Contrainte Morale

économique. Par exemple, les multimillionnaires (même s’ils n’échappent pas à la contrainte des impôts !) ont, si nous les comparons avec les plus modestes, davantage de libertés : des libertés d’agir : voyager ou bon leur semble, intervenir et aider dans pays en guerre et des libertés de pensée : un individu riche a des moyens importants pour divulguer une idée par exemple. La liberté se place au cœur du fondement de la morale : chacun est libre de suivre la part de naturel enfuie au plus profond d nous

le droit signifie ce qui est licite, permis et autorisé tout en impliquant une notion d’autorisation et d’exigence. Pour Leibniz, le droit apparaît comme « un pouvoir moral » : «pouvoir» car il détermine pour notre action un terrain d’exercice et «moral» car il n’entraîne pas toujours de conséquences matérielles. La dimension morale du droit représente d’une part sa faiblesse (absence de conditions matérielles pour le faire respecter) et d’autre part une force puisque que le droit est un «devoir-être»

de la justice a) La justice comme illusion b) Seule la force peut faire respecter les lois c) Légalité et légitimité II. La justice véritable comme négation de la force a) La charité b) La solidarité c) Vertu morale ou vertu juridique ? III. La justice entre liberté et contrainte a) L’impératif juridique b) La justice entre rationalité et finitude c) La force « raisonnable » La force s’oppose-t-elle à la justice ? Obéissons-nous aux lois parce que nous les trouvons justes ou au contraire

devient en faisant des chois et en acceptant des contraintes EX : le pianiste pourra improviser, jouer, créer faire preuve de liberté dans la mesure ou il aura acquis un certain nombre de structure de contraintes et de codes Nos potencialité ne peuvent se developper que par le travail (la contrainte, la repetition), et c'est par cela que l'on peut acquerir une liberté de penser. Ce texte nous permet de dialectiser les notions de contraintes et de liberté, ce qui peut sembler venir entraver

toute contrainte étrangère et extérieure. A l’origine : libre condition de l’homme qui n’est pas esclave, qui dispose de sa personne et participe à la vie de la cité. La liberté est un statut, une condition sociale et politique, puis elle devient une caractéristique individuelle et morale. Est libre un homme indépendant et autonome qui n’est pas déterminé ou contraint. •Obligation : Vient du latin obligare, « attacher à », « engager ». Le premier sens de ce terme l’apparente à une contrainte, à une

 Le droit et la morale Issus du stoïcisme cicéronien, les systèmes jusnaturalistes n'opéraient aucune distinction entre le droit et la morale. Mais, à la fin du XVIII siècle, cette confusion ne correspond plus aux besoins ni aux aspirations de la civilisation bourgeoise - dont Emmanuel Kant (1724-1804) va se faire le porte - parole, en isolant "complètement la notion de norme juridique de celle de norme morale", au moyen de la notion de contrainte extérieure. Pour comprendre la relation entre le

pour justifier une action contraire à la loi ou à la morale. bonheur : Etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit. liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de

exemple, il est interdit de conduire sans permis ou en état d’ébriété sous peine de ne plus pouvoir conduire ou il est impensable de tuer un semblable sans être privé de sa liberté en restant en prison. L’emprisonnement est une contrainte physique. Les lois et la morale nous contraignent dans nos actes afin de gagner plus en liberté. Ne vaut-il pas mieux se priver de certaines libertés pour pouvoir vivre sereinement ? «La liberté des uns commence, là où s’arrête celle des autres.» Cette expression

actions et de nos choix. Le monde nous impose tout de même des contraintes. Il y a des contraintes naturelles : nous avons un corps et des besoins, le temps s’écoule sans que nous puissions le contrôler et la mort nous attend. Nous avons aussi des obligations envers la société, il nous faut respecter les lois et les autres. Mais cela nous laisse, à défaut d’une liberté absolue, une liberté relative. Nous essayons de surmonter ces contraintes et les progrès de l’humanité permettent désormais de réaliser

parfois on dit qu'il est tenu d'une obligation au sens strict. Il y a un aspect actif : la créance et un aspect passif : la dette. L'obligation est constituée de 2 divisions : le debitum. C'est ce qui est dû au créancier, avant toute phase de contrainte. C'est le pur lien juridique entre créancier et débiteur. Ex : dans un contrat de vente, pour l'acheteur, son debitum est de payer le prix. L'appréhension de ce debitum a considérablement évolué au fil du temps. À l'origine, en droit romain, ce