Cour d'appel de Lyon

ses fonctions. Ceci étant précisé que l’on s’en tiendra ici a la justice étatique interne, sans relever l’incidence que peuvent avoir, dans l’application du droit, les décisions de juridictions internationales telles que la Cour de Justice des Communautés Européenne ou la Cour européenne des droits de l’homme. I] Les juridictions Les institutions qui rendent la justice sont séparées en 2 ordres de juridictions. =>L’une tranche les différents qui mettent en cause les pouvoirs publics. ORDRE JUDICIAIRE

........................... page 8 Annexe 2 - SARL « Route des saveurs AIX EN PROVENCE » ......................................................... page 8 Annexe 3 - SARL « Route des saveurs LYON » ; SARL « Route des saveurs LILLE » .................... page 8 DOSSIER 3 Annexe 4 - Extraits d’arrêts de la Cour de Cassation - Chambre commerciale - des 3 novembre 1988 et 15 octobre 1991 ..................................................................................................................

Fiche d’arrêt Cour de Cassation n° de pourvoi: 76-41211 Faits Le 3 septembre 1970, Dame R., institutrice au cours sainte Marthe, établissement privé d’enseignement catholique a été licenciée de ses fonctions à cause de son remariage après divorce. Elle est liée à l’Etat par un contrat simple. De plus elle a reçu une indemnité pour brusque renvoi. Procédure Dame R, a fait grief a la Cour d’Appel. Arguments Le mariage dans le cadre de la vie privée et la liberté religieuse est une des

Légifrance à la suite de l’arrêt. Si le pourvoi n’est pas reproduit, cela signifie que la Cour de cassation ne va pas le rejeter. Les arrêts (de chambre) suivent (le plus souvent) un même schéma : si la Cour de cassation rend un arrêt de cassation, c’est-à-dire un arrêt dans lequel elle casse l’arrêt d’appel, les motifs de la cour d’appel seront reproduits (parce que c’est ce qu’elle casse…). À l’inverse, si la Cour de cassation rend un arrêt de rejet, c’est-à-dire un arrêt dans lequel elle rejette le

connaissance de l’arrêt de la Cour de cassation et des articles de lois joints en annexe, répondez aux questions suivantes : 1 - Quels sont les faits qui ont donné lieu à l’examen de cette affaire par la Cour de cassation ? (2 points) 2 - Qualifiez juridiquement les acteurs concernés. (1 point) 3 - Que demande l’appelant devant la Cour d’appel ? (2 points) 4 - Expliquez la décision de la Cour d’appel d’Aix en Provence. (2 points) 5 - Expliquez la décision de la Cour de cassation. Est-elle conforme

la confédération paysanne du Rhône, refuse de céder. Le 14 mai, la cour administrative d'appel a annulé les déclarations d'utilité publique autorisant les expropriations. Mais le Grand Lyon (communauté urbaine de Lyon) a commencé les travaux sur la parcelle de l'agriculteur au motif qu'un pourvoi en cassation devant le Conseil d'Etat était déposé et que la décision n'était donc pas définitive. Joint par Le Monde, le Grand Lyon a confié à Odile Pagani, chef de projet, le soin d'éclairer la position

compte de façon privilégiée d’une collaboration intellectuelle et littéraire. Cour d'appel de Paris, 1re ch. A, 4 décembre 2009 : Demandeur (Appelant) : Marie-Claude A Défendeur (Intimé) : Consorts X ( Gilles X et Paule X) Marie-Claude A fait appel devant la Cour d’appel de Paris le 4 décembre 2009 (on peut déduire la procédure précédente devant le TGI du fait qu’il est question d’un « arrêt infirmatif attaqué »). La Cour d’appel rejette une quelconque demande d’interdiction faite aux consorts X et condamne

de la Cour de cassation 19 mai 1978 Il s’agit d’un arrêt rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation en date du 19 mai 1978. En l’espèce, la demanderesse salariée dans un établissement privé confessionnel sous contrat simple avec l’Etat, fut licenciée le 3 septembre 1970 suite à son remariage après son divorce. La demanderesse a formé un pourvoi en cassation suite la décision rendue par la cour d’appel de Lyon du 7 octobre 1976 statuant sur renvoi. La cour d’appel

Constitution, a entraîné l’apparition de deux grands ordres de juridictions. Les tribunaux sont partagés entre un ordre judiciaire et un ordre administratif, formant chacun un ensemble de juridictions hiérarchisées relevant de deux juridictions suprêmes : la Cour de cassation et le Conseil d’État. Cette dualité, trait original du système français, a conduit au développement d’un droit administratif autonome par rapport au droit privé et au droit pénal. “ Nul ne peut être arbitrairement détenu. L’autorité judiciaire

novembre 2007, la Cour d’appel de Lyon a déclaré la société Pasteur Aventis MSD responsable de l’apparition de la sclérose en plaques et l’a condamnée à réparer les préjudices subis par la victime. La société Sanofi a formé un pourvoi en cassation et la première chambre civile de la cour de cassation a rendu un arrêt le 9 juillet 2009 qui rejetait la demande formée par Sanofi et la reconnaissait responsable du préjudice causé à Mme X. La Haute Cour a approuvé la Cour d’appel d’avoir en application