Créon

[…] ». Ce passage d’Antigone de Sophocle – un dialogue entre roi Créon et son fils – est cruciale pour le développement des caractères et un des thèmes fondamentale de l’auteur : la critique de l’absolutisme. Après avoir lu l’argument opposant Créon a Antigone, nous avons appris que le roi possède la caractéristique primordiale du despote : il croit sincèrement que ses paroles constituent l’unique vérité. Mais désormais, Créon est opposé à son fils qui tente de lui en prouver autrement. Contrairement

malheureuse famille. PERSONNAGES Étéocle, roi de Thèbes. Polynice, frère d’Étéocle. Jocaste, mère de ces deux princes et d’Antigone. Antigone, s?ur d’Étéocle et de Polynice. Créon, oncle des princes et de la princesse. Hémon, fils de Créon, amant d’Antigone. Olympe, confidente de Jocaste. Attale, confident de Créon. Un soldat de l’armée de Polynice. Gardes. La scène est à Thèbes, dans une salle du palais royal. ACTE premier Scène 1 Jocaste, Olympe Jocaste Ils sont sortis, Olympe

mouvement lignes 1 à 13 : Créon, une figure paternelle- deux verbes à l’impératif présent : empressement de Créon, sentiment d’urgence à rendre Antigone heureuse, à la sauver d’elle-même ligne1- apostrophe : « Antigone » : il s’adresse à elle, l’invective, sentiment de supplication.- lignes 2/3 : métaphore de la vie et de la fuite du temps, toujours sentiment d’urgence, bonheur

conduite par un garde devant son oncle Créon, après avoir tenté de recouvrir de terre le corps de son frère Polynice. Le personnage de Créon est représenté chez Sophocle et chez Anouilh. Dans les deux pièces, le personnage incarne le pouvoir, mais, tu vas le voir, de manière différente. Texte 1 : p66, Anouilh Antigone (table ronde) – « Créon : Tu avais entendu proclamer → Antigone : Pour personne, pour moi » p73 Texte 2 : Sophocle (Séance 2) Activité 1 : Créon, l’incarnation du pouvoir Dans les

pensant qu'il n'y avait tant de petites bêtes, tant de brins d'herbe dans le pré , et qu'on ne pouvait pas tous les prendre ? Chacun de nous a un jour, plus ou moins triste, plus ou moins lointain, où il doit enfin accepter d'être un homme. Pauvre Créon ! Avec mes ongles cassés et pleins de terre et les bleus que tes gardes m'ont faits aux bras, avec ma peur qui me tord le ventre, moi je suis reine. Je vous parle de trop loin maintenant , d'un royaume où vous ne pouvez plus entrer avec vos rides

Page 36 à 45 : Hémon et Antigone Page 45 et 46 : Ismène et Antigone Page 46 à 52 : Garde et Créon Page 53 et 54 : Chœur Page 54 à 60 : les 3 gardes et Antigone Page 60 à 64 : Garde, Créon et Antigone Page 64 à 97 : Antigone et Créon Page 97 à 100 : Antigone, Ismène, Créon, Chœur et garde Page 100 à 106 : Créon, Hémon et Chœur Page 106 à 118 : Antigone et garde Page 118 à 123 : messager, Chœur, Créon et son page Personnages principaux : Antigone : fille d'Œdipe, sœur d'Étéocle, Polynice

Les noms donnés devant les répliques - la scène d'exposition. Créon parle à Antigone. Il la tutoie donc on peut en conclure qu'il ont une relation proche. Les indices potentiels sont: - les fenêtre - le palais - la couronne II- Une confrontation d'idée Créon envisage sa fonction de roi comme une “corvée”. Le passage qui l'illustre est celui de l'ouvrier partant à son travail. Non Créon n'et pas d'accord car pour lui Antigone ne doir pas mourir car si elle meurt

Antigone guide son père sur les routes après que celui-ci, ayant réalisé qu'il a tué son père et épousé sa mère, s'est crevé les yeux en se condamnant à une vie d'errance. Antigone retourna ensuite à Thèbes après sa mort pour épouser Haemon, fils de Créon. C'est au cinquième siècle avant J.-C. que le dramaturge athénien Sophocle met en scène un épisode de la légende d'Œdipe.Sophocle, dans son Antigone, donne la première version achevée de la mort héroïque d'Antigone : Le roi de Thèbes eut donc avec

Sujet (classeur et dictionnaire autorisés, 1 h 30) : Dans Antigone d’Anouilh, Créon affirme : « la vie c’est un livre qu’on aime, c’est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu’on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison ». Dans un premier paragraphe, vous direz quelle est la conception de la vie et du bonheur exprimée ici. Dans un second paragraphe, vous réfuterez cette conception du bonheur en mettant l’accent sur le tragique de la condition humaine. Dans

Gharb-Cherarda-benihssen (session : Juin 2010) CREON: (...) -Tu l'apprendras, toi aussi, trop tard, la vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison. Tu vas me mépriser encore, mais de découvrir cela, tu verras, c'est la consolation dérisoire de vieillir ; la vie, ce n'est peut-être tout de même que le bonheur. ANTIGONE, murmure, le regard perdu : - Le bonheur... CREON, a un peu honte soudain : - Un pauvre