Curiosité Esthetique Baudelaire

l'étranger chéri : telle est l'essence de ce protestant inquiet. Ainsi son œuvre est devenue ce monologue ininterrompu que nous aimons, le monologue souvent discursif et sans bornes en apparence, et pourtant précis, d'un voyageur qui contemple avec une curiosité affectueuse des destinées et les tisse l'une avec l'autre; qui saisit les problèmes pour les transformer en destinées ; qui désire avec la même sensualité spirituelle paysages, corps et idées, et les fait siens.C'est ainsi que Gide est devenu pour

genre littéraire. Mais à travers cette approche générique, on garde un contexte chronologique. Introduction : La particularité de cette littérature latine : - Elle se développe par genre, elle évolue ainsi, non pas tant historiquement, aspect esthétique mais par genre littéraire car chaque genre littéraire est séparé donc il y a épopée, tragédie, lyrique, l’histoire se transforme à l’intérieure même du genre. Il y a ce qu’on appel l’idée de l’imitation, même dans l’antiquité on passe son temps

articles sont allègrement écrits dans une langue nette, souple, impeccable et brillante. Gautier invente à sa manière une écriture de critique d'art qui ne vise pas seulement au ju- gement, à l'analyse, mais aussi à recréer la justesse du sentiment esthétique. Il cherche à rendre, au moyen de mots, la sensation visuelle, musicale produite par la perception directe de l'œuvre d'art. Cette tâche de chroniqueur l'occupe toute sa vie. « J'ai travaillé à La Presse, au Figaro, à La Cari- cature, au Musée

campagne, cache-toi dans ta couverture, ne tourne pas en dérision ce qu’ils font : ils ont soif insatiable de l’infini, comme 1 2 Gaston Bachelard, Op. Cit., pp.32-36. J.-L. Steinmetz indique ici qu'il y a ici une communauté de pensée avec le Baudelaire des Paradis artificiels, qui "souligne la passion de l'infini qui anime les hommes et les entraîne à bousculer les repères moraux habituels." 16 toi, comme moi, comme le reste des humains à la figure pâle et longue. Même, je te permets de

ce que vise la technique c’est l’utilité de son produit dans les activités humaines. Or, de ce point de vue, c’est une condition de l’œuvre d’art qu’elle soit « inutile » ou plus exactement désintéressée. On ne peut même pas dire que le plaisir esthétique (le « c’est beau ») soit un sentiment agréable (« utilité » pour le corps, les sens). Enfin, ce « plaisir » se distingue du sentiment d’un accomplissement du « bon », au sens d’un devoir moral. On comprend que l’ensemble de ces oppositions « négatives »

qui libère psychologiquement de ce qui est refoulé, traumatisant ou oppressant. Par ailleurs, certains écrivains se sont voués à leur art qui, d’après eux, exige tout le soutien et tout le temps. Tout ce qui les en détourne nuirait à la valeur esthétique de leurs œuvres. Les parnassiens, adeptes de « l’art pour l’art » pensent que l’engagement de l’art diminue de la beauté parfaite qu’ils cherchent à atteindre. Pour cela, Théophile Gautier affirme qu’ « il n’y a vraiment de beau que ce qui ne peut

s’agit d’étudier quelle intensité et vivacité de coopération du lecteur postule la forme fractionnée d’un texte comme condition d’actualisation. Comme le souligne U. Eco, « l’intensité de la coopération requise peut devenir un élément d’évaluation esthétique de l’œuvre » (Ibid. p.156). En abordant les conditions de production et de réception des textes dans une période donnée – en l’occurrence l’œuvre de Kadaré pendant la période communiste en Albanie –, nous entrons, inévitablement, dans un domaine

encore du travail à faire sur le comique, mais il a fallu choisir, et partant d’une expérience personnelle de lecteur, En ménage s’est avéré m’inspirer un sentiment très fort de comique. Ayant parcouru les ouvrages majeurs sur l’auteur, sur son esthétique, son style et même sur son comique, il est très tentant de vouloir produire moi-même un ouvrage semblable, un ouvrage vaste et exhaustif sur tous les cas de figures de mon élément de recherche. Cela s’avère en revanche être une affaire qui mérite

à beaucoup de ses contemporains, a aimé la théorie. Il a recueilli alors l’essentiel de son œuvre théorique dans une série de volumes : Le Roman expérimental (1880) ou Les Romanciers naturalistes (1881), qui constituaient la base de la doctrine esthétique du naturalisme. Justement Le Roman expérimental (1880) est une sorte du manifeste du naturalisme. On y trouve l’idée que la littérature atteint son point culminant en collaborant avec la science. Cette théorie a été exprimée dans les préfaces

à assumer comme base pour nos discussions et qui épanouisse notre compétence en la matière. Vu l’enthousiasme avec lequel nous avons reçu cette étude, nous avons le plaisir de vous l’offrir en éditant ce livret, certains qu’elle satisfasse votre curiosité et qu’elle vous incite à collaborer avec nous pour la rédaction de la revue. La rédaction  K tsch anti «Ce qui m’a poussé à participer à ! est avant tout i un mépris, parfois viscéral, provoqué par certaines choses qui se parent devant