Coût proportionnel

nécessite tout d’abord de sélectionner les charges incorporables issues de la comptabilité générale, puis d'opérer une sélection entre les charges directes et indirectes. Les clés de répartition choisies sont souvent arbitraires. Selon la clé choisie, le coût de revient peut être considérablement modifié. C’est ainsi, qu’en fonction de l’activité, les coûts de revient calculés mensuellement par la comptabilité analytique vont être différents sans qu’il soit possible de nommer la cause des variations

L’imputation rationnelle des charges fixes 1- Le coût complet unitaire Soit a le coût variable unitaire, b le coût fixe total, x le nombre de produits fabriqués et vendus et y le coût complet total : y = ax + b Exemple : le coût variable unitaire est de 5,00 €, le coût fixe total de 1 000,00 € et il a été fabriqué et vendu 2 000 produits. y = 5,00*2 000 + 1 000,00 = 11 000,00 Coût complet unitaire = a + [pic] Exemple : [pic] 2-L’imputation rationnelle des charges fixes

Les Méthodes Comptables de Calcul des Coûts La méthode des coûts complets : Le coût complet est aussi appelée coût de revient. La méthode de calcul des coûts complets est donc en d’autre termes une méthode de calcul du coût de revient des produits d’une entreprise durant une période donnée. Ce calcul intègre l’ensemble des charges supportées durant le processus de fabrication et de distribution des produits. La méthode des coûts complets réparties les différentes charges incorporables

FICHE 34 – LES ECARTS SUR COUTS 1 – INTRODUCTION Le calcul des écarts sur coûts permet de détecter l’origine des différences entre les prévisions du coût de production d’un produit et le coût réel. Le calcul est simple : Ecart sur coût = Coût réel – Coût prévu Les causes possibles des écarts sont multiples : différence de prix de la matière, de la main d’œuvre, des quantités de matières utilisées, de rendement de la main d’œuvre, qualité des approvisionnements, réglage des machines…. Afin de

écarts : Coût préétabli : Est un coût évaluer antérieurement soit pour faciliter certaines traitements analytiques, soit pour permettre le contrôle de gestion par l’analyse des écarts. Un coût préétabli avec précision par une étude à la fois technique et économique est dit Standard, il présent généralement le caractère d’une norme. Cette définition recouvre une variété de méthodes de calcul des coûts préétablis, ainsi on peut distinguer divers types de coûts préétablis : - Coût moyen prévisionnel

dans l’hypothèse 2  2 – Pour réaliser un résultat forcément positif : Prix de vente – Coût de revient > 0 Prix – 12 600 > 0 Prix de vente > 12 600dh 3 - 3 – 1 : Le coût variable de revient des P1 faits en heures supplémentaires C’est le cas d’une production supplémentaire, si le coût marginal des unités de P1 (les plus coûteuses) est inférieur au prix de vente proposé, alors

chaussettes en hyper et super marché souffre d'un manque d'attractivité et les consommateurs ont tendance à ne pas prêter attention aux marques. La différentiation par le coût y est prépondérante et on assiste à une guerre économique entre les protagonistes. Cette pression sur les prix pousse les entreprises à délocaliser pour réduire le coût main d’œuvre. Afin de se différencier sur ce marché, Tricotage des Vosges mise sur l'attractivité de « blue sox ». Les clients apprécient les créations et la réactivité

GESTION DES STOCKS LA GESTION SUR SEUIL PREAMBULE La formule de WILSON permet, en gestion sur seuil de déterminer la quantité économique de commande dans le but d’optimiser le stock de roulement et de minimiser le coût de gestion de ce même stock. La formule de WILSON s’applique produit par produit. Il est cependant assez rare de ne commander qu’un seul produit à un fournisseur. D’autre part, les coûts unitaires d’approvisionnement peuvent être dégressifs par paliers de commandes.

rentabilité minimum - - Prix de vente + Volume des ventes - Coût unitaire + Marge unitaire + -/+ Marge totale (volume X marge unitaire) Adapté de Lindon et Jallat, 2002 P : Prix envisagés 100 120 140 a :Volume des ventes (unités) b : recettes totales (P x a) c : coûts fixes d : coût variable unitaire (variable selon volumes) e : coût variable total (d X a) f : coût total (c + e) g : résultats (b – f) 100 000 10 000 000 3 000 000 60 6 000 000

identique : ✓ Définir les activités stratégiques ou les lignes de produits ; ✓ Evaluer les activités stratégiques selon les 2 critères de base, attrait et compétitivité ; ✓ Représenter sur la matrice par des cercles de surface proportionnelle à leur part dans le chiffre d’affaire totale de l’entreprise ; ✓ Identifier pour chacune des activités le niveau de risque et la situation financière ; ✓ En déduire les prescriptions stratégiques. Sommaire Introduction Première