Dans Le Regne Des Fins De Kant

en luttant contre toutes les forces chaotiques, à l’inverse l’investigation des premiers penseurs de la nature  « Physiologues », proposent une rationalisation des faits. Ce « miracle grec » selon les mots de Nietzsche menace donc d’éclipser le règne des dieux ou l’intervention des puissances naturelles. Ce qu’il faut savoir c’est que dans la mythologie grecque l’univers ne peut avoir de naissance absolue. Il n’est pas la création ex nihilo d’un créateur omnipotent. L’origine du monde

de conscience. Sa critique porte sur les abus du régime, non sur le régime lui-même. Pastiche de l'Odyssée d'Homère et de l'Enéide de Virgile, Les Aventures de Télémaque, oeuvre majeure de Fénélon, qui était considéré comme une satire avancée du règne, et propose une réflexion sur l'exercice du pouvoir. Le duc de Saint-Simon, témoin de la vie à la cour de Versailles, dénonce, dans ses célèbres Mémoires, quelques unes des conséquences inévitables et funestes de la monarchie absolue : la fréquence

LE SUJET Sujet / prédicats (grammaire) Sujet / objet (H doué d’une subjectivité et d’une intériorité par opposition aux choses) Kant : H ont une valeur absolue, irremplaçable (dignité) tandis que les choses n’ont qu’une valeur relative (marchande) car H peut raisonner sur lui mm, mettre en question ses actes, dire « je ». Lacan (psychanalyste) : « stade du miroir » : jeune enfant se reconnait dans son reflet. Husserl : intersubjectivité est fondatrice de l’objectivité, c’est en communiquant avec

humanité. Peut-être faut-il nuancer le « je », du « moi », de la « personne » : Le « je » marque l’action, la liberté, la responsabilité. On pensera ici à kant. Le « moi » renvoie à l’identité. La « personne » renvoie à l’autonomie. Je suis une « personne. » Je revendique, par-là, ma dignité morale. C’est là ce que Kant appelle le « règne des fins », et le respect. Je suis « moi. » Je revendique ma singularité, ma différence et pourtant tout le monde peut dire ce mot « moi » : Rien n’est plus anonymant

d'une éducation autonome, que Coménius reprendra dans sa Grande didactique. Au XVIIIe siècle, Kant décrira la tâche de l'éducation comme étant celle d'élever chacun, au-delà de l'animalité, jusqu'à l'humanité. On ne pouvait mieux exprimer cette primauté du «logos» sur l'«éros» dans l'éducation autonome et la primauté accordée à l'idéal d'humanité à transmettre sur l'expression spontanée de l'individu. Kant souhaitera, de même, que les enfants apprennent à travailler. L'école, pour lui, n'est pas le

mener à des raisonnements valides  comme Pascal, ils pensent mathématiquement. L’esprit de finesse  comme Le chevalier de Méré, gens à l’aise dans le monde, des gens fins qui ont de l'intuition, capacité d’adaptation.  Les deux s'opposent mais il faudrait parvenir à un équilibre profit en se complétant par son contraire les fins devraient être plus géomètre et inversement. Chapitre 4 : Elucider et libérer  voir les 7 stades de la Philo (p.53 à 73) Qu’est ce que la liberté selon Bergson ? Bergson

fait il depend de nous. Comment cela peut-il se realiser tant le bonheur est hasardeux et parfois injuste. 2°idée :l’importance de la moralite et de la raison qui deviennent finalite de la vie. Dans l’epoque antique , on s’interrogeait sur les fins que l’homme devait se proposer , sur la vie bonne et idéale. Il faut parfois en arriver au sacrifice de notre bonheur immediat pour obtenir quelque chose de plus grand. La doctrine selon laquelle le bonheur est le bien suprême de l’homme se nomme

qui sont individuelles, participent à l’élaboration d’une action universelle. Ainsi, ce serait la rencontre de toutes ces volontés et du hasard qui feraient l’histoire. Et, il se pourrait même que l’homme, pris individuellement, en poursuivant ses fins particulières, participe à son insu au dessein de l’humanité. L’homme, à la différence de l’animal, possède une « histoire », c'est-à-dire qu’il se rend compte des évènements passés, il a la capacité de les connaitre, de s’y référer. Aussi, il

moral, et vice-versa. La question du devoir se reporte alors sur cette notion de morale : quelles règles peuvent être universelles ? a) Devoir et finalité. En un premier sens, nous avons le devoir de préparer l’arrivée d’un certain nombre de bonnes fins (le bien, la paix, la santé, etc.) ou au moins de ne pas les compromettre. Tous nos devoirs s’articulent donc autour de cette finalité que nous visons, et qui est donc un premier sens de la norme du devoir. Il s’agit d’une morale dite téléologique

Rappel de la définition kantienne de la moralité : 
Agir moralement pour Kant est et ne peut être que le fait d'un agent libre et raisonnable ( Kant dit souvent que la liberté est " la clef de voûte " de son système philosophique ). La moralité s'éprouve ( c'est-à-dire : nous ressentons, quand nous agissons, que nous agissons " par liberté " ) dans la conformité des actes aux principes universels que la raison énonce comme 'mobiles' de l'action par devoir. C'est en ce sens que, paradoxalement, agir