Cour De Cassation Ass Plén 2 Avril 1993

contrat Section I : Définition du contrat. La définition légale est donnée par l’article 1101CC : « le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres personnes ». Cette définition soulève 2 questions : Elle affirme que le contrat fait partie d’une catégorie plus vaste, celle des conventions, mais c’est une convention d’un type particulier, en quoi consiste cette particularité du contrat par rapport à la convention ? Le terme « s’oblige »

fondamentaux constitutionnels », D. 1999, chron., pp. 451-456) ; - P. Pedrot, « Le statut juridique de l’embryon et du fœtus humain en droit comparé », J.C.P. 1991.I.3483 ; - G. Raymond, « Le statut juridique de l’embryon et du fœtus », Gaz. Pal., 23-24 avril 1993 ; - R. (Ph.) Thery, « La condition juridique de l’embryon et du fœtus », D. 1982, chron. 213 ; - C. Neirinck, « L’embryon humain : catégorie juridique à dimension variable », D. 2003, chron. 841 ; - G. Mémeteau, « Le premier avis du Comité consultatif

INTRODUCTION §1. LA DIVERSITÉ DES RAISONS DU RECOURS À LA FORME SOCIÉTAIRE 2 questions à examiner : - Pourquoi créer une société ? - Dès lors que l’on a décidé de créer une société, pourquoi créer telle forme de société plutôt que telle autre ? Il n’y a pas de réponse unitaire à ces questions. En réalité, un certain nombre de raisons viennent se cumuler pour justifier ces choix. En toute hypothèse, il faut préalablement observer que la création dune société n’est pas la seule et unique

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* Cozian, Viandier, De Boissy, Droit des sociétés, Éd. Litec * Le Canu, Droit des sociétés, Éd. Montchrestien * P. Merle, Droit des sociétés, Précis Dalloz * Traité de droit commercial de Rippert et Reblot, Les sociétés tome 1, volume 2 (M. Germain et V. Magnier) * Revue des sociétés, Revue droit des sociétés, Bulletin Joly Sociétés, Revue trimestrielle de droit commercial, JCP Éd. Entreprise, Répertoire Defresnois, Revue de jurisprudence de droit des affaires, Revue de jurisprudence

mer). Naissance de la doctrine du colbertisme, qui prône l’intervention de l’autorité publique dans le commerce. Influence les autorités françaises. Deuxième étape : la Révolution qui proclame la liberté du commerce et de l’industrie : décret Dalade (2 & 17 mars 1791). On abolit les corporations et les règlementations des métiers par les décrets Lechatelier du 14 juin 1791. On fait tomber les carcans qui étouffaient le commerce. Troisième étape : Le code de commerce de 1807. Réelle codification. Objectif :

une fois dit cela, il faut s'attacher à la sociologie de ces entreprises : quelles sont ces entreprises défaillantes ? La situation est hétérogène ; pour 60% de ces entreprises, ce sont de toutes petites entreprises, les TPE, qui emploient au maximum 2 salariés, et ce sont souvent de très jeunes entreprises. Il y avait une idée, mais le business plan était mal construit, on n'accroche pas le marché et disparition de l'entreprise. Pour celles-ci la procédure est très rapide, on ouvre une liquidation

traditions étaient pourtant sensiblement différentes. Ainsi, l’Afrique a été pendant longtemps l’une des terres fertiles d’exportation du droit et même des juristes français1, « autant […] par l’embrasement de la conquête que par le rayonnement de la pensée »2. Du reste, même après l’accession des pays africains à la souveraineté internationale, il s’avère que la plupart des anciennes possessions françaises se sont lancées, sous le coup de certaines contraintes ou pour assouvir certains appétits nationaux