Coût de transaction

théorie de l’agence, la théorie des coûts de transaction, la théorie des droits de propriété ainsi que d’autres théories alternatives. D’après ces dernières, on peut logiquement établir un lien entre la volonté d’améliorer les structures de gouvernance et les problématiques liées à ces théories. Parmi ces problématiques, on peut citer par exemple celle du conflit d’intérêt entre actionnaires et dirigeants mais aussi celle traitant de l’arbitrage du coût nécessaire à la mise en place de structures

attention), tout cela se fait naturellement → concept de La main invisible d’Adam Smith. L’économie des coûts de transaction : R. COASE : prix nobel d’économie pour avoir démontré que parfois l’entreprise se révèle plus efficace que le marché. Explications : selon lui le marché génère des frottements (= temps passé à trouver un accord sur le prix) et cela génère des coûts de transaction (coûts ex-ante). COASE va introduire le temps en économie : les échanges ne sont pas instantanés. Le temps perdu

individus coopèrent dans le but de produire mais aussi entretiennent des rapports sociaux et contribuent à faire vivre une culture d'entreprise 2- Quelles modes d'organisation pour l'entreprise ? A) Quel mode de coordination ? Un coût de transaction : ensemble des coûts que doivent supporter les agents économiques quand ils souhaitent échanger un bien ou un service. Les différents modes de coordination : → La hiérarchie est le principal mode de coordination de l'entreprise. La supériorité

On connaît la réponse de Coase à ces deux questions : si la firme existe, c’est parce qu’il existe un « coût de fonctionnement » du marché ; à l’intérieur de la firme, l’affectation des ressources s’effectue par l’« autorité », représentée par l’entrepreneur-coordinateur. Mais c’est seulement depuis une trentaine d’années, grâce à l’émergence de nouveaux courants, théorie des coûts de transaction, théorie des incitations, théorie évolutionniste, théorie des ressources notamment, que les économistes

La nouvelle société du coût marginal Résumé du chapitre 1 : Le grand changement de paradigme : du capitalisme de marché aux communaux collaboratifs Plusieurs paradigme économique ont existé. Celui du capitalisme est entrain de mourir et un nouveau paradigme s'installe petit à petit. Il consiste à réduire les coûts de production au niveau zéro. En effet, les nouvelles technologie vont stimuler la productivité et réduire considérablement les prix pour qu'ils atteignent le niveau "zéro"; ainsi les

obligations) entre deux types d'intervenants : acheteurs et vendeurs. Ce marché, qui est un lieu de financement à long terme se caractérise par une composition complexe et par des produits divers, et ceci dans le but de s'adapter aux différents motifs de transactions et aux différents choix des acheteurs et vendeurs. La structure du marché financier est déterminée par les types d'organisation c'est-à-dire les catégories du marché (dirigé par les ordres\ dirigé par les prix, centralisé\ fragmenté, de fixing\

Une partie des démarches théoriques contemporaines tente d'intégrer ces nouv elles coopérations internationales dans leur grille d'analyse. Pourtant peu réus sissent actuellement à être convaincantes. Les faiblesses de la théorie des coûts de transaction ont, à cet égard, été soulignées ailleurs (Mucchielli, 1991). (*) Cet article s'inscrit dans le cadre d'une recherche subventionnée par le Commissariat Général du Plan, n° 31, 1989. 118 REVUE D'ÉCONOMIE INDUSTRIELLE — n° 55, 1er trimestre

d’indicateurs de performance Identification des facteurs déterminants la structure et la dynamique des niveaux de la filière Analyse fonctionnelle Economie industrielle Analyse institutionnaliste Économie néoinstitutionnaliste Théorie des coûts de transaction Étude des modes de coordination entre agents pris 2 à 2 Rappel : les différentes méthodes de l’analyse filière Méthode Principaux outils Utilisation Analyse Variable d’environnement systémique et forme canonique O- I – D (opérations informations

première partie, nous nous intéressons à la valorisation par absence d'opportunité d'arbitrage de portefeuilles incluant la possibilité de transformation d'actifs par le biais d'un système de production, cela sur des marchés présentant des coûts de transaction proportionnels. Faisant appel à cette théorie spécique, nous proposons un concept alternatif d'absence d'opportunité d'arbitrage pour une fonction de production et étendons certains résultats de Rásonyi [Rásonyi 10] à temps discret. Cela nous permet

déterminants de ce phénomène de masse. A ce titre, le cadre mobilisé pour la modélisation théorique de l’intervention des PSL peut être constitué par une combinaison de la théorie de l’agence (Jensen et Meckling, 1976) et de la théorie des coûts de transaction (Williamson, 1975, 1985, 1996). Vue sous l’angle de la théorie d’agence, l’intervention des PSL peut être assimilée à une relation d’agence entre le chargeur (le principal) et le prestataire (l’agent), que Jensen et Meckling définissent, comme un