Culte de Mithra

domination du bon principe sur la terre Remarque générale. – (Des mystères) Quatrième partie Du vrai culte et du faux culte sous l’empire du bon principe, ou de la religion et du sacerdoce Première section. – Du culte de Dieu dans une religion en général I. – La religion chrétienne comme religion naturelle II. – La religion chrétienne en tant que religion savante Deuxième section. – Du faux culte de Dieu dans une religion statutaire § 1. – Du principe subjectif universel de l’illusion religieuse

supprimer. Du reste, il réduisit le culte à sa plus simple expression et nous retrouverons cette simplicité dans toutes les religions dualistes dérivées du mazdéisme. De la sorte, il mit le culte à la portée des plus humbles. Le mazdéisme eut-il des temples ? La question est controversée, car s’il en exista, ce ne put être que sur des montagnes, sur des « hauts-lieux » où les Perses, si l’on en croit Hérodote, aimaient à sacrifier. Zoroastre maintint le culte du feu, déjà en honneur dans l’ancien

murmura Piper. – Effectivement, acquiesça la déesse. J’ai eu une conversation charmante avec Reyna ici même, dans ces jardins, il y a quelque temps. Et les Romains avaient Mars, bien sûr. Plus tard est venu Mithras, qui n’était même pas grec ni romain, mais les légionnaires raffolaient de son culte. Personnellement, je l’ai toujours trouvé vulgaire et terriblement « nouveau-dieu ». En 446/1102 tout cas, tout cela fait que les Romains ont mis la pauvre Athéna sur la touche. Ils l’ont dépouillée de

supprimer. Du reste, il réduisit le culte à sa plus simple expression et nous retrouverons cette simplicité dans toutes les religions dualistes dérivées du mazdéisme. De la sorte, il mit le culte à la portée des plus humbles. Le mazdéisme eut-il des temples ? La question est controversée, car s’il en exista, ce ne put être que sur des montagnes, sur des « hauts-lieux » où les Perses, si l’on en croit Hérodote, aimaient à sacrifier. Zoroastre maintint le culte du feu, déjà en honneur dans l’ancien

– “le Jeu d’Adam” (XII ème s.) anonyme. Le théâtre religieux sort de l’enceinte de l’église pour donner un véritable spectacle aux représentants de toutes les classes sociales. Les premières pièces de théâtre sont liées aux cérémonies du culte où l’on joue : ➢ à Noël : les différents épisodes racontés par les évangiles, l’annonce faite aux bergers, la naissance du Christ dans l’étable... ➢ à Pâques : le procès du Christ, sa montée au calvaire, sa mort. Le spectacle se

qu'on chasse ou qu'on redoute. L’écriture possède déjà, sous cette forme, sa fonction de point fixe, de repère. C’est sans doute un anachronisme, dû à la projection de nos habitudes, que d’interpréter ces graphismes comme les manifestations d’un « culte » ou d’une quelconque « adoration ». Ne sont-ils pas plus simplement des repères, dont la présence permet de « travailler » mentalement sur l’animal représenté, de même que nos schémas et nos dessins nous aident à visualiser les techniques. Pour

question de savoir comment une secte juive est parvenue à devenir une des grandes religion du monde 2000 ans après. Comment une telle secte a connue un tel succès. A l’époque où le christianisme se développe, il existe de nombreuses religions (culte de Mithra très à la mode, qui se développe beaucoup). La question qu’il se pose est donc de savoir comment ça fonctionne. Il utilise également un autre exemple intéressant : comment le pape Urbain ,2 dans son prêche de la cathédrale de Clermont Ferrand

(chapitre III) est le commentaire. Mais l’attribution à ce sage de sentences spirituelles relevait de la pure fantaisie. «Orosmade» (chapitre III) est le nom du principe du bien dans la religion des mages, par opposition à Ahriman. Est évoqué aussi Mithra, dieu du soleil. L’ange Jesrad est l’ange du bien. Toutefois, Voltaire y mêla des éléments de la religion musulmane : «l’ange Asraël» (chapitre II) y est chargé de séparer les âmes des corps ; comme des éléments de la religion juive (c’est la loi

et une dalle de couverture. 26 © Groupe Eyrolles La préhistoire C h a p i t re 3 Ces mégalithes sont la preuve de l’existence d’une population sédentaire, organisée, paisible et animée d’un réel sentiment religieux. Le culte solaire s’ajoute au culte des morts. En effet l’alignement des menhirs répondait à un but précis d’ordre astronomique et agronomique. Ils permettaient, par leur direction ou leur ombre, de déterminer la date des semailles ou des moissons. 1m Menhir 1m

mettaient au jour mes ressources. Je vécus là toute une époque d'exaltation extraordinaire, due en partie à l'influence d'un petit groupe de lieutenants qui m'entouraient, et qui avaient rapporté d'étranges dieux du fond des garnisons d'Asie. Le culte de Mithra, moins répandu alors qu'il ne l'est devenu depuis nos expéditions chez les Parthes, me conquit un moment par les exigences de son ascétisme ardu, qui retendait durement l'arc de la volonté, par l'obsession de la mort, du fer et du sang, qui élevait