Contingence Systemique Limites

La décentralisation : le fait de transférer le pouvoir de décision au niveau le + proche possible de l’exécution. Ds les org il y a des pouvoirs de décisions strat, cette décentralisation va entraîner des décisions opérationnelles et pas strat. Limites de ces 2 approches : La considération du facteur humain ds l’org : par ces écoles il y a un manque de considération puisque les ind ne sont pas considérés comme tel mais machines. Pas de possibilité de prendre des initiatives, mode de management

(prévoir, organiser, commander, coordonner, contrôler) ○ Rationalisation de la structure pour augmenter l’efficacité (bureaucratie de WEBER) → on ne répond plus à un supérieur mais à un règlement qui donne la mission à chacun des agents. ● Approche systémique : démarche globale qui s’intéresse plus aux liaisons entre les différents éléments constitutifs d’une entité. Identification et formalisme de 5 élements caractéristiques : - l’objectif générique (survie à LT) - différentes fonctions qui ont des

Ecole des relations humaines: qui met en évidence le rôle de la motivation des individus. - Ecole de la décision: qui insiste sur la complexité du processus de décision dans l’entreprise. - Ecole systémique l’entreprise est un système finalisé ouvert sur l’environnement. - Ecole de la contingence: chaque entreprise est spécifique. Il est impossible de définir un standard universel Le terme système désigne un ensemble de parties qui interagissent entres elles pour produire certains effets. Dans

consommer un produit de la chaîne. Ainsi cela permet le cercle vertueux de la croissance. L’organisation des Bureaux : Weber (1864-1920) : il définit un type de pouvoir légal et rationnel grâce à la présence légitime de règlement fixant les limites hiérarchiques. Il parle du pouvoir bureaucratique. Fayol (1841-1925) : il reconnaît la fonction suprême du dirigeant de l’entreprise, mais sa seule compétence ne suffisant pas à la bonne marche de l’entreprise, il s’intéresse à l’administration

relations humaines: qui met en évidence le rôle de la motivation des individus. • 3- école de la décision: qui insiste sur la complexité du processus de décision dans l’entreprise; • 4- Ecole systémique: l’entreprise est un système finalisé ouvert sur l’environnement. • 5- école de la contingence: chaque entreprise est spécifique. Il est impossible de définir un standard universel Patrick LOUIS Introduction à la gestion 3 B- Qu’est ce qu’une entreprise ? 1- un sous système Le

l’exposition à l’incertitude peut être physique, mais aussi financière, éthique ou encore sociale. Pourtant, les “sports à risque” sont implicitement et presque exclusivement considérés sous l’angle des dangers corporels dont ils sont porteurs. La principale limite de la notion de “sport à risque” est ainsi soulignée : la nature de la menace et le type d’événement redouté sont rarement mentionnés. Il est sous-entendu qu’il s’agit d’écueils corporels. Un bon moyen d'éviter ce flou consiste à établir un distinguo

salariés, actionnaires, OS, et une approche client/fournisseurs (→ approche systèmique de la GRH). La stratégie : « processus de formulation et de mise en oeuvre des moyens appropriés en vue d'attendre des objectifs d'une entreprise et réaliser sa mission, dans un environnement difficilement prévisible et fortement concurrentiel. » A. PETIT et Al., 1993 « Une bonne GRH est une GRH qui s'adapte aux contingences du contexte » JM PERRETI. Les défis : Mondialisation, contexte légal, mutations

informelle 6 Une préoccupation issue de la révolution industrielle 6 Limites d’une compréhension classique de l’informel 7 Comprendre et définir autrement l’informel 7 Deux études pionnières 8 L’usine Western Electric de Hawthorne 8 Les mines de charbon britanniques étudiées par l’Institut Tavistock 8 Quatre écoles de pensée 8 L’école classique des organisations 8 L’école des relations humaines 8 L’école politique 9 L’école systémique 9 2.Définition et nature du groupe informel 9 La réalité groupale :

d´une intégration systémique des diverses théories d innovation, provenant des différents modèles procéduraux tels que, le « Technological Push », le « Marketing Pull » et le « chain Linked », dans une même structure analytique de l entreprise où l´innovation est entendue comme étant un système unifiée. Selon le livre d´Oslo, (Manuel d´Oslo 1997 p. 42 (1)) cette abordage analytique de l´innovation technologique, présente l´avantage de créer une structure intégrationniste et systémique d´innovation caractérisée

désigne l’ensemble des procédures et des mécanismes qui encadrent les décisions de création et de répartition de la valeur. Pour Charreaux(1997), le gouvernement des entreprises recouvre l’ensemble des mécanismes organisationnels qui ont pour effet de limiter les pouvoirs et d’influencer les décisions des dirigeants, autrement dit qui « gouvernent leur conduite et définissent leur espace discrétionnaire ». D’après Caby et Hirigoyen (2001), la gouvernance est un ensemble de mécanismes de contrôle externes