Contrainte Morale

IV- La Morale La Liberté On peut envisager la liberté sous deux aspects principaux : L'individu face à lui-même : - Tout objet est déterminé par une loi de causalité universelle. L’esprit est soumis à cette loi au même titre que la matière. Toute action, décision est donc le résultat d’un ensemble de causes antérieures. Ce qui permet de dire que l’individu est déterminé par son histoire, c'est-à-dire par un ensemble de causes et d’évènements antérieurs.Notre liberté est alors dépendante

conformant à des normes, il ne s'agit pas de normes juridiques. Ces comportements sont régis par des normes qui ne sont pas juridiques, généralement. Ex : obligation morale entre amis. Pour un prêt entre amis, pas de preuve littérale, on ne signe pas de contrat. C sur une relation de confiance que sera fondée l'obligation. La norme morale n'est pas juridique. -la norme juridique n'apparaît que très tardivement ds l'histoire de l'humanité. Pdt très lgtmps, les stés humaines ont été régies par des

Fiche bac : Le droit et la morale (point commun : la notion de devoir) Fonction générale du droit : assurer la paix et la sécurité (nécessité sociale). Mais pourquoi obéit-on aux lois permettant d’assurer notre sécurité et l’harmonie des libertés entre elles ? L’obéissance est-elle toujours justifiée, c’est-à-dire, légitime ? |Droit positif |Droit naturel

TRAVAIL ET LA LIBERTE Le travail est très généralement vécu comme une contrainte, il est le seul moyen de « gagner sa vie ». Il ne cesse de diviser la pensée contre elle-même : liberté contre servitude. La nécessité est plus qu’une obligation : elle renvoie à quelque chose d’inévitable ; une nécessité s’impose. → Il s’agit donc ici de confronter deux notions qui paraissent opposées, à savoir le travail, vécu comme une contrainte voire comme une nécessité, et la liberté comme pouvoir d’agir selon le

LA LIBERTE Les différentes formes de liberté : La liberté peut tout d’abord se définir par une absence totale de contraintes, de règles, de limites ; c’est une définition spontanée de la liberté et irréfléchie car on s’aperçoit rapidement que cette définition est naïve. Une telle conception renvoie à l’anarchie , à la loi du plus fort, à une apologie des passions et ne peut donc convenir à l’homme, vivant en société. La liberté civile, c’est la liberté du citoyen vivant en société et soumis à

Philo idées pour dissertation : Sujets : Peut-on être libre sans loi ? Pistes : Regarder notion d’autonomie ; le verbe pouvoir 2 sens : Capacité, aptitude ;possibilité Problématiques : .(Les contraintes peuvent favoriser une certaines liberté ? ) .Être libre est-ce n’obéir a aucune loi ? . Peut-on affirmer à la fois que l'homme est libre et qu'il est soumis à des lois ? . Peut-on obéir sans cesser d'être libre? . Être libre, est-ce s’affranchir de toute autorité ? .Peut-on à la fois

fût réduit à l'esclavage faute de n'avoir pu payer ce que l'on devait. On engageait jusqu'à sa liberté. b) Obligation et contrainte Ce passage par les sources archaïques du devoir peut d'abord expliquer que l'opinion confonde si souvent l'obligation et la contrainte. Le cas de l'esclavage est assez parlant. Il importe cependant de faire des distinctions conceptuelles. La contrainte désigne l'action d'une force non reconnue par notre volonté. Rousseau, dans le Contrat social, l'illustre par l'exemple

Intro. Nous avons coutume de définir l’action de faire le bien comme faire ce qui est conforme à ce qu’on attend, ce qui est moral, bref ce que l’on doit faire. La notion de bien suppose la définition d’une norme ; ce qui est bien, ce qui est bien fait, est ce qui répond à une attente. Le bien peut être un idéal dont le monde imparfait doit toujours chercher à se rapprocher. Du bien, comme du bonheur, on peut alors dire que tous les hommes le désirent -> faire le bien est un objectif. Qu’est-ce

conséquent de tromper ou encore d’abuser les autres forces. Par ailleurs en lui-même le mot « force » évoque une « puissance physique » et ne peut donc pas prendre pour sens un droit ou l’obéissance a un devoir. En effet la force n’est pas un droit moral mais tous simplement un acte de puissance dominante. Dans ce cas là selon Rousseau il parait difficile de rendre tout à fait crédible le droit du plus fort, ce qui pourtant semble être déjà établi en temps que principe. Dans un second

première condition (externe) du progrès de l’humanité, il prépare le second moment d’une soumission morale à la loi. Autrement dit, c’est à travers l’avènement d’une constitution politique favorisant la coexistence pacifique des libertés que l’humanité va s’acheminer vers sa destination, qui est morale (action accomplie par devoir et non conformément au devoir). Et cet accomplissement de sa destination morale conduit l’humanité d’un Etat légal (qui pacifie politiquement les libertés) jusque vers un droit