Coutume Savante

justement de réaliser tout ou du moins une partie de cet objectif qu'est la pudeur, en cachant les parties du corps les plus intimes (poitrine, cuisses, jambes, bras, épaules...), la femme se conforme ainsi au fondement du port du voile, plusieurs savants musulmans insistent aussi sur l'obligation de couvrir les cheveux en se basant sur le "hadith" suivant rapporté par Abou Dâwud et Al Bayhaqî : "Aïcha (l'épouse du prophète), que Dieu soit satisfait d’elle, a raconté que sa sœur aînée, Asma, que Dieu

éventuel devant le Conseil constitutionnel b) La promulgation c) La publication B – La réalité de la production législative C – La Codification 1) Le code savant 2) Les codes compilations Par. 2 – Les sources infra-législatives : les quasi législateurs A) Les sources privées : coutumes, usages,règlements collectifs, 1) La coutume a) Définition b) Caractères c) Typologie 2) Les règles posées par une autorité collective privée B) Les sources publiques 1) Les administrations 2) Les

société, elle ne peut être extérieur à laquelle elle s’impose. La règle de droit n’est pas imposer et comporte 2 atténuations : Tous d’abord d’après le Contrat social de Rousseau : La règle de droit apparait de la volonté. La source du droit, la coutume, la pratique. Cette pratique correspond à l’expression par chacun de sa volonté individuelle. Paragraphe 2. Le caractère coercitif de la règle de droit. Pour espérer être respecté, il y a des sanctions suivant le type de règle, il y a donc

juridique elle même # Coutume : doit remplir 2 conditions : Il faut que la pratique présente un caractère général dans le temps et dans l’espace (coutumes professionnelles ou territoriales). Il faut un élément psychologique ; une règle de conduite ne devient une coutume que si un groupe d’individus considère sa violation comme une absence de respect d’une règle de droit. Cette absence est sanctionnée par le juge, d’où son caractère obligatoire. Comme pour les lois, il y a des coutumes impératives et des

d'unifier le droit des pays de coutume au nord et des pays de droit savant au sud est dominante. Cette volonté s'est traduite par une codification du droit qui prend la forme, en 1804, du Code civil. Cette codification de lois générales et un personnel, amène, par la pratique à une interprétation de ces lois. Cette interprétation se traduit par la jurisprudence et la doctrine. En effet, il arrive que la règle de droits énoncés dans un texte législative ou inscrit dans une coutume soit douteuse, mal formulées

12 L'asservissement aux "folies" : l'homme est vain car il est déraisonnable 13 Vanité des grandeurs-> la grandeur déchue 14 La vanité des grandeurs 15 La contradiction travail/pouvoir 16 La vanité des apparences 17 idem 18 La vanité de la coutume 19 La vanité du point de vue et de l'angle de vue 20 La vanité de notre être 21 La vanité du savoir scientifique 22 La vanité de la condition humaine 23 La vanité du paraître 24 La fragilité du pouvoir 25 La relativité de la nature humaine

l’individu est savant. Par exemple si l’on propose à quelqu’un trois choix et qu’il n’est capable de comprendre qu’un seul des choix, on ne peut pas dire qu’il a été libre de choisir. Car il prendra le seul et unique choix qu’il connaît et par conséquent il aura été prisonnier de son ignorance. Ainsi choisir par dépit ne découle pas d’un acte libre. C’est donc de cette ignorance que nous libère la culture car elle nous offre la possibilité de connaître et de devenir savants et par extension

semblent juste. Ainsi "honore"-t-il sans se poser de questions "les gentilshommes" (85), au contraire des "demi-savants" (93) qui critiquent tout sans rien comprendre. C'est pourquoi il convient de le manipuler (63), et ce dans son propre intérêt, dans un souci de paix sociale. Puis, il parle des dangers politiques. Le danger le plus redoutable est la guerre, légitimée par la "coutume" ("Il demeure au-delà de l'eau", 18 : c'est donc un ennemi). Ses causes sont arbitraires (56), même si elle est

fondamentales que sont le Coran et la sunna d'une part, et d'autre part les sources secondaires, fondées sur la raison humaine, qui comprennent le consensus des juristes (ijma), le raisonnement analogique (qiyas) et l'interprétation (ijtihad). La coutume ('urf) et la loi ne sont pas officiellement sources de droit, mais ont permis d'adapter le droit d'origine religieuse à la diversité des pays et des cas. Une jurisprudence diverse s'est développé selon les régions, en fonction de quatre écoles

circonstance similR par d’autres juges - coutume = ens des regles spontanement acce^tées âr sté. A dorce d’etre repétés par tous, qqch qui était simple usage fini par deveneir une norme obligatoire (elle s’impose a tous), ce qui fait d’elle du droit NB coutume importance netemnt moindre que loi et juris, de nos jours on l’utilise pour completer ou interpreter la loi. On ne reconnait une valeure a la coutume ssi ELLE NE S’OPPOSE PAS A LA LOI En revanche dans passé, imp coutume était cinsiderable - Doctrine =