Coût marginal

et le long terme lorsque de nouvelles entreprises entrent sur le marché ? Il faut rappeler que les profits représentent la différence entre les recettes et dépenses et cout total. Π= RT(q) – CT(q) Maximiser les Π = P*Q – CT En faisant la dérivée on a : d Π/dq = P - Cout marginal = 0 P = Cout marginal P Offre Cout Marginal Cout Moyen total Demande Q Marshall qualifie de CT les relations P = Cm. Lorsqu’il raisonne en termes de marché, il invente un concept imaginaire qui représente la firme

tout le monde 6 ▪ Le marché est efficace (dans l’activité économique) 7 ▪ L’intervention de l’Etat est « parfois » bénéfique Comment fonctionne l’économie : 8 ▪ La production détermine le niveau de vie 9 ▪ L’offre de monnaie génère l’inflation 10 ▪ A cout terme la société doit choisir entre inflation et chômage Dossier TD 1 Macro II pour S3 - Omar BELKHEIRI Les 10 principes de l’économie (selon N. Gregory Mankiw) Comment les gents prennent les décisions Principe 1 : Les agents font des choix

demande de coupe de cheveux est-elle su¢ sante (par rapport au coût de produire les coupes de cheveux) pour permettre l’ organisation concurrentielle de cette industrie ? Réponse: Une manière de répondre à cette question est de déterminer le nombre total de coupe de cheveux qui, si elles étaient mis sur le marché, le serait à un prix 1 qui correspondrait au minimum du coût moyen de chaque …rme. La quantité qui minimise le coût moyen est la quantité y qui véri…e: b CM (b) y C(b) y y b = ()

prendre la décision suivante. Vous avez la possibilité de développer un produit grâce à un investissement en R&D de 250, à la suite duquel vous obtiendriez un brevet (faisant de vous l’unique producteur de ce bien), et de produire ce bien à un coût marginal constant égal à 10. Le marché potentiel pour votre produit est donné par la fonction de demande suivante : Qd = 25 – 0.5 P L’objectif de cet exercice est d’établir un plan d’affaires avant d’effectuer l’investissement initial en R&D

nombre d’entreprises en concurrence. Dans cette optique, elle distingue un modèle idéal qui permet d’atteindre la meilleure allocation des ressources. Grâce d’une part à la tarification des biens et services à leur coût marginal, et d’autre part à l’incitation permanente à atteindre le coût moyen minimum. En l’occurrence, il s’agit du modèle de concurrence pure et parfaite. En premier lieu, il se caractérise par le grand nombre d’entreprises qui empêche toute concentration du pouvoir de fixation des

réalisées ; infinité des entreprises, les produits totalement semblables.) A. Le monopole et ses conséquences : - Différent type de monopole : Doc 2 page 93 : Attention : économie d’échelles : si on multiplie par x la quantité produite, alors le coût unitaire de production diminue = rendement d’échelle croissant. Echelle de coûts fixes important est la cause des rendements d’échelle. Ex : voiture : dépense de recherche et développement correspond à la conception, les tests, les prototypes, etc

ensemble de fonctions de production •La fonction de production de courte période : un seul facteur variable •Produit total ; produit moyen ; produit marginal -Courbe de production totale qui répond a la loi des rendements décroissants : si l'un des deux facteurs de production est tenu constant, et l'autre augmenté, la productivité marginale de çe facteur décroit au-delà d'un certain seuil. Cela se traduit par le rapport enter la quantité de machine utilisées et celle de travail fourni : lorsque

tout i ∈ 1, n . Économiquement cette hypothèse signifie que la satisaction de l’agent augmente lorsqu’il augmente la quantité de biens qu’il consomme. 2 1.1.1.2 L’utilité marginale Grâce à la fonction d’utilité nous pouvons définir une notion clé en microéconomie : l’utilité marginale. Définition 1. L’utilité marginale d’un bien, ou d’un panier de bien, correspond à l’accroissement d’utilité obtenu par la consommation d’une unité supplémentaire du bien, les quantités consommées des autres biens

l’évolution de la production en fonction du nombre d’unités de travail utilisée est donnée dans le tableau ci-dessous : L et y sont respectivement le nombre d’unités de travail et la quantité produite. PmL et PML sont respectivement la productivité marginale et moyenne du travail. L 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 y 0 14 40 76 120 224 280 336 390 440 484 520 546 560 560 544 510 PmL 0 14 36 44 50 54 PML 14 20 25,3333333 37,3333333 40 42 43,3333333 50 44 36 26 14 0 -16 -34 43,3333333

d’accroissement . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Dérivée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3 Étude de fonctions . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Coût total, coût moyen, coût marginal . . . . . . . . 2.3.1 Coût total . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.2 Coût moyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.3 Coût marginal . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.4 Étude qualitative des différents types de coûts 2.4 Élasticité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4