont faire de même (ex : Walras). Chez Galilée, le mot est écrit en langage mathématique, (rejette Aristote et est pour Platon). L’épistémologie de Walras est une épistémologie Platonicienne. Naturalisme

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE – LSup « QU’EST-CE QU’UNE MORALE POLITIQUE ? » Aristote distingue philosophie logique, physique, métaphysique et pratique. La philosophie pratique comprend trois catégories différentes, indépendantes l’une de l’autre: la morale, la politique, et le droit. Sous un autre aspect, on n’exige pas d’un pilote de bateau qu’il ait bonnes qualités morales, mais des qualités pour piloter le bateau, tout comme on exige d’un bon gouvernant qu’il ait des qualités morales. Or

demanderons s'il est possible de ne pas désirer l'impossible afin de voir dans dernier temps s'il est possible de concevoir une vie humaine sensée gouvernée par un tel désir. 1- Désirer l'impossible nous condamne au malheur a) Si, comme le suggère Aristote dans l'Ethique pour Nicomaque, « tous les hommes tendent naturellement vers le bonheur », il pourrait sembler absurde de désirer l'impossible. En effet, un tel désir nous condamnerait à l'insatisfaction permanente et définitive. Si l'on considère

nouvelles (Galilée), celui qui ruine l’autorité d’Aristote qui s’était maintenue jusqu’alors. La nature pour Aristote appartient à un tout plus vaste qu’elle, au cosmos qui est traversé (animé de façon immanente, de l’intérieur) par une finalité qui fait tendre toute chose vers le bien de l’ensemble un tout qui est beau et parfait. Cependant, dans ce monde-là, il y a de la contingence qui s’explique par le fait que le principe qui gouverne toute chose n’est pas tout puissant. Dans certaines régions

(=fin/but) - Direction morale de l’action = depuis l’obéissance à une loi (obligation et non contrainte) =direction déontologique (=ce qui doit être) I- La direction éthique de l’action 1/ Le bonheur comme Souverain Bien : l’agir prudentiel ARISTOTE, Ethique à Nicomaque Toute action et toute chose visent leur Bien cad leur finalité, l’accomplissement de leur être. Le bonheur est le Bien Suprême de l’homme cad l’accomplissement de son humanité. Le bonheur correspond à un accomplissement pratique

ontique, comme le font les sciences (les dictionnaires encyclopédiques se fondent sur cette approche) ? Ou encore dans l’idée de fixer leur essence à partir de déterminations ontologiques générales, comme en général le tente la philosophie (ainsi Aristote considère que l’étant trouve d’abord son identité en sa forme, laquelle appelle une matière définie, et se trouve ouvert à des accidents d’un certain type) ? – Selon nous, aucune de ces voies ne doit être suivie pour notre problème, trop axées sur

derniers s’ils nous facilitent la vie, peuvent aussi contribuer à notre aliénation car nous devenons de plus en plus dépendants de leur présence. En effet grâce au progrès technique, nous sommes devenus plus libres face aux exigences et aux contingences de la nature, nous ne sommes plus soumis de manière aussi totale à ses caprices imprévisibles. Cependant si les premières techniques (la révolution néolithique, la maîtrise de la métallurgie puis les grandes découvertes qui donnèrent lieu à

penser, ou même simplement de s’étonner et de s’interroger. 2) Les idées abstraites, contrairement à la manière dont le sens commun les appréhende, sont nécessairement les plus claires et les plus simples de toutes, puisque débarrassées de la contingence, de la particularité et de la relativité propres à leurs objets. La raison pourra les penser directement dans leur universalité. Il est logique pour l’esprit de procéder en allant du simple ou de l’élémentaire pour ne s’élever que progressivement

niveau de la production peut être valoir aussi dans le domaine de l’action ? Comme dit Aristote, non plus de ce que l’on fabrique mais de ce qu’on accomplit ? Aristote est le premier à reconnaitre que, si la science peut imposer sa rigueur aux choses, en en pensant la réalité, d’où résultera l’efficacité technique, notre action quand a elle s’inscrit sur fond d’indétermination, elle ne saurait éliminer la contingence et sa particularité résiste a la généralité de la loi : elle ne saurait se ranger,