Céline Je Refuse La Guerre

supériorité et de puissance sur les autres, et de les écraser. Exemple : Lors de la discussion entre Socrate et Calliclès, ce dernier dit que celui qui a le plus de sentiment est le plus fort. Socrate reprend cette idée, l’applique à l’exemple de la guerre : au cours d’une bataille, celui qui ressent le plus est le lâche. Il a peur lorsque que l’ennemi se rapproche, exulte lorsqu’il bat en retraite. Donc selon le raisonnement de Calliclès, le lâche est fort. Socrate met en évidence cette contradiction

rongé par le désespoir et par l’Opium il se suicide. En outre, on voit également que c’est un hebdomadaire collaborationniste puisqu’il est dirigé par Lucien Combelle qui est né en 1913 et qui est mort en 1995. C’était un ami de Louis Ferdinand Céline. Il fut secrétaire d’André Gide et sous l’occupation, il s’engagea dans la collaboration. Il a écrit dans la Gerbe, il a participé à la fondation de la « révolution Nationale ». Le 28 décembre 1944 il fut condamné à 15 ans de travaux forcés mais il

[Rencontres individuelles] MODULE 4 : LA VILLE ET LA GUERRE À LA RADIO ET EN IMAGES 17 (merc. 27 oct.) ▪ Contexte : la Crise des années 30 ▪ Littérature urbaine et populaire ▪ Introduction et conclusion Analyse d’extraits en groupe Rédaction formative d’une intro et d’une conclusion 18 (lundi 1er nov.) 19 (merc. 3 nov.) Journal de bord (%) 20-21 (8-10 nov.) Dissertation partielle (20%) MODULE 5 : LE GENRE DE L’ESSAI : LA PEUR ET REFUS

l’anti-héros. Peuvent-ils se rattacher à la notion de ‘vrai héros’ que donne Ch. Plisnier ? [Thèse II] [arg 1]  Un des exemples parmi les plus caractéristiques de ce type de personnage est Ferdinand Bardamu du Voyage au bout de la Nuit de Céline. Plongé dans la guerre comme soldat, il s’y retrouve totalement à la merci des ordres et contrordres de ses supérieurs, auxquels il ne comprend rien ; c’est un personnage totalement passif, comme en témoigne son nom même : Bardamu n’avance que parce que son barda

rendre accessibles à un large public. 1) Le roman de chevalerie (XIII°). Le roman fait office de transition entre la « chanson de geste » (récit qui décrit en l’idéalisant la société féodale ; ses héros sont des chevaliers le plus souvent partis à la guerre ou en croisades) et les fabliaux (courts récits à visée morale décrivant des situations comiques ou grossières). Il présente des héros vaillants dont les prouesses ne sont récompensées ni par l’argent ni par le pouvoir mais par l’amour d’une dame

1) Rejet des conventions du théâtre classique : ➢ Remise en question des bienséances et des vraisemblances ➢ Artifices des unités de temps (plusieurs mois) et de lieu (plusieurs endroits) ➢ Refuse la division entre tragédie et comédie ➢ Souci de la couleur locale, détail typique (d’où beaucoup de décors, de détails) ➢ Expressivité baroque, hyperbolique => supprime la contenance 2) Personnages :

rendre accessibles à un large public. Le roman de chevalerie (XIII°). Le roman fait office de transition entre la « chanson de geste » (récit qui décrit en l’idéalisant la société féodale ; ses héros sont des chevaliers le plus souvent partis à la guerre ou en croisades) et les fabliaux (courts récits à visée morale décrivant des situations comiques ou grossières). Il présente des héros vaillants dont les prouesses ne sont récompensées ni par l’argent ni par le pouvoir mais par l’amour d’une dame

|Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, | |- Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent|tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse de publier| |HACHETTE Annales Bac 2007 |le manuscrit dans sa collection des « Poètes d’hier et d’aujourd’hui ». Vous | |NATHAN Annales 2007 |rédigerez la discussion qui les oppose

un être qui a la grâce ? La recherche de l’oubli, la nostalgie du savoir que nous n’aurons jamais, le sentiment également fort de notre infirmité et du miracle de toute chose, lui donnent une dimension mystique. Il assistera éberlué à une sorte de guerre civile qui ressemble en même temps à du Pascal et à du Grand-Guignol, verra s’écouler le temps, toujours le temps, et le roman s’achève sur une vision éblouie, ou hallucinée, du monde qui s’écroule, ou bien parvient, enfin, à détruire ses limites

trop s’approcher du reportage, de ne pas gagner sa place dans l’histoire littéraire. L’engagement politique, de même, éloigne quelquefois l’écrivain du but véritable de son œuvre et le voue alors à un oubli relatif, voire à la condamnation ferme. Si Céline a acquis une place de choix dans l’histoire littéraire du XXe siècle, ce n’est pas grâce à ses pamphlets haineux et outrageusement antisémites de la fin des années 1930, mais heureusement par les innovations géniales qu’il a introduites dans le roman